Un retour innatendu.

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C'était le grand jour. Mes valises étaient prêtes dans le coin de la petite maison de Huilen, le petit James se tenait près de la porte n'attendant qu'à partir. Quant à moi, je disais au revoir à Huilen. Elle avait préféré rester là avec Paren, son copain. Ils s'étaient rencontrés il y a deux ans et depuis ils vivaient une histoire d'amour intense. Je me sentais légèrement de trop depuis un certain temps. Je sais que Huilen m'aimait autant qu'avant mais ce n'était plus pareil maintenant que lui était là. C'était pour ça que j'avais décidé de faire un petit voyage en Europe. Et c'est aujourd'hui même que je venais de trouver ce jeune James Evan. Il allait se faire assassiner quand je l'ai entendu pleurer. J'ai donc suivi mon instinct et j'ai été voir ce qui se passait. Quand je l'ai vu, j'ai tout de suite compris. Il était comme moi. J'ai donc braver des coudes pour aller à sa rencontre et après avoir utilisé mes dons de manipulateur, j'ai réussi à avoir le bébé pour moi. Pensant que je négociais, j'avais élaboré un plan dans ma tête, je savais ce que je ferais. Je suis donc revenu chez moi et j'ai fait mes bagages. Je savais que Huilen serait en de bonne main avec lui. James et moi partions pour Forks. Nous allions tous les deux nous installer là-bas. Je reviendrais bien sur rendre visite à Huilen. J'avais décidé d'adopter leur régime depuis que je les avait vu pour la première fois. Depuis, je n'avais jamais plus touché à un humain. Une fois les embrassades terminées, j'avais regardé James et lui avait dit:

"- Alors prêt à partir petit? "

Le jeune garçon que j'avais trouvé aujourd'hui en Irlande était tout aussi pressé que moi de retrouver la famille dont je lui avait tant parlé. Il avait perdu sa famille et en me voyant, il s'était tout de suite attaché à moi. Il devait m'aimer comme son grand frère et c'était réciproque. Je me devais de protéger ce garçon. Et pour cela, j'avais besoin d'aide des Cullen. Rosalie serait très heureuse de recueillir ce garçon. Il en serait de même pour le reste de la famille. Après qu'il est acquiescé, je l'avais pris sur mes épaules et avait commencé à courir je tenais les valises dans mes mains. Cela me ralentissais un peu mais nous serions à la villa avant la fin de la journée. Tout en courant nous bavardions de sa nouvelle famille. Je lui expliquait qui constituait la famille, les vampires, les hybrides et les loups-garous. Tout cela semblait le fasciné et c'était compréhensible. Enfin, j'arrivais dans la forêt de Forks, je la reconnue avec les odeurs des loups. Tout en contournant, la frontière, je la montrais doigt à James pour qu'il sache qu'il ne fallait pas qu'il aille ici. Sauf avec accord de son cousin Jacob.
Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes devant la villa. Je pris James et le cacha derrière moi. Je frappa à la porte et attendit que quelqu'un l'ouvre.

*Pourvu qu'il ne soit pas tous partis chasser.*

Heureusement pour nous deux, j'entendis des pas qui venaient vers nous. C'était une homme. J'attendais donc, impatient, que la porte s'ouvre. Je m'assurai que James était toujours derrière moi, et après l'avoir vu se cacher, je regardais la porte qui s'ouvrait enfin.

Spoiler:

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Voilà que cette homme venais de me sauver d'une fin atroce sans aucun doute. Je me blottissais contre lui jusqu'à ce qu'il me dépose pendant qu'il s'affairait à préparer plein de trucs. Puis il me reprit dans ses bras et se mit à courir aussi vite que le vent.

Sur ses épaules, je me sentais comme un super-héros. Enfin disons que ça aurait été la sensation que j'aurais ressentit si j'avais pu comprendre ce qui m'arrivait. En tout cas je me sentais très bien avec lui et me serrais à son cou pour ne pas tomber. Le vent fouettait mon visage mais je ne ressentais quasiment rien vu comment j'étais emmitouflé.

Pendant le trajet il me parla beaucoup. Je ne comprenais pas tout mais bougeais ma tête quand je savais de quoi il parlait. Si mon jeune cerveau ne m'avais pas encore donner don de parole, je comprenais néanmoins quelques petites choses. Voir pas mal de choses en fait. Je savais que ce qui m'attendais là-bas était une famille qui avait toujours voulu un enfant. Que Rosalie serait la meilleure des mamans. Qu'Emmet était inquiétant aux premiers abord mais qu'en fait c'était un véritable nounours.

Pendant tous le trajet il me parla d'eux. Moi je m'attachais à lui. Cet homme était très gentil. Ont s'arrêta plusieurs fois afin que je me sente bien. En fin d'après midi on arriva enfin à destination. Nahuel me cacha derrière lui alors qu'il frappait à la porte.

A ce moment là, plus tard je pourrais dire, que je me sentais anxieux. Et si par hasard ils avaient trouvés mieux que moi ? Et si je me retrouvais seul ? Qu'adviendrait-il de moi ? Qui voudrais de moi ? Nahuel voudrait-il partager un morceau de sa vie en ma compagnie ?

Un bruit de claquement se fît entendre alors que la porte s'ouvrit. Étant derrière Nahuel je ne vit pas qui c'était mais une multitude d'odeurs différentes emplie mon nez. Des bonnes, des mauvaises. Mais en même temps ces dernières je les sentais depuis un moment en fait. Depuis que nous étions entrés dans la forêt et que mon sauveur m'avais montré un lieu que je n'aurais pas droit de dépasser. Alors ce fût plus des bonnes odeurs qui m'envahir. A un tel point que je gloussais.

**Edward A. Cullen** · ■ Morsures : 2038 ■ Inscrit le : 19/11/2011 ■ Localisation : Forks

LES CULLENS & NAHUEL & JAMES
Un retour innatendu

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En une minute soit soixante secondes, il peut se passer de nombreuses choses. Pourtant, bien souvent ses minutes nous paraissent tellement rapide que nous pensons bien souvent avoir le temps d'intervenir si un malheur arrivé. Hélas se ne fut pas le cas aujourd'hui. Malgré notre rapidité sur humaine, nous ne sommes arrivée que bien trop tard. Depuis près d'une heure les choses s'enchaînaient, les filles étaient revenue de Port Angeles complètement paniqué et bouleversé. Emmett essayait tant bien que mal de contenir sa rage pour ne pas aller à Volterra tout de suite et tout casser. Quant à Carlisle même si la disparition d'Esmée devait l'affecter plus que nous, il conservait un minimum de self contrôle pour réfléchir à ce que nous allions devoir faire pour récupérer Esmée. Cela faisait plusieurs minutes qu'il était isolé dans son bureau afin de réfléchir correctement, sans les nombreuses questions que lui posait Alice, sans la rage d'Emmett qui essayait tant bien que mal de casser le moins de choses ... Bref autant le dire à la Villa tout n'était que Chaos. Chacun réagissait à sa façon, Bella était partie accompagnée Nessie à la Push chez Jacob afin qu'elle soit à l'abri le temps que nous trouvions une solution pour régler ce soucis.

Posté devant la baie vitrée le regard perdu, je réfléchissais moi aussi à une solution comme nous tous d'ailleurs. Si je suivais les pensées de chacun, Emmett et Rosalie opteraient plus pour une arrivée brutale finissant par un conflit. Alice quand elle essayait de se concentrer sur ses visions en vain pour le moment. Quant à Jasper, il essayait d'envoyer le maximum d'onde positive afin de calmer les plus stresser et angoissé. Il y avait également le jeune Lucas qui était à l'étage en train de réfléchir à notre conversation, j'avais essayé de le mettre un maximum à l'aise et de l'installer dans une chambre le temps que nous faisions notre réunion en famille.
Il n'avait pas besoin de stress supplémentaire même s'il avait entendu notre conversation au moins il ne se sentait pas trop ni mal alaise de sa chambre.

Ce fut les pensées d'Alice qui me firent lever la tête vers elle. Avec tout ce qui s'était passé j'avais complètement mis de côté l'arrivée de Nahuel et le petit hybride. Seul Alice et moi étions au courant , d'ailleurs Rosalie, Bella et Nessie l'avait cru folle en la voyant dévalisé les boutiques pour bébé l'après midi. Malgré les questions incessantes que leur avait posé les filles, Alice avait tenu bon et n'avait rien dit à par « Vous me remercierez ! »

Trois coups se firent entendre à la porte, je m'y dirigeais et l'ouvrit sur un Nahuel cachant un lange derrière son dos.

-Bonjour Nahuel, je t'en pris rentre. Fis je en me poussant pour lui laisser l'espace de rentrer.

Bien entendu tous les Cullen présent en bas nous observer et se demandait bien pourquoi Nahuel était venu ici.

Spoiler:

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Je reconnus de suite la personne qui avait ouvert la porte. C'était Edward, le père de Renesmée, une grande amie pour moi. Edward était aussi le mari de Bella, j'admirai cette dernière, elle avait survécu à la naissance de sa fille. J'aurais tant aimé que la mienne est survécu. J'aurais pu vivre tant de chose avec elle. J'avais appris à m'y faire mais ça restait douloureux des fois. Essayant d'oublier ça, je regardait Edward et dés lors quelque chose me revint à l'esprit. Cet homme avait la faculté de lire dans les pensées des gens. Il savait donc pour James. Mon effet de surprise était gâché. Depuis longtemps même, Alice m'avait sûrement vu arriver. Comment avais-je pu oublier. Cette famille avait des dons inestimables. Après tout ce n'était pas grave. L'important était que James est une famille qui l'aimerait.

J'examinai la pièce et m'aperçut que tout les Cullen n'étaient pas là. Il manquait Bella, Renesmée, Rosalie, Esmée et Carlisle . Ils étaient sans doute partis chasser. Il y avait cependant deux autres personnes dans les étages mais je ne savais qui. Je regardai ensuite Alice qui avait les yeux fermés, elle semblait en pleine concentration. Jasper lui était de marbre, je ne pouvais savoir s'il était heureux ou non. Mais ce fut Emmett qui m'étonna le plus. Je savais qu'il était souvent en train d'embêter tout le monde, gentiment bien évidemment, mais cette fois-ci il ne semblait pas rire du tout. Il avait l'air énervé contre quelque chose ou quelqu'un, mais qui? James ou moi? J'espérais ni l'un ni l'autre. J'avais beaucoup de questions en tête. Tout d'abord: que se passait-il ici? et où étaient tous les autres? Je ne pense pas qu'ils étaient partis chasser si ils savaient que j'arriverai aujourd'hui. Il y avait quelque chose de bizarre. Je regardais Edward pour qu'il me donne des réponses mais avant que je ne fasse quoi que ce soit, il me dit de rentrer en me laissant la place.Je pris James dans mes bras pour éviter qu'il ne prenne peur devant tout ce monde et m'approchai dans la pièce. Je leur dit alors:

▬ Bonjour tout le monde. Le dernier mot fut seulement soufflé, je savais qu'ils m'avaient entendu mais vu le regard qu'ils me lançaient tous, je ne savais pas si j'étais le bienvenu. Je dis alors: Vous savez tous pourquoi je suis ici? N'est-ce pas?

Finalement, je n'étais pas si sur qu'Alice avait eu une vision de moi. Je réagi alors qu'elle ne pouvait pas avoir de vision de moi. Elle avait sûrement vu que je disais au revoir à Huilen qui était elle une vampire et que je partais pour Forks. Elle n'avait pas jugé nécessaire de prévenir les Cullen. Je ne savais plus quoi penser exactement. J'attendais leur réponse sans bouger.

**Edward A. Cullen** · ■ Morsures : 2038 ■ Inscrit le : 19/11/2011 ■ Localisation : Forks

LES CULLENS & NAHUEL & JAMES Un retour innatendu

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Les regrets sont continuellement dans une vie. Nous regrettons toutes sortes de choses tout le long de notre existence. Mais c'est souvent grâce à cela que nous arrivons à aller de l'avant et d'avancer. Nahuel avait très vite sympathisé avec Renesmée lors de sa venu il y a cinq ans. Certes elle avait beau n'être qu'une petite fille, il n'empêche qu'un lien s'était créé entre eux. Il allait surement être étonné de voir le changement de mon bébé, elle qui commençait tout juste à parler est maintenant une magnifique adolescente qui ressemble énormément à sa mère de physique et de caractère.

Nahuel entra dans la villa avec toujours le jeune nourrisson dans son dos. Il observa vaguement les occupants de la villa et remarqua tout de suite que quelque chose n'allait pas. Comment cacher notre désarroi quand l'un de nos proches a été enlevé par le plus manipulateur des vampires ?

Alice n'avait plus cet air enjoué qui animait tant son visage, quant à Emmett toute trace de taquinerie avait disparu. Jasper quant à lui était bien trop occupé à gérer toutes les émotions qui affluaient dans la villa en plus des siennes. Quelque part je suis heureux que mon don ne soit pas le sien, ressentir la douleur de ma famille serait une véritable torture.

Tous ses changements de comportement rendirent Nahuel malaise, des questions affluées son esprit.

«Bonjour tous le monde, vous savez tous pourquoi je suis ici, n'est ce pas ? »

Tous les Cullen présent le regardèrent avec incompréhension. Je décidais qu'il était grand temps de lève le mystère quant à sa venue.

- Je suis navré pour cet accueil Nahuel, disons que certain évènement récent sont au centre de nos préoccupations. Dis je en le regardant avec un air désolé. Bien aujourd'hui en début d'après midi Alice a reçu un appel de Huilen lui annonçant l'arrivée de Nahuel à Forks. Carlisle avait appelé Nahual il y a quelques mois pour savoir s'il existait un moyen pour que des vampires aient un enfant bien qu'il connaissait déjà la réponse il voulait quand même en être certain, pour la simple et bonne raison qu'il ne supportait plus de voir Rosalie sombré dans la dépression de jour en jour face à cette incapacité d'avoir un enfant a elle. J'en viens enfin à sa venue aujourd'hui, Nahuel a trouver un jeune hybride pour lui il était hors de question qu'il élève cet enfant c'est pourquoi il vient le confier à Rose et Emmett. Fis je en regardant Emmett assimiler mes paroles.

Les premières minutes il resta figer puis une étincelle traversa ses yeux. Il s'approcha doucement de Nahuel en cherchant à voir l'enfant.

- Il ne lui fera pas de mal Nahuel, James va devenir son fils. Je t'expliquerais les évènements récent dès que tu auras confié ce petit à sa futur famille. Je monte voir Carlisle fis je en me retirant et en laissant Emmet découvrir son futur enfant.

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Pourquoi avions nous décidé de faire cette partie de chasse à ce moment là? Pourquoi n'étions-nous pas aller chasser la veille? Plein de questions fusaient dans ma tête, je m'en voulais tellement de n'avoir rien pu faire pour aider Esmée, pour éviter que celle-ci soit enlevée par ces cruels Volturi. La disparition de ma mère m'avait mis dans un sale état. Dans toute ma vie, depuis ma naissance en tant qu'humain à aujourd'hui, je ne me rappelais pas avoir été si mal. Je n'avais plus qu'une envie, c'était d'aller en Italie arracher la tête de ces monstres. Malgré les tentatives de Jasper pour me calmer, je restais tout aussi énervé, rien n'y faisait. Je ne pus d'ailleurs pas m'empêcher de balancer tout ce qui se trouvait autour de moi. Par terre se trouvaient déjà des vases éclatés, des biblos appartenant à Esmée, tout y passait. Je pensais que rien en cet instant n'aurait pu me tirer un sourire.

Cependant, quelque chose vint contredire cela. Alors que personne ne s'y attendait, du moins c'est ce que je pensais, quelqu'un frappa à la porte. De suite j'utilisai mon odorat pour repérer qui venait en ce moment de pure chaos et je reconnus de suite l'odeur de Nahuel. Mais, il y avait une autre odeur que je ne connaissais pas, elle ressemblait un peu à celle de Nahuel mais était différente. Je vis Edward aller ouvrir la porte aux invités et lui dire d'entrer. Nahuel eut l'air comme mal à l'aise en nous voyant. Je voyais bien qu'il s'attendait à ce qu'on réagisse mais personne dans la pièce ne dit mot. A part les bonjours qui furent chuchoter. La question qu'il nous posa me désarçonna légèrement. Nous étions savoir pourquoi il était là. Mais ce n'était pas le cas. Nous n'avions pas au vent que l'hybride reviendrait nous voir. Voyant que personne n'osait dire un mot, mon frère Edward prit la parole et nous expliqua la raison de la venue de Nahuel.

" - Je suis navré pour cet accueil Nahuel, disons que certain évènement récent sont au centre de nos préoccupations. Bien aujourd'hui en début d'après midi Alice a reçu un appel de Huilen lui annonçant l'arrivée de Nahuel à Forks. Carlisle avait appelé Nahuel il y a quelques mois pour savoir s'il existait un moyen pour que des vampires aient un enfant bien qu'il connaissait déjà la réponse il voulait quand même en être certain, pour la simple et bonne raison qu'il ne supportait plus de voir Rosalie sombré dans la dépression de jour en jour face à cette incapacité d'avoir un enfant a elle. J'en viens enfin à sa venue aujourd'hui, Nahuel a trouver un jeune hybride pour lui il était hors de question qu'il élève cet enfant c'est pourquoi il vient le confier à Rose et Emmett.

A ces mots, tout en moi s'écroula. Je ne savais plus quoi penser, si ce qu'Edward venait de dire était vrai, alors, ces trois derniers mois où Rose était devenue presque dépressive étaient fini. Mais au dessus ça, je me rendis compte que cela voulait dire que je devenais Papa, que James allait être mon fils. Malgré mon apparence de gros dur, il y avait un coeur en moi, un grand coeur. Je m'étais dit depuis que j'étais avec Rose que je n'aurais jamais d'enfant mais au fond de moi, j'en avais toujours voulu un. Cette nouvelle m'avait alors rendu plus heureux que jamais. Je m'approchai donc de Nahuel et donc de l'enfant, de mon fils d'un pas hésitant. Voyant que Nahuel hésitait à me montrer l'enfant, Edward le rassura en lui disant que je ne lui ferais pas de mal et il ajouta une phrase qui ne fit que confirmer ce que j'avais compris et qui me rendit heureux: " James va devenir son fils ". Nahuel me laissa alors voir le petit garçon qui tenait à peine debout et qui avait pour nom James. J'attendis que celui ci ose me regarder et une fois qu'il le fit, je lui dis:

- Bonjour, je m'appelle Emmett.Je suis très heureux de te rencontrer. Je lui tendis mes bras et lui dit: Tu veux venir avec moi? "

Je n'étais pas sur que le petit ose venir dans mes bras mais j'aurais beaucoup aimé le porter, me rendre compte vraiment qu'il était devenu mon fils.

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Que de tension dans la salle dans laquelle Nahuel et moi étions entré. Même pour un petit garçon comme moi c'était palpable. Je ne m'y sentais pas à l'aise du tout. Je gesticulais dans le dos de celui qui m'avait amené ici. Cependant je ne pleurais pas. Quelque part je ressentais comme quelque chose qui m'apaisait. Je ne saurait dire quoi mais c'était suffisant pour que je ne pleure pas. Nahuel me gardait dans son dos. J'étais comme un paquet surprise. Et seules mes petites mains sur ses épaules faisait que l'on pouvait déceler ma présence.

Toujours mal à l'aise, je me plaquais fort contre le dos de mon sauveur. Pourquoi m'avait-il amené ici déjà ? Je le savais au moins ? Non je ne crois pas. Ou alors je ne m'en souvenais pas. Soudain un des membres de la pièce s'avança vers nous et se mit à parler. Je ne l'écoutais pas. Je savais juste qu'il s'excusait pour l'accueil. Apparemment leur journée ne s'était pas déroulée comme ils l'avaient souhaité. Du coup et bien ils étaient pas content. Je jetais un rapide coup d’œil par dessus l'épaule de Nahuel et voyais que plusieurs objets avaient été cassés.

Je me remettais vite derrière le jeune homme pour ne pas me faire repérer. Mais à la réaction des autres, je compris que je m'étais fait repérer. A moins que ce ne soit les parole du grand aux cheveux noirs et aux yeux noisette qui avait déclenché ce chamboulement. Nahuel me prit dans son dos et me leva au niveau de son torse afin de me dévoiler à tous. Je restais plaqué contre lui. La timidité sans doute. Mais bien vite je sentis quelqu'un m'observer de très prêt. Je tournais la tête et me retrouvais nez à nez avec le jeune homme le plus imposant de la pièce.

Je sursautais et me plaquais de plus belle contre Nahuel. Quelques minutes plus tôt j'avais eu peur de cet homme. Il avait un regard de tueur. Mais là étrangement on aurait dit qu'il avait changé. Il avait l'air heureux. Un grand sourire traversait son visage. Ses traits étaient devenus plus doux. On aurait dit qu'il avait rajeuni. C'est alors qu'il me tendis les bras. Nahuel hésita autant que moi. Puis après quelques paroles du dénommé Edward, Nahuel me tendit vers le jeune homme alors que je tendais les bras pour les placer autour de son cou. Enfin une fois qu'il m’eut pris contre lui, je me blottissais en souriant. Peut-être qu'en fait il était gentil.

J'étais aussi surpris par son changement. Il y a quelques minutes je faisais face à la violence même. Mais là chacun de ses mouvements était mesuré. Il ne faisait rien qui puisse me faire mal. Je remarquais même qu'il se concentrait. Comme si il avait peur de me casser en deux. Ce qui semblait possible vu sa carrure inquiétante et imposante. Cependant, chaque chose qu'il faisait, il le réalisait avec une extrême justesse. Comme si chacun de ses mouvement était parfait.

Je me serrais contre lui et me rappelais des paroles que venait de dire Edward juste avant de monter. Je lui déposait un bisou sur la joue en lançant :

"Pa....pa."

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Il prit vite peur de moi en me découvrant d'aussi prêt. Il eut comme un sursaut et retourna vite se cacher dans le dos de son sauveur. Heureusement qu'Edward était intervenu pour les rassurer l'un comme l'autre, grâce à ça, Nahuel prit James dans ses bras et me le tendit. Le petit ne resta plus très longtemps dans les bras de l'amazone, il tendit ses deux bras pour les enrouler autour de mon cou et vint ensuite se blottir contre moi. Ce n'était plus un soucis pour moi de porter les bébés, il y avait eu Renesmée quelques années plus tôt, il m'arrivait aussi de porter Alyssa, la petite que Jasper et Alice avait adopté. Il m'étais donc assez aisé de m'occuper de James. Je laissai donc Nahuel suivre Edward dans le bureau de Carlisle pour qu'il lui explique les raisons se tout ce remue-ménage et j'avançai vers le salon avec James dans les bras.

Avant même que je n'ai pu faire trois pas, le petit hybride changea de position de façon à ce qu'il puisse me faire un bisous, j'étais heureux que lui aussi m'adopte. Cela aurait pu être dur pour lui de trouver l'amour de parents chez des personnes qu'il ne connaissait pas. Mais avec Rosalie et moi qui rêvions d'enfants depuis longtemps, il n'avait pas pu rêver mieux. Il allait être le plus heureux garçon de Forks, de toutes les Etats-Unis même. Mais lorsqu'il ouvrit la bouche, il ne fut pas le seul a être heureux. La première fois que j'entendais le petit parler c'était pour me dire:

" Pa... pa"

J'étais au comble du bonheur, j'oubliais en cet instant tout ce qui se trouvait autour de moi. Rien en effet n'aurait pu gâcher mon bonheur. Et ça pouvait sûrement se lire sur mon visage. Nous n'avions pas besoin du don d'Edward ou de Jasper pour savoir qu'en ce moment même j'étais très heureux. Je n'oubliais pas pour autant la disparition de ma mère. J'aurais aimé partager ça avec elle, elle aurait été très heureuse pour Rose et moi. Oubliant que je n'avais pas répondu à James... à mon fils, je lui fit moi aussi un bisous sur sa joue et lui dit d'un ton paternel:

- Je t'aime, James, mon fils.

Je ne savais pas encore s'il comprenait tout ce qu'on lui disait, il avait tout de même compris ce qu'Edward avait dit à propos du rôle que j'allais jouer pour lui. Après lui avoir dit cette phrase, je me suis dirigé vers le canapé ou nous nous sommes assis. Nous restâmes ainsi peut-être cinq minutes avant que je retourne en bas de l'escalier et que je hèle Nahuel pour lui demander s'il avait manger. J'attendis sa réponse pou savoir quoi faire.

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Emmet semblait vraiment heureux. Et il faisait aussi très attention. Chacun de ses mouvements étaient parfaits. Il me mettait vraiment à l'aise. Je me serrais contre lui tout de même inquiet par tout ce qui m'entourait. Je ne savais pas qui ils étaient. Je cachais mon visage dans ses larges épaules le serrant un peu plus fort. Puis nous allâmes nous asseoir dans le canapé. Je restais caché dans son cou en regardant le moins possible tous les autres. Je me sentais pas vraiment bien. Je ne savais pas quoi penser ou quoi faire. Et puis je commençais à avoir faim.

Une jeune fille de petite taille s'avança vers moi d'un pas souple, félin. Je ne la fixerais pas depuis quelques minutes je ne l'aurait même pas vu bouger. Je me blottissais encore plus contre lui. Lui il semblait vraiment au comble du bonheur. Je lui souriais sans pour autant poser mon regard sur les autres. Le jeune fille me souriais aussi. Mais ma timidité prenait le dessus. Je tentais plus ou moins de me cacher contre le corps de mon père. Il était si imposant que j'aurais pu me mettre sous ses vêtements. Mais là je me contentais de mettre ma tête dans son cou.

Je restais là à me faire câliner et observer par tous les autres. Mais ma faim grandissait petit à petit. Je gigotais un peu. Mais il me semblât qu'Emmett avait compris. Il se leva me gardant contre lui et se dirigea au bas de l'escalier. Il demanda alors à Nahuel si j'avais mangé. Je regardais alors Emmett et lui faisait non de la tête. Je lui souriais de nouveau et lui faisait un bisou. Qu'il me comprenne si bien me plaisais beaucoup. Qu'il soit si tendre avec moi me changeais. J'avais subit tant depuis ma naissance qui pourtant était très ressente. Je me blottissais à nouveau contre lui alors que nous retournions au canapé.

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L'homme que je hélai ne semblait pas m'entendre. Il devait être en train d'entendre la terrible histoire dont nous venions d'être les spectateurs. Nous savions qu'il se passait quelque chose de grave mais nous ne pouvions agir. C'était ce qu'il y avait de plus horrible je pense. Avant que je ne redemande à Nahuel si James avait mangé, je regardai ce dernier. C'est à ce moment précis que le petit hybride me fit non de la tête. Il avait très bien compris ce que j'avais dit à son sauveur. Mon fils vint ensuite déposer un baiser sur ma joue. Pour lui montrer à mon tour mon affection je le serrai fort dans mes bras, j'essayai tout de même de contrôler ma force pour ne pas faire mal au petit bout de chou. Je me posai ensuite la question de se que j'allai lui donner à manger. Je ne savais pas ce que les petits bébés aimaient mangé. Je me dirigeai donc dans la cuisine tout en réfléchissant à ce que j'allais lui donner.

Je me rappelais que pendant sa grossesse, ma sœur, Bella, s'était nourri de sang afin d'éponger la soif de sa fille qui poussait dans son ventre. Mais après qu'elle fut née, elle avait aussi mangé des pots que les humains mangent. Le problème était que nous n'avions sûrement pas de pots dans le réfrigérateur. Je m'empressai donc d'aller vérifier pour que James puisse remplir son petit ventre et mettre fin à sa faim. A mon grand étonnement, il y avait plein de petits pots rangés soigneusement par ordre d'usage. Je pouvais voir en haut, les plats principaux et dans l'étagère du dessous les desserts. Je pris donc un pots de l'étagère du dessus et lu ce qu'il y était écrit. "Épinard" ... rien que le nom me faisait envie de vomir. Je le reposai et prit un autre pot. Cette fois-ci c'était écrit "purée de petits pois", ce serait sans doute meilleur. J'allai le mettre à chauffer après avoir enlever le couvercle et regardai mon fils qui commençait à gigoter dans mes bras.

Enfin, le micro-onde sonna. Je sortis le petit pots et plongea une cuiller dedans. J'allai ensuite sur le canapé avant de réagir que c'était une mauvaise idée et me posai sur une chaise avec mon fils dans les bras. Je dirigeai ensuite le cuiller vers la bouche du bambin avant de réagir que c'était peut-être trop chaud. Je portai donc la cuiller à ma bouche avec une grimace incontrôlable et toucha un peu la substance verte. Elle ne semblait pas trop chaude pour le petit mais en revanche, elle avait très mauvais goût. J'emmenai donc ensuite la cuiller à sa bouche en espérant de tout coeur qu'il aime. Je lui mis dans sa bouche ouverte et avant qu'il ne fasse quoi que ce soit, je lui demandai d'un ton très explicite:

"- ça va, c'est pas trop mauvais? "

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Je me demandais bien ce que mon père cherchait dans ces placards. Nahuel lui ne cherchait pas. Il attrapait un animal et me le donnais. Je savais alors ce que j'avais à faire. Il me l'avait montré avec une espèce d'énorme peluche poilue. Je me souviens de ce jour. C'était le même que celui qui avait vu s'éteindre ma mère alors que je sortais de son ventre et qui avait vu tous le village se soulever contre moi.

Emmett semblait avoir trouvé son bonheur. Je voyais dans ces mains un petit pot de la même couleur que les feuilles des arbres. Je me demandais bien ce que cela pouvait être. Toujours dans ses bras, je le laissais poser ce petit objet dans une étrange machine. Mais je me concentrais sur lui. Je plongeais mes yeux dans ceux noisettes de mon père. Puis de mes petites mains, je commençais à tripoter son tee-shirt. Je le menait à ma bouche et commençais tout juste à le sucer quand la machine émie un bruit aiguë.

Papa retira le pot du carré blanc et me ramena dans le salon. D'abord sur la canapé. Je me blottissais contre lui tentant de me cacher des regards. Emmett se releva quelques secondes plus tard et m'amena un peu à l'écart. Il me posa sur ses genoux. Je commençais à grogner. J'avais faim et le pot émettait une odeur désagréable. Il avança une cuillère vers ma bouche avant de se raviser et de toucher son contenue avec ses lèvres.

Il n'espérait tout de même pas que j'allais avaler cette bouillie malodorante si ? Mais apparemment c'était son plan. Il avança de nouveau la cuillère à ma bouche. Je mangeais son contenu. Mais alors qu'il me posait une question, je recrachais tout sur lui. C'était vraiment infect. Mais en même temps, je rigolais. Papa était couvert de cette désagréable substance couleur feuille d'arbre.

Je rigolais quelques instants avant de me blottir contre lui. C'était pas bon et j'avais faim. Je mordais alors son cou gentiment en espérant qu'il comprendrais ce que je voulais.

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Je n'avais pas remarqué que pendant que je courrai dans la cuisine pour que la fin de mon fils soit épanchée, ce dernier avait tenté de se nourrir d'une autre manière. Il avait tenté de gouter à mon tee-shirt, je ne l'eus remarqué que quand je portai la cuiller de bouillie à sa bouche. En effet, deux petits trous se dessinaient désormais dans mon tee-shirt. Je ne pus m'empêcher de sourire à ce tableau. Vint enfin le moment ou la cuiller entra dans sa bouche. Je retins dés lors ma respiration même si cela n'avait pour mon organisme aucun effet. J'espérais de tout cœur qu'il aime, ce qui serai certainement chose difficile. Mais je ne voulais pas qu'il pense que je ne prenais pas soin de lui. J'examinai son visage dans le moindre détails, je voulais savoir si oui ou non, cette substance verdâtre était à son goût.

Cependant, au moment ou je regardais par la baie vitrée pour voir un écureuil passé je fus aspergé de purée de petits pois. Mon fils venait de recracher sur moi tout le contenue de sa cuiller. A mon grand étonnement, je ne fus pas pris d'un élan de colère comme je l'aurais fait d'habitude. Je ne sais pas si c'était le don de Jasper qui faisait toujours effet sur moi ou si c'était tout simplement mon fils qui m'apaisait comme ça mais je n'étais pas habitué. Je pris donc la serviette que j'avais sorti au cas où le petit monstre bavait pour m'essuyer le visage. Au moment où je la reposai par sur la table, je vis James éclater de rire. Je lui souris pour lui faire comprendre que je ne lui en voulais pas et James vint se blottir dans mes bras. J'étais heureux de voir qu'il m'avait adopté lui aussi, il me voyait comme son père et ce que je voulais être pour lui. Au début, j'avais eu peur qu'il ne m'accepte pas mais ça c'était réellement bien passé.

Je sentis alors dans mon cou quelque chose de froid y pénétré, je ne mit pas longtemps à comprendre que c'était les dents de James. Que voulait-il me dire? Je réfléchis quelques secondes avant d'avoir une idée. Peut-être qu'il voulait tout simplement du sang. Après tout il était à moitié vampire et il préférait sans doute du sang. Je me sentis bête, pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt? Je regardai mon fil et l'écartant un peu de mon cou et lui dit d'un ton paternel:

"- Tu as faim, je vois, viens on va aller chasser tout les deux. "

Je ne vis pas si c'est ce qu'il voulait mais j'allai voir Alice pour lui demander où était les affaires qu'elle avait acheté dans l'après-midi avec ses sœurs. J'allai à l'endroit qu'elle m'avait indiqué, c'est à dire dans l'entrée et prit la première veste que je trouvai, c'était une veste noir qui était évidemment magnifique étant donné que c'était Alice qui l'avait choisie. Je la mis à mon fils et ensemble nous partir vers le ruisseau derrière la maison.

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Blottit contre mon papounet d'amour, je tentais de ne pas trop enfoncer mes dents dans sa peau. Je ne voulais pas lui faire de mal. Et puis jusque là tout ce passé bien. Mais une chose me chagrinais. Je n'avais toujours pas vu maman. Devais-je en avoir une ou Emmett serait-il mon seul parent ? Je regardais son visage après avoir enlevé mes dents de sa peau. Les deux petits trous se refermèrent presque instantanément. Il souriait. Je faisais de même et lui posais un nouveau bisou sur la joue. Puis voyant que nous retournions au salon, je me serrais fort contre lui et cachais ma tête dans son cou.

Il parla quelques secondes avec la dénommée Alice. Moi je restais contre lui gesticulant de plus en plus tellement j'avais faim. Il chercha alors quelque chose dans un sac et en ressortit un magnifique veste. Enfin magnifique pour un adulte. Moi à par identifier que c'était approximativement ma taille et que la couleur était le noir je n'en faisais pas grand cas. Il me la passa et puis sortit de la maison disant aux autres qu'il allait chassé avec moi.

Il m’amena près du ruisseau juste derrière la maison. Il y avait plein de bruits. Je n'en identifiais même pas la moitié. J'étais bien incapable de dire ce qui produisait tous ce brouhaha. Mais je sentais aussi plein de nouvelles odeurs. Ainsi assailli par tant de nouvelles sensations, je ne me sentais vraiment pas bien. Je restais blottit contre mon papa mais pas rassuré du tout. Je regardais partout un air apeuré passant sur mon visage. La seule chose que j'arrivais à identifier, c'était le clapotis de l'eau.

Je tremblais littéralement de peur et déjà des larmes apparaissaient sur mon visage. Mais devant l'air rassurant d'Emmett, je me calmais. C'est alors que j'entendis un autre bruit un peu plus loin. Une biche traversa alors sous notre regard sur l'autre rive. Papa fonça sans réfléchir et rattrapa la bête en un rien de temps. Cette dernière s'effondra quelques secondes plus tard, un liquide rouge appétissant sortant du dessous de sa gorge. Emmett me laissa descendre et je faisais comme Nahuel m'avait montré. Je perçais la chair de la bête avec mes dents et buvais ce fameux fluide que je trouvais bien meilleure que cette horrible bouilli verdâtre.

Enfin, quand nous eûmes tous deux finit notre festin ; j'avais encore "mangé" comme un cochon et m'en étais mis partout ; je retournais dans les bras de papa et nous retournions à la villa. Mais un petit changement avait opéré en moi sur le chemin du retour. Je sentais que j'étais fatigué. Je baillais. Je regardais alors papa dont les vêtements blancs étaient devenus rouge à mon contact. Moi aussi j'étais bien sale. Mais cela ne m'empêchais pas de fermer les yeux sur le trajet du retour.

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» Une rencontre innatendu
» Devinez qui est de retour? :3

Un retour innatendu.

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