Mon histoire:
Bonjour je m’appelle Lana, je suis née de l’union d’une jeune humaine d’origine Française et d’un vampire végétarien Américain. Leur histoire ? Que vous dire à part que ça a été une belle et vraie histoire d’amour, ils sont sortis ensemble durant un peu plus de deux ans avant de décider de se marier, la seule chose que mes parents n’avaient pas prévue c’était… Moi… Mon père avait toujours refuser de la transformer avant leur mariage, sauf que c’est quelques jours avant la date de la transformation que ma mère s’aperçu que quelque chose en elle n’allait pas… ça se passait au niveau de son ventre, et elle ne mit pas longtemps avant de comprendre qu’elle était enceinte, une situation qui mit mon père plutôt mal à l’aise et qui causa leur première vraie dispute à tout les deux, mon père suppliait ma mère d’avorter tandis que ma mère elle refusait catégoriquement. Elle voulait avoir cet enfant qui était pour elle le symbole même de leur amour, elle lui répétait que rien n’arrivait pas hasard et que la vie avait décidé de leur donner la chance à tout les deux de devenir parents.
Paniquer mon père se mit à chercher des solutions à gauche et à droite et c’est là qu’il apprit qu’il y a à peut près un an, une jeune humaine avait mit au monde un enfant, une hybride pour être exacte et qu’elle avait « survécu » à cette naissance, après avoir été transformée juste après avoir eu son enfant. Il se dit que tout n’était pas perdu pour lui et pour ma mère et il se mit à espérer qu’un avenir à trois était possible pour lui, ma mère et moi. A cette époque ils vivaient déjà en Alaska dans une maison plutôt isolée, car mon père était plutôt du genre solitaire et à vivre seul déjà bien avant que ma mère n’entre dans sa vie, et bien qu’il avait un frère, il n’avait plus croiser son chemin depuis plusieurs années depuis que ce dernier l’avait clairement menacer de le tuer en le promettant que ça arriverait un jour, dans un mois, un ans, dix ans, après que mon père ait décidé de devenir un vampire végétarien et de quitter leur petite communauté. Et si il ne regrettait sa décision il avait peur du jour où son frère mettrait sa menace à exécution… Mais bref ça c’est une autre histoire…
Arriva le jour de ma naissance, mon père était très tendu, il se demandait si il serait vraiment capable de mener à bien, ma naissance et la transformation de ma mère en vampire ! Et c’est malheureusement trop tard qu’il réalisa qu’une aide aurait été la bienvenue afin qu’il puisse transformer ma mère avant qu’il ne soit trop tard. Mon père n’avait pas non plus prévu que l’accouchement serait si difficile et que ma mère perdrait autant de sang, finalement dépasser par la situation il mis trop de temps à réagir avant d’essayer de la transformer et cela couta la vie à ma mère.


Je ne l’ai donc jamais connue… Mais j’ai eu la chance d’avoir un père aimant, soucieux de mon bien être, il s’est très bien occupé de moi, m’a élevée du mieux qu’il a pu. Car il faut bien reconnaître que ma croissance plus rapide que la normal ne lui facilitait pas tous les jours la vie. Il a du s’adapter à mon rythme de croissance et agir en conséquence, d’autant que je ne pouvais pas avoir une vie sociale comme tout les enfants de mon âge. En faite, je n’avais pas de vie sociale, en dehors de mon père je ne pouvais côtoyer que très peu de monde. Quelques vampires végétariens qui étaient des amis de mon père, mon père était aussi mon professeur, il m’apprenait tout ce que j’étais censé apprendre si j’étais scolarisée dans une vraie école, les camarades de classe en moins. J’ai donc eu une enfance solitaire, pour autant je ne dirais que j’ai été malheureuse mais par contre je dois reconnaître que j’ai beaucoup souffert de cette situation du faite d’être différente, d’avoir l’impression d’être punie à une vie d’isolement à cause de ma différence et pourtant je n’étais pas encore au bout de mes surprises.
Tous les jours mon père me disait que j’étais son rayon de soleil, et tout les jours il s’étonnait de ma capacité à assimiler des informations qu’elles soient visuelles ou auditives, j’apprenais rapidement et je n’oubliais rien, j’avais une mémoire exceptionnelle et ça il fallait le reconnaître mais ce n’est que quelques temps plus tard que mon père et moi avons pu mettre un mot sur cette capacité, que mon père appelait un « don ». Ce mot l’hypermnésie ; en médecine ce mot désigne une condition psychologique très rare, caractérisée par une mémoire exceptionnelle due à une suractivité du cerveau, en plus simple ? L’hypermnésie c’est le faite que les souvenirs autobiographique sont exceptionnellement bien mémorisée, quand à ma mémoire photographique, disons que j’ai juste une grande capacité à me souvenir non seulement d’images, de son, de situation que j’ai vécue, par exemple je n’oublie jamais un visage ou un rendez-vous ! J’ai dû m’adapter à mon don, comment ? Hé bien disons que je suis une sorte de mini encyclopédie à moi toute seule ! Je lis beaucoup, je m’instruis, car de nature curieuse, je aime toucher à tout et apprendre tout le temps apprendre, mais en même temps il faut bien dire que je n’avais pas grand chose d’autre à faire…

Jusqu'au jour où tout changea, le comportement de mon père, je le sentais nerveux, comme traquer, il reprit ses recherches sur cette famille qui aurait eu un enfant comme moi un ans avant que je ne vienne au monde. Tout ça à commencer il y a quelques mois, il fini par retrouver la trace de cette famille. La famille Cullen… Ne me demander pas comment mais mon père fini par réussir à les contacter afin de les convaincre de m’accueillir dans leur famille. Je savais depuis toujours, car mon père m’avait préparé depuis mon enfance au faite que lui et moi nous finirions par être séparer tout les deux. Du coup je savais qu’un jour ça arriverait mais je dois dire qu’on n’est jamais vraiment préparer à dire au revoir à la seule personne qui a toujours fait partie de notre vie… Il m’expliqua parce que maintenant j’étais « grande », où du moins en âge de comprendre que son frère ainé et lui s’étaient disputé il y avait de ça des années et que son frère lui avait promis qu’il finirait par le retrouver et par le tuer, que c’était pour ça qu’il devait me chercher une nouvelle famille car il ne voulait que je sois tuer, j’étais sa plus grande fierté, que j’étais le portrait de ma mère, mais avec un peu de lui quand même, il n’arrêtait pas de me répéter qu’il m’aimait et que je ne devais jamais oublier ça. Il m’expliqua aussi qu’il espérait que la famille Cullen voudrait bien m’accueillir chez elle et que là-bas j’aurai l’occasion de rencontrer une autre personne qui était comme moi, que je me sentirais moins seule, et que j’aurai avec eux ce que lui n’avait jamais pu m’offrir, une grande famille ! Il espérait réellement pouvoir les convaincre de m’adopter et me dit que je devais sans regret abandonner mon nom de famille, pour prendre celui des Cullen, que même si nous serions séparés une part de lui serait toujours à mes côtés. Il me disait que chaque jour que nous avions pu passer ensemble avait été un cadeau et qu’il avait essayé d’en profiter un maximum.

En attendant moi je m’inquiétais pour lui pour nous, et pour mon futur, qu’est que j’allais devenir ? Et est-ce que cette famille voudrait de moi ? M’accepteraient-ils avec mon don ? Qu’es que je ferais et deviendrais si ils ne voulaient pas de moi ? Pleins de questions se bousculaient dans ma tête, tandis que mon père prévoyait dans les moindres détails mon départ d’Alaska pour me mettre en sécurité… J’avais compris au ton de mon père que la famille Cullen avait accepter de m’adopter, ou du moins l’un des leur. Mon père n’arrêtait pas de me parler d’Edward mon futur père adoptif avec qui il était en train de régler les derniers détails de mon adoption, avant qu’Edward ne vienne me chercher d’ici très peu de temps… J’avais un peu peur de ce qui m’attendais mais en même temps j’avais été bien préparée par mon père ce qui d’un côté me rassurait un peu, même si je savais que du jour où Edward viendrait me chercher je ne reverrai plus jamais mon père biologique. J’étais d’un côté excitée à l’idée de savoir à quoi allait ressembler ma nouvelle vie dans ma nouvelle et grande famille, je me disais que eux pourrait peut être répondre à certaines de mes questions en rencontrant par la même occasion quelqu’un qui était comme moi, que j’allais peut être pouvoir avoir une vie social et aller dans une vraie école. Mais d’un autre côté j’avais très peur de ne pas réussir à m’intégrer à ma nouvelle famille et puis comment j’allais les appeler ? Est-ce que mes nouveaux voudraient bien que je les appelle papa et maman où je devrais les appeler par leur prénom ? Et puis comment est-ce que j’allais vivre le faite de me retrouvé entourer d’un grande famille alors que j’avais toujours vécu seule avec mon père ? Pour l’instant toutes ses questions n’avaient pas encore de réponses… Ce qui était sûre c’est que j’espérais vraiment que tout ce passerait bien, que j’arriverais à devenir un membre à part entière de leur famille et qu’on serait heureux tous ensemble et moi avec…

Quand finalement le jour « J » arriva, j’étais à la fois excitée et angoissée, c’était assez difficile à décrire en tout cas ce jour-là en quittant la maison de mon avance je savais que c’était la dernière fois que je la verrai. Je la regardais comme jamais observant tout les détails pour être bien sûre de m’en souvenir. Une fois dans la voiture qui devait nous conduire à la gare de la ville, mon père me donna un livre rempli de photo de lui et de moi depuis ma naissance mais aussi des photo de lui et de ma maman avant moi, il y avait une photo du jour de leur mariage et des voyage qu’ils avaient fait avant qu’ils ne décident de se marier. Il y avait aussi des photos de la maison ou j’avais grandi, toutes ses photos me firent sourire, je remerciais mon père avant qu’il ne démarre direction la gare. Une fois arrivé à la gare ou mon nouveau papa devait me récupéré et ou nous étions un peu en avance, j’en profitais pour serrer dans mes bras mon père et l’embrasser, lui fit de même me rappelant une dernière fois qu’il m’aimait en me souriant avant de me donner quelques derniers petits conseils. Puis tout à coup il me dit qu’Edward était là, je me retournais et le regardais dans les yeux en lui faisant tout d’abord un sourire un peu timide lui disant simplement bonjour. Mon père lui tendis un sac dans lequel j’avais mis quelques affaires dont je ne voulais pas me séparer et aussi quelques habits, puis il me poussa vers mon nouveau papa en me disant « - Vas-y ma fille, je t’aime… » Je m’avançais donc vers Edward toujours partagée entre la peur et l’excitation, je lui fis un sourire avant que mon père ne s’adresse à Edward en lui disant « - Prenez soin d’elle pour moi, j’ai confiance en vous je sais que j’ai fais le bon choix et qu’elle sera bien dans votre famille. » Puis mon père recula de quelques pas, me regardant une dernière fois, je savais pourquoi il faisait ça, il ne voulait pas d’adieu déchirant et je le comprenais, c’est pourquoi je lui fis un dernier sourire avant de me retourner vers Edward.

Sur le moment on discuta peu tout les deux, puis petit à petit au long du voyage qui nous ramenait chez lui, nos langues se délièrent et nous avons commencé à parler de lui et de sa femme Bella, de sa fille, de sa famille, je lui posais des tas de questions quand à la vie que j’aurai avec lui et lui expliquait aussi à quel point j’avais peur de ne pas réussir à m’intégrer dans sa famille. Nous restions bien évidemment sur des sujets qu’auraient pu aborder des êtres humains « normaux » du coup je ne lui posais pas de questions par rapport à ce que j’étais et par rapport à mon don. Finalement le voyage passa vite et à peine nous étions arriver chez lui que je me sentais déjà attachée à lui sans pour autant savoir si je pourrai l’appeler papa, où si je pourrai tutoyer sa famille à vrai dire si je devais leur dire vous je pense que j’aurai de la peine ayant toujours été habituée à dire « tu » à tout le monde même les gens que je ne connaissais pas d’ailleurs j’avais tout de suite tutoyé Edward…


Une fois devant la maison de ma nouvelle famille d’accueil, maison qui allait être maintenant la mienne, je montais les marches la boule au ventre avant de rencontrer ma nouvelle famille… Une fois à l’intérieur, Edward me présenta aux autres membres de la famille, les présentations se passèrent très bien ce qui me soulagea et me permis aussi de m’ouvrir un peu à eux, même si je devais encore apprendre à mieux les connaître, c’était un très bon début…

Cela fait maintenant quelques semaines que je suis arrivée au sein de la famille Cullen, (je porte d’ailleurs leur nom de famille, j’ai laissé complètement tombé le nom de père biologique Reagan) et je m’y sens de mieux en mieux chaque jour qui passe, malgré quelques petites difficultés. Je suis très proche de mon père adoptif, je lui parle beaucoup et de tout même de mon don, j’ai confiance en lui, je lui demande des conseils et j’ai hâte de pouvoir commencer à aller en cours dès que cela sera possible. Grâce à Edward, j’ai maintenant la chance d’avoir non seulement un papa mais aussi une maman et ça, ça m’a fait vraiment bizarre les premiers jours, je n’avais jamais eu la chance d’avoir une maman dans ma vie jusque là, pour tout vous dire les seules présences féminine que j’avais connue jusque-là était des amies de mon père biologique qui était de passage en Alaska. Alors que maintenant j’avais la chance que ma maman d’adoption, Bella soit beaucoup là pour moi et qu’elle m’aide beaucoup surtout qu’au début j’ai été un peu distante avec elle, me rattachant surtout à Edward par habitude. Mais maintenant je me suis habituée à l’avoir près de moi et au faite qu’elle s’inquiète pour moi, je découvre le sens du mot maternelle, car Bella se montre très maternelle avec moi et j’ai même l’impression qu’elle m’aime autant que sa propre fille Nessie, que pour elle il n’y a pas de différence entre sa fille et moi et ça me fais du bien, ça m’aide à avancer et aujourd’hui je ne pourrai plus me passé d’elle, elle est désormais aussi ma maman et elle le restera pour toujours. Dans ma nouvelle famille j’ai aussi la chance d’avoir une grande sœur Nessie, avec qui j’apprend le sens des mots shopping et truc de filles et ce qui a de bien c’est qu’elle est comme moi, elle aussi une hybride et quand je suis arrivée je dois dire que malgré le faite que je ne savais pas trop comment aborder le sujet avec elle, j’ai finalement pris mon courage à deux mains pour briser la glace avec elle et lui demander si je pouvais lui poser des questions par rapport à notre « nature » commune. Moi qui avait peur qu’elle me rejette ou que mon arrivée ne cause des jalousies je me suis rendue compte qu’en faite non. Nessie a volontiers accepter qu’on se parle toute les deux et maintenant je me sens mieux et j’accepte mieux ce que je suis et je ne culpabilise plus en me disant que c’est de ma faute si ma maman n’a pas survécu à ma naissance, mais ça c’est grâce à eux trois, ils m’ont fait comprendre que je n’y étais pour rien et que je ne devais pas me punir pour ça. Ils m’ont également accepté avec mon passé même si pour tout vous dire aujourd’hui je sais que mon père biologique à prit la bonne décision en me confiant à eux, même si c’est vrai qu’il me manque parfois je suis contente qu’il m’ai préparé depuis ma naissance au faite que lui et moi on allait devoir être séparer à un moment ou a une autre. Même si ça m’a fais souffrir à l’époque quand il me le disait aujourd’hui je sais qu’au niveau psychologique cela à eu une grande influence sur moi et m’aide à ne pas vraiment souffrir de cette séparation. Sans parler du faite que contrairement à ce que je pensais je me suis bien adaptée au faite d’être entourée d’une grande famille et je suis contente et fière d’avoir la chance de faire partie de leur famille et je ne remercierai jamais assez Edward d’avoir accepter de m’adopter…