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Katelynn A. Van Hagen

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Katelynn A. Van Hagen
« Les dentiers sur patte »
Katelynn A. Van Hagen
« Les dentiers sur patte »
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MessageSujet: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeDim 31 Mar - 15:32
Katelynn Agnëlle Van Hagen
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Date de naissance ▪ 12/02/1922 Âge • 91 ans ▪ [VAMPIRE SANGUINAIRE]
Situation Professionnelle ▪ [MORTE]








Mes Qualitées
▪ Intelligente
▪ Rusée
▪ Réfléchie
▪ Sérieuse
▪ Qualité
▪ Qualité
▪ Qualité
▪ Qualité
Mes Défauts
▪ Cruelle
▪ Défaut
▪ Sans pitié
▪ Démoniaque
▪ Défaut
▪ Défaut
▪ Défaut
▪ Défaut








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»

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Qui suis-je ? Jamais vous n’auriez dû me poser cette question.
Vos parents ne vous ont-ils jamais dit un jour, que les démons n’existaient pas ? J’ai l’immense regret de vous annoncer qu’ils vous ont menti. Je suis le méchant croque-mitaine qui vous a tant tourmenté durant votre enfance. Je suis celle qui hante vos pires cauchemars. Maléfique, c’est un des seuls mots que j’ai trouvé pour me qualifier. Jeune femme, ou abominable créature – à vous le choix- sans cœur et sans pitié. Pour moi, tuer est un plaisir, un jeu dont le sang est la plus exquise des récompenses. Je n’hésite pas à exterminer ces pitoyables humains, parfaitement fragiles et innocents, par faim ou tout simplement par distraction. Sadique, la torture est ma signature. Tel un chat jouant avec une souris blessée et sans défense, je n’ôte pas la vie à mes proies avant de m’être un tant soit peu amusée avec. Qu’y avait-il de plus beau qu’une personne à l’agonie implorant ma clémence tout en fondant dans de pathétiques sanglots ?

Mais avant d’être un monstre, les choses étaient bien différentes…

« 12 février 1922, Varsovie, Pologne.
Ma fille, tu seras amenée, en temps voulu, à continuer les pages de ce tout nouveau journal. Celui de ta vie, celui dont je te fais présent en ce jour, quelques heures après ta venue au monde. Je tenais à te léguer ces quelques mots afin de transmettre tout l’amour que je te porte déjà – à cet instant même, je te regarde et tu sembles me sourire dans ton sommeil. Je sais que tu deviendras une jolie jeune fille à l’avenir prometteur. Hélas, je n’aurais pas cet honneur de te voir grandir et de t’accompagner sur ce chemin parsemé d’embûches que nous offre la vie. Je ne sais pas combien de temps il me reste, l’accouchement ne s’est pas passé comme prévu et je suis épuisée, à bout de force – je sens celle-ci me quitter peu à peu.
Lorsque tu liras ces quelques lignes, je te demanderai de ne pas pleurer et de rester forte. Je suis persuadée que tu y arriveras, et que tu ne laisseras pas la tristesse t’envahir. C’est vrai que tu n’auras pas l’occasion de me connaître, et tout ce que tu auras de moi est cette vieille photo, ci-jointe à cette page.

A ma fille bien aimée,
Katelynn Agnëlle Van Hagen. »

« 12 février 1936, Varsovie, Pologne.
Il m’en aura fallu du temps avant de franchir le pas et d’oser apposer ce journal de ma plume. Mais au point où j’en suis, écrire me permettra de me changer les idées. Pour un anniversaire, c’est une journée bien pourrie qui commence. Entre mon père et mon frère qui me rendent l’existence impossible et mes problèmes de santé - j’étais atteinte de la maladie des os de verre - mon moral commençait à être au plus bas. L’ambiance familiale était devenue infernale, et invivable.
Cette gifle avait été de trop. Puis ces reproches… comme quoi j’étais responsable de la mort de ma mère. Ça allait juste trop loin, je n’arrivais plus à supporter tous ces conflits.
Du coup, il m’arrivait souvent de venir me réfugier ici - une vieille usine métallurgique abandonnée, très peu fréquentée des gens - un endroit un peu glauque certes mais où je pouvais trouver le calme et la paix. Du moins j’en trouvais assez ici pour arrêter d’en trembler – un mélange de colère et de désespoir je crois… Donc voilà, comme à mes habitudes, j’avais cherché un petit coin pas trop poussiéreux où m’asseoir, plongée dans mes pensées, mais cette fois armée de ce précieux petit journal. C’était sans doute le seul moyen que j’avais trouvé pour me détendre un peu, faire honneur à la mémoire de mère, qui semblait tenir à ce que je le tienne à jour. »

« 14 février 1936, Varsovie, Pologne.
J’avais envie de tout lâcher. Absolument tout, ma vie, mes études et tout le reste. Je ne voulais plus continuer à vivre parmi tous ces mensonges, toutes ces trahisons. Déception et humiliation, je crois bien que ça en était devenu mon quotidien désormais.
En ce jour de Saint-Valentin, j’étais comme devenue comme un phénomène de foire à l’école. Je me demande bien encore ce qui avait pu me passer par la tête de me déclarer publiquement à ma meilleure amie – ma confidente – tout en sachant qu’il y avait que très peu de chance que quelque chose aboutisse. En effet, au fil du temps et de nos discussions, de nos centres d’intérêts et de nos délires, j’avais fini par m’attacher à elle, ces sentiments étant bien plus que de l’amitié, enfin je n’en avais jamais été sûre. Mais cela ne m’avait pas empêché de me jeter à l’eau pour une raison que j’ignore encore. Au début, elle a joué le jeu - m’ayant même embrassé de son propre chef - avant de se mettre à en rire, de me pointer du doigt en me balançant toutes sortes d’adjectifs assez péjoratifs. Bien sûr, cela avait rameuté toutes les autres élèves de l’école – école exclusivement féminine ce qui n’aidait pas du tout… Puis vint l’interdiction de chercher à lui reparler.
Décidément, je ne pouvais compter que sur moi-même, puisque les personnes m’étant le plus proches avaient décidé elles aussi de m’abandonner à leur tour. A mes dépends, je venais d’apprendre aujourd’hui que la société fonctionnait comme ça, il fallait savoir poignarder quelqu’un dans le dos. »

« 26 février 1936, Varsovie, Pologne.
Quelques pages plus tôt, j’ai parlé d’une usine métallurgique abandonnée, où je passe le plus clair de mon temps en ce moment. Je n’y suis plus la seule squatteuse. J’y ai fait la rencontre d’un jeune homme assez mystérieux nommé Heidrich. Au début, il ne s’attendait pas à trouver une quelconque présence ici, puis lorsqu’il avait compris qu’il n’était pas seul, il se contenta de se poser dans un coin silencieusement. Je fus plutôt surprise qu’il ne réagisse point au fait que quelqu’un d’autre se trouvait sur les lieux. Nous étions respectivement tous deux dans la pièce centrale, assis contre deux murs opposés, d’imposantes machines dressées entre nous. Cependant, nous pouvions tout de même nous voir à travers un morceau de miroir brisé sur l’un des angles de la pièce. S’en suivi de nombreux jeux de regards et de sourires. Après de longues heures, sans même que je ne m’en aperçoive, il s’était faufilé jusqu’à moi. Encapuchonné, je n’avais pas pu distinguer les traits de son visage, mais à son allure corporelle, il semblait avoir dans la vingtaine d’années. Se présentant à moi, il affirmait que je ne devais pas chercher à me lier à lui. Selon lui, je n’étais pas en sécurité à cause des émotions que je dégageais et que cela le troublait terriblement. Bien sûr, je n’avais pas compris où il voulait en venir.
Pour en rajouter encore plus à la confusion qui régnait, dans un mouvement très rapide il s’était éloigné, brisant une fenêtre et passant au travers… Je n’avais trouvé aucune trace de blessure lorsque je m’étais précipitée – tant bien que mal – pour aller voir ce qui avait bien pu se passer. Il s’était volatilisé, laissant le soleil pénétrer dans la pièce à travers le verre brisé, ce qui avait illuminé mon visage un moment pendant que j’étais figée en pleine incompréhension. »

« 31 mars 1936, Varsovie, Pologne.
Rien à signaler, il ne se passe plus rien. Heidrich a disparu de la circulation, et ma vie désastreuse s’était toujours la même rengaine ! Ma maladie semblait s’amplifier, rendant chacun de mes mouvements de plus en plus laborieux. Je ne comptais même plus le nombre de fractures à répétition ce mois-ci – m’obligeant net à arrêter l’école. Oh et puis, tant qu’à faire, mon frère s’était mis à me jouer lors de ses paris au poker… J’espère bien qu’un jour il perdra une main, que je puisse me tirer d’ici. »

« 4 septembre 1939, Varsovie, Pologne.
Cela fait bien longtemps que je n’avais pas eu l’occasion d’ouvrir ce journal - ma santé m’ayant empêché d’écrire quoi que ce soit. Reprenant peu à peu des forces, grâce à un meilleur traitement médical, je me devais de continuer à rédiger, surtout en ces jours terribles. En vue de ce qui a éclaté – l’invasion de la Pologne par l’Allemagne, puis une réponse immédiate quelques jours après par la France et le Royaume-Unis, lui déclarant la guerre – mon frère avait été enrôlé dans une milice afin de prendre les armes contre l’envahisseur. Je ne le reverrais sans doute jamais. Et malgré le fait que nous n’avions jamais été proches, le fait de le savoir me mettait la boule au ventre. Quant à mon père, il avait trouvé la mort dans les bombardements des jours précédents. Je venais de perdre tout ce qu’il me restait de ma famille. »

« 25 septembre 1939, non loin de Varsovie, Pologne.
A l’approche imminente de la Wehrmacht, il y a ceux qui n’ont écouté que leur courage et qui sont restés se battre pour défendre la capitale, et ceux qui ont voulu tenter de survivre en quittant la ville. Je fus malgré moi entraînée à fuir avec un groupe de pseudos militaires, alors que ma seule envie était d’en finir ici – mourir, afin d’être libérée de toute cette souffrance. Il s’était avéré que j’avais de bonnes connaissances en médecine, et même si ma maladie m’handicapait, c’était par la force que l’on m’avait poussé à les accompagner. Les gens arrivaient encore à me trouver une quelconque utilité, pathétique… »

« 31 décembre 1939, non loin de Varsovie, Pologne.
Réfugiée dans un petit village perdu au milieu de nulle part, épuisée et brisée, je faisais de mon possible pour maintenir en vie les nombreux blessés qui nous étaient envoyés. Bien que le gros des combats en Pologne ait cessé – par la capitulation – les horreurs, elles, continuaient à subsister. Blessures par balles, maladie et famine, voilà contre quoi les gens luttaient.
C’était la première fois de toute ma jeunesse que j’avais l’impression de servir à quelque chose. Je prenais mon rôle à cœur, même si je devais le faire sous la contrainte, le pistolet contre la tempe. En somme, le moindre écart de conduite ou signe de faiblesse me serait fatal. Je faisais abstraction de tout, et surtout je ne me laissais pas faire, entre les réactions déplacées des soldats à mon égard – pour eux, je n’étais bonne qu’à assouvir leurs besoins masculins, je n’étais qu’un jouet – et la vue quotidienne de la mort, je me surprenais de ne pas encore avoir craqué. Du haut de mes dix-sept ans, je devais sans doute avoir gagné en maturité. »

« 12 février 1940, non loin de Varsovie, Pologne.
Le temps me manque, je n’ai plus une minute de répit pour continuer à écrire. Mais ce jour est spécial, encore un anniversaire de plus. Je n’ai pas grand-chose de plus à raconter, mis à part que la situation européenne était critique. Il nous fallait bouger souvent pour ne pas nous faire prendre par les troupes du Reich. Jusque-là, il y avait eu très peu d’altercation, les pertes du groupe initial étaient moindres. »

« 27 octobre 1942, non loin de Varsovie, Pologne.
Il y a une dizaine de jours, notre groupe est tombé dans une embuscade des allemands. Alors que nous tentions de rejoindre un petit village de campagne, à mi-chemin, nous rencontrions un peloton de fantassins ennemis. Nous étions à découvert et donc échapper à cette pluie de balle fut impossible, et beaucoup n’eurent pas la chance de survivre. A vrai dire, tout le monde fut exterminé, moi comprise.
Le bruit sourd de la détonation des armes raisonnait dans mes oreilles, me forçant à serrer des dents à chaque fois qu’il retentissait. Planquée in extremis derrière un muret en pierre au beau milieu d’une clairière – face à moi une horde de soldats hostiles – j’étais une des rares rescapée de la fusillade. Les deux derniers hommes en ma compagnie essayaient tant bien que mal de résister à l’offensive, mais eux aussi tombèrent un à un, une balle bien logée dans leur tête. J’étais seule, recroquevillée en position fœtale, baignant dans la boue immaculée du sang de ceux qui étaient jusqu’à présent mes compagnons.
L’officier SS m’avait saisi violemment par le bras – me le fracturant au passage – m’obligeant à me relever de force. Par son sourire, il n’était pas difficile de deviner qu’il fut satisfait de l’issue de la bataille. Je pouvais sentir sa respiration au niveau de mon cou, avant d’être frappée d’une intense douleur, celle de la lame de son couteau s’enfonçant lentement dans mon ventre. Tiraillée par cette douleur, je m’effondrais à terre, laissée pour morte. Je ne sais pas combien de temps s’était écoulé depuis ce moment mais ma vue commençait petit à petit à devenir floue, je savais que la fin était arrivée. Mais c’est à ce moment que je le vis, une silhouette encapuchonnée qui ne m’était pas inconnue, s’était accroupie à mes côtés. Me dévoilant son visage, il me regarda tout d’abord d’un air désolé, avant de planter ses dents à ma gorge.
A partir de là, ce fût le trou noir. »

« 28 octobre 1942, non loin de Varsovie, Pologne.
Je me souviens d’un mal encore plus violent que le coup de couteau que l’on m’avait assené quelques heures plus tôt, lorsque je repris enfin conscience. Mes assourdissants cris de douleurs venaient briser le silence de la nuit si calme. J’avais tellement chaud, et je sentais mes veines bouillonner, c’était comme si j’étais en train de brûler vive, alimentant les flammes d’un brasier sans fin. Me tordant dans tous les sens, je vivais un véritable cauchemar, suppliant qu’on m’achève une bonne fois pour toute. Cela dura trois ou quatre jours…
Lorsque tout fut terminé, je m’étais tout de suite sentie parfaitement libre. Pleine de vie et d’énergie. Mais une étrange envie d’ingurgiter du sang ne me quittait plus, j’avais soif. Je ne comprenais pas ce qui était en train de m’arriver et ce que signifiait tout cela, j’étais perdue et confuse. Je n’avais pas quitté cette clairière où j’y avais trouvé la mort… et pourtant j’étais bel et bien là, en pleine forme – ne souffrant apparemment plus de ma maladie.
Alors que j’étais prête à me ruer sur les cadavres alentours, c’est là que Heidrich – ce mystérieux jeune homme que j’avais rencontré des années plus tôt – vint à ma rencontre, me saisissant sur son dos d’un geste rapide et gracieux, m’éloignant à vive allure des macabés. M’expliquant au passage ce que j’étais devenue, et les effets néfastes du sang humain pour les vampires. Une fois à bonne distances de toutes ces alléchantes odeurs, il me lâcha une poche de sang, que je m’étais empressée de vider cul sec. Malgré ce gout étrange – à en croire ce que celui qui m’avait engendré m’avait dit, du sang de porc – je fus revigorée. »

« 12 février 1943, quelque part en URSS.
Aujourd’hui, j’aurais dû avoir vingt et un an. J’avais encore du mal à croire que je ne vieillirais plus. Mis à part ce détail, je m’étais plutôt bien habituée à ma nouvelle condition de vie. Pour la première fois je pouvais goûter au plaisir de courir, sauter, et faire tout genre de folies nécessitant l’usage de mon corps. En quelque sorte, c’était un nouveau départ pour moi, j’étais devenue une autre personne. D’autant plus que j’étais dotée d’une force surhumaine et d’une vitesse incroyable. Mais ce qui était merveilleux, c’est que mon physique n’avait plus rien à voir avec la petite fille frêle et fragile que j’étais.
Voyageant avec Heidrich, il m’en apprenait un peu plus tous les jours. Ainsi j’étais au courant de l’existence des Volturi, un clan de vampires résidants en Italie. Ils se considèrent comme une famille royale, car elle est la plus vieille au Monde. Ils font aussi régner les lois et l’ordre parmi notre race. Mais nous étions différents d’eux, Heidrich et moi, puisque nous étions des vampires dit « végétariens », ayant renoncé à la chasse humaine – chose qui me déplaisait un peu, j’étais toujours tentée par cette délicieuse odeur qui se dégageait des humains. Récemment nous nous étions mis à bouger, afin d’essayer de trouver nos semblables... »

« 6 août 1943, Londres, Royaume-Unis.
Ca y’est, j’ai craqué…
Le meurtre de cette jeune femme, j’en étais la cause. Et j’y avais même prit du plaisir, à la faire courir dans les ruelles de la capitale anglaise, pleurant et agonisant. Lorsque je fus lassée, je ne me fis pas attendre pour l’achever, m’abreuvant de cet exquis breuvage rouge qu’était son sang. A qui allait-elle manquer de toute manière ? Il s’agissait d’une prostituée, junkie et recherchée des services de police. Mais l’incident avait quand même mit Heidrich dans une colère noire, s’en suivi un combat à mort entre lui et moi. Il se devait de s’opposer à ma folie meurtrière m’avait-il dit. Quant à moi, j’étais déterminée à ne plus lui laisser l’occasion de contrôler ma vie.
J’avais le dessus sur mon compagnon en tous points. Son don ? Ressentir les sentiments des autres, en clair, je n’avais pas à le craindre là-dessus. Après de longues heures de traques acharnées, je m’arrachais sa tête en guise de trophée. Lui mettant le feu, j’appliquais ce qu’il m’avait enseigné pour se débarrasser d’un autre vampire.
A cet instant, tout ce que je voulais, c’était encore plus de sang. »

« 1 janvier 2013, New York, Etats-Unis d’Amérique.
C’est la dernière page, et je voulais la garder pour quelque chose de spécial. Un bon nombre d’années se sont écoulées depuis mon dernier passage dans ce journal. J’en rirais presque à la lecture de certains passages.
J’ai toujours vécue dans l’ombre depuis ce jour, lorsque je mis fin définitivement à la vie de mon mentor. Chassant à ma guise dans le monde entier, jouant avec ces pitoyables petits humains. J’avais pris goût à être une créature de la nuit.
Et ce n’est que très récemment que j’ai entendu parler d’une petite bourgade dans l’Etat de Washington, nommée Forks. Elle y accueillait d’autres vampires, mais aussi... des Loups Garous – ce qui m’avait poussé à me mettre en chemin.

Fin de l’histoire.
Mère, je sais que ce n’est pas ce que tu avais espéré… Tant pis.
Lorsque j’aurais terminé cette phrase, ce journal brûlera avec le nouveau-né que je viens de créer. Tout partira en cendre. »










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Dernière édition par Katelynn A. Van Hagen le Mar 2 Avr - 16:01, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeDim 31 Mar - 18:29
Bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche !!!
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeLun 1 Avr - 10:34
WEEEEEEEEEEEEEEEEELCOOOOOME !
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeLun 1 Avr - 15:39

WELCOME
Bienvenue petits sucres d'orges!!!! Te voilà maintenant entré dans l'antre de Breaking Blood ... MOUHAHAHA
Non, je plaisante, ici il n'y a que plaisanterie et bonne camaraderie.

* Te voilà donc inscrit mais ta quête de la fifiche ne fait que commencer affraid Si un jour, tu as besoin qu'un super admin ou un super modo te vole à la rescousses, tu nous trouveras cacher (ici)

* Tu as déjà tout finis??? C'est vrai ??? Tu es un vrai speedy gonzales ... Pour qu'un gentil membre du staff te valide, il faut passer par (ici)

* Nous te rappelons qu'à partir de aujourd'hui, il te reste une semaine pour terminer ta fiche pour un personnage prédéfinis et 15 jours pour un personnage inventé. Si tu as besoin d'un délai pour une raison personnel, merci de prévenir le staff. Wink

* En attendant, je te souhaite la bienvenue parmi nous petit padawan Katelynn A. Van Hagen 1462295388
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeMar 2 Avr - 9:17
Bienvenue parmi nous!!!!
Amuses toi bien!
^_^
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeMar 2 Avr - 15:58
Désolé pour la longueur de l'histoire... !
J'ai terminé.

Merci pour la re-bienvenue ^^
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Edward A. Cullen
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeMar 2 Avr - 16:15

FELICITATION
Bravo Petits sucres d'orges!!!! Vous voila prêt à entrer dans le monde de Breaking Blood. Mais avant de vous lancer à corps perdu dans votre histoire passionnante, il vous reste encore un peu de boulot.... MOUHAHAHA

* Pour le bon déroulement de votre présence parmi nous: n'oublie pas d'ouvrir un topics de rps (ici) et un topic de liens (ici) qui vous permettra à vous et aux autres de discuter sur vos relations et vos histoires.

* Recenser votre avatar (Masculin) ou (Féminin)

*Pour toutes absence merci de nous le signaler également pour le bon déroulement du forum (ici)

* Vous êtes un super héros ???? Il va d'abord falloir passer aux détecteurs du staff pour vos accorder un don (ici)

* Vous adorez BB *.* Vous êtes chou, on vous adore aussi! cependant attention aux comptes à gogo. Pour des demandes de double compte c'est par (ici)

* Pour éviter les sujets de rps finis ou inactifs et surtout ... surtout pour aider les pauvres larbins du maître, merci de passer sur ce topic pour prévenir un membre du staff que votre rp est terminé: (ici)

*Pour tout autres questions, le staff reste a votre entière disposition.
©️ CJ.POMME'&Tumblr[/i]


Note: Le personnage de Kate est vraiment intéressant, de part son histoire mais également par ses retournements de situations nous surprenant ^^ Excellent style d'écriture au passage ^^ Bonne continuation parmi nous Smile
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Grigore Anghel
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeMar 2 Avr - 21:30
Welcome cher vampirette (en retard mais c'est l'intention qui compte nan ) I love you
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Brittany Ellis
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitimeMer 3 Avr - 13:18
Salut!! Very Happy (et comme Grigore je suis en retard! xD)
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MessageSujet: Re: Katelynn A. Van Hagen Katelynn A. Van Hagen I_icon_minitime
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