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| | | Sommes-nous des Reines, ou des anges privés de leurs ailes ? |    |
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|  Sujet: Sommes-nous des Reines, ou des anges privés de leurs ailes ?  Ven 24 Aoû - 19:48 | | |
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| Sujet: Re: Sommes-nous des Reines, ou des anges privés de leurs ailes ? Mer 29 Aoû - 18:43 |   Sommes-nous des Reines, ou des anges privés de leurs ailes ? ∆ ft Athénadora & SulpiciaSulpicia était rêveuse ces derniers temps. Elle s’imaginait qu’elle aurait pu être sa vie si elle avait pu avoir un enfant comme avait eu la chance Bella. Sulpicia avait toujours trouvé sa vie merveilleuse. Elle avait toujours aimé le luxe et aimait Aro plus que sa propre vie. Elle était prête à tous les sacrifices pour lui. Bien qu’elle se savait trop égoïste pour être une bonne mère, elle ne cessait de penser qu’elle aurait pu être l’enfant issu des gènes d’Aro et des siens. Elle se trouvait si parfaite et trouvait Aro de même. Elle était persuadée que l’enfant qui aurait pu en ressortir, serait un joyau du monde. Néanmoins, chacune de ces conclusions l’amenaient au fait qu’elle ne pourrait jamais avoir d’enfant. Et si elle, reine des vampires, ne pouvait pas avoir, personne n’avait le droit d’avoir. Sulpicia avait été en colère contre Aro lorsqu’il avait laissé l’enfant vampire en vie. Sa jalousie maladive de ne pas pouvoir avoir ce que d’autres vampires ont, la rendait folle de rage. Mais elle avait adopté une stratégie plus sournoise. Aro ne semblait pas spécialement motivé pour supprimer la vie de cet enfant malgré une colère évidente. Elle avait donc décidé qu’elle s’en chargerait elle même. Mais pour cela, Sulpicia devait déjà pouvoir sortir de cette tour. Assise droite comme un i devant une coiffeuse, elle se brossait pensivement les cheveux. Elle refusait que toutes autres personnes qu’elle ou Aro la touche. Elle fut sortie de ces pensées par Athénadora, la femme d’un des autres rois des vampires. La jeune femme était devenue avec le temps une véritable sœur. Reprenant part à la réalité, Sulpicia regarda son reflet qu’elle trouvait parfait tout en écoutant la question d’Athénadora. Lorsque cette dernière eut fini de parler, Sulpicia ne put s’empêcher un froncement de sourcil. Sulpicia ne s’était jamais sentie prisonnière. Elle ne voyait plus l’intérêt depuis bien longtemps de sortir à l’extérieur. Elle avait absolument tout ce qu’elle souhaitait ici et le plus important pour elle, était de ne pas inquiéter Aro. Si pour ce dernier, il fallait qu’elle soit enfermée pour qu’il soit rassuré, Sulpicia n’y voyait aucun problème. Comme à son habitude, Sulpicia ne répondit pas tout de suite. Elle ne parlait jamais à la légèrement et mesurait chacun de ces mots.« Mais voyons, nous sommes des reines aimées. Nous avons tous ce que nous désirons, nous sommes traités comme les êtres les plus précieux du monde des vampires. Nos époux nous aiment plus que tout. »Elle fit une pause et remarqua le livre qu’Athénadora avait dans les mains à travers la glace. Un autre froncement de sourcil apparut sur le visage si lisse de Sulpicia. Du jour où elle était devenue vampire, elle avait haït le monde humain et tout ce qui touchait à ce monde. Aujourd’hui, elle en avait peur. Elle était consciente de ce que pouvait faire les humains sur les vampires. Bien qu’ils étaient théoriquement plus puissants, ils étaient de façon évidente beaucoup moins nombreux. La foule avait toujours fait peur à la vampire et elle était d’en un sens particulièrement rassuré d’être dans cette tour. Sulpicia tourna alors son visage vers Athénadora pour la regarder dans les yeux. « Arrête de lire ces histoires pour les humains. Elles sont ridicules et servent à montrer aux pauvres filles que même les filles riches sont malheureuses pour leur faire oublier leur médiocrité. »Sulpicia se leva alors, toujours aussi rigide et attrapa le bouquin. Elle se dirigea ensuite vers l’une des meurtrières et jeta le livre dehors. « Si nous sommes ici, c’est que nos époux nous aiment tellement qu’ils ont peur pour notre vie. »[/color]dit-elle en regardant dehors puis en se tournant ajouta :« Des clans veulent prendre le pouvoir mais le règne des Volturis est loin d’être terminés. Si nous voulons que nos époux dominent dans de bonne condition, il faut respecter leur désir. »Elle se rapprocha alors d’Athénadora et lui attrapa sa main.« Le monde à l’extérieur est horrible et sans intérêt. Nous avons tout ce dont nous avons besoin ici. Tu désires quelques choses, on te l’amène immédiatement. »Sulpicia était convaincue par ce qu’elle disait. Elle commençait à sentir le désir d’Athénadora. Elle avait besoin de voir le monde extérieur pour constater de la chance qu’elles avaient d’être ici.« Ecoute, je suis en pourparler avec Aro pour qu’il me laisse sortir quelques temps. Je voudrais rendre visite au Cullen, j’ai quelques petites choses à leur dire. Essaye de faire de même avec ton époux. Si nous sortons toutes deux, nous avons peut être plus de chance. Et puis, cela te permettra de constater à quel point le monde est horrible à l’extérieur. | |
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| Sujet: Re: Sommes-nous des Reines, ou des anges privés de leurs ailes ? Lun 15 Oct - 18:57 |
 Le prédateur patientera, jusqu'à ce que sa proie sorte de son trou...
« Mais voyons, nous sommes des reines aimées. Nous avons tous ce que nous désirons, nous sommes traités comme les êtres les plus précieux du monde des vampires. Nos époux nous aiment plus que tout. »
Fut les paroles de ma soeur aînée... Sulpicia est comme toujours si mature, je ne suis vraiment rien à côté d'elle, une simple enfant qui a seulement des rêves pleins les yeux. D'ailleurs, je l'affirme haut et fort, je suis une rêveuse et j'aimerais que tout le monde le soit aussi. Le rêve est important et même si de nombreuses personnes disent que le rêve si du chiffon, ils ont des rêves qui débordent de leurs aisselles. Les trois rois de Volterra ont rêve aussi, conquérir ce monde. Les esclaves parmi nous, eux souhaitent devenir des vampires. Moi... Moi, mon rêve c'est d'être libre, être aimée, être mère.
« Arrête de lire ces histoires pour les humains. Elles sont ridicules et servent à montrer aux pauvres filles que même les filles riches sont malheureuses pour leur faire oublier leur médiocrité.
- Mais... »
Mais j'aime bien certaine d'entre elle... Elle attrape le bouquin, je n'ose rien lui dire et elle jette le livre dehors. Je baisse la tête, sur le coup j'aurai pu bouder, mais je n'en ai rien fait. Je me dis finalement, que peut-être Sulpicia a raison. Ce ne sont que des enfantillages, je dois me ressaisir. Oui. Fini les contes de fées dont les moralités sont nombreuses et je vais lire des romans policiers à la place.
« Si nous sommes ici, c’est que nos époux nous aiment tellement qu’ils ont peur pour notre vie. »
Je détourne les yeux comme une gamine, soudainement, je me suis sentie assez honteuse d'avoir ne serait-ce, pensée que nous étions ici entant que rebut.
« Des clans veulent prendre le pouvoir mais le règne des Volturis est loin d’être terminés. Si nous voulons que nos époux dominent dans de bonne condition, il faut respecter leur désir.
- Mais... »
Je ne pus terminer ma phrase, dû au fait, que Sulpicia avait attrapé ma main, forcément... mon attention se porta sur elle, plus qu'à ce que je cherchais à lui dire.
« Le monde à l’extérieur est horrible et sans intérêt. Nous avons tout ce dont nous avons besoin ici. Tu désires quelques choses, on te l’amène immédiatement. »
Je suis entre ses murs depuis si longtemps, que je ne me souviens plus très bien du monde extérieur. Je sais juste, que le monde extérieur rend les vampires dangereux et je parle en connaissance de cause... Jane, mort bleu, avait failli faire de moi une choucroute et pour une raison que j'ignore. Et puis, je ne remets pas en cause le fait que, je suis mal servie, justement, ça me tape sur les nerfs ce genre de choses. Cela ne m'intéresse plus d'être seulement servie, j'ai envie de respirer de nouveau l'air extérieur. Je voudrais retrouver mes sens vampires et mes aptitudes de chasseuses nées... être une Reine, c'est d'être une poupée manipulée par d'autre pour l'éternité. Nous ne servons à rien et nous sommes incapables d'enfanter, alors à quoi servons-nous à part faire les belles ?
« Ecoute, je suis en pourparler avec Aro pour qu’il me laisse sortir quelques temps. Je voudrais rendre visite au Cullen, j’ai quelques petites choses à leur dire. Essaye de faire de même avec ton époux. Si nous sortons toutes deux, nous avons peut être plus de chance. Et puis, cela te permettra de constater à quel point le monde est horrible à l’extérieur.
- Quoi ! Avais-je crié en me levant brusquement. Tu n'es pas sérieuse, si tu vas voir les Cullens, ils vont sûrement te prendre en otage et qui sait ce qu'ils te feront subir... »
Comment une telle idée a pu traverser l'esprit de Sulpicia, je refuse que ma seule amie aille là-bas. Ou si elle y va, elle emmène toutes les gardes royales autrement dit, elle emmène tout le château avec elle. Et si elle ne le fait pas, je fais une manif contre les Volturis... Bref...
« Hors de question... Les Cullens vont se servir de ton statu pour atteindre Aro. De plus il y a pas beaucoup de garde qui seront en mesure de te protéger avec la fille de joie qui annule les aptitudes surnaturel des dons. »
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| Sujet: Re: Sommes-nous des Reines, ou des anges privés de leurs ailes ? | | |
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