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|  Sujet: Quand la falaise se transforme en lieu de rencontre pour une louve et un vampire (Spike/Talya)  Mer 22 Mai - 8:56 | Je venais d’arriver à la falaise. Depuis le temps que j’entendais les autres loups de la meute en parler et qu’ils me disaient de venir avec eux et qu’à chaque fois je refusais, leur rappelant que j’étais plutôt d’une pudeur maladive. La réalité était autre. En faite j’avais surtout peur de prendre un sacré rateau en plongeant, de boire la tasse et d’être la risée de tout le groupe à cause de ça. Du coup je préfèrais qu’il me croit juste trouillarde, pace que je savais bien qu’il ne croyait plus l’excuse de la pudeur maladive, que de me prendre la honte de ma vie ! Mais ce qu’ils ne savaient pas c’est que j’allais réguilèrement à la falaise, dans le but de m’entrainer ou du moins d’essayer de sauter, je voulais y arriver mais j’avais tellement peur que ça me paralysais et que j’en développais le vertige, pourtant ce n’étais pas faute d’essayer de me rapprocher de la falaise, mais la peur était tellement forte que je finissais toujours par renoncer !
Mais aujourd’hui j’étais remontée à bloque, enfin si on pouvait dire ça comme ça, j’étais décidée à le faire coûte que coûte aujourd’hui, c’était bien simple j’étais bien décidée à ne pas quitter la falaise tant que je n’aurai pas sauté au moins une fois ! J’avais besoin de me prouver que j’étais capable de le faire, comme les autres, je ne voulais pas renoncer, je voulais réussir à m’intégrer dans la meute de Jacob et je savais que sauter à cette falaise faisait partie de ce qu’il me faudrait faire pour y arriver ! Bien qu’ils ne m’avait encore jamais mise à l’écart, je ne voulais pas que cela devienne un problème.
J’avais encore le souvenir de mes années en Russie, ces années où pour essayer d’avoir un peu de respect j’étais prête à renier ma vraie personnalité et « jouer » les méchantes, alors même que personnes n’y croyaient et que je savais que je ne faisais plus illusion depuis longtemps. Quitter la meute et la Russie avait été une délivrance pour moi, trouver Jacob et sa meute avait été ma bénédiction, même si ça m’avait prit du temps pour le retrouver ! Il m’avait accepté dans sa meute, je me développais gentiment découvrant le bonheur que c’était de pouvoir être juste sois-même sans faux semblant, Jacob et le reste de la meute m’avait accepter tel que j’étais avec mon passé. Du coup pour eux je voulais réussir à sauter de cette falaise ! Il le fallait !
Je venais d’arriver devant la falaise, j’avais pris de quoi passé la nuit là au cas où, et des habits de rechange si je décidais de sauter alors que j’étais encore habillée, je ne voulais risquer de perdre du temps à devoir me déshabiller avant de sauter et ainsi me retrouver à nouveau paralysée par la peur. J’avançais calmement vers la falaise, enfin le plus calmement possible. Je posais mon sac par terre à quelques mètres du bord de la falaise, j’enlevais ma veste respriant profondément, tout en continuant de me déshabiller. Une fois en maillot de bain, j’avais mis mon maillot de bain porte bonheur vert. J’avançais de plus en plus vers la falaise, le temps n’était pas des chaud mais ce n’était pas grave, le faite d’avoir un côté loup me permettait de ne pas ressentir le vent froid. J’étais au bord de la falaise, j’avais fermé mes yeux, respirant profondément, avançant petit à petit mes pieds dans le vide, enfin, j’avais déjà les orteilles dans le vide. Je me disais que si j’avançais suffisemment je finirais par tomber toute seule.
Mais tout à coup, je senti une odeur, une odeur qui ne m’était pas famillière ce n’était pas l’un des mien, c’était plutôt l’odeur d’un vampire, peut être sanguinaire de surcroit, j’ouvris les yeux faisant un pas en arrière commençant à observer la végétation qui m’entourait, je me rapprochais de mes habits, mon souffle devenait plus irrégulier j’avais un peu peur, une fois vers mes habits j’attrapais mon linge, je m’entourais dedant avant d’ouvrir la bouche et de dire…
- Qui est là ? Montrez-vous !
Mon regard balayait toujours la végétation alentour, j’étais sur le qui vive et attendant de voire qui allait sortir des buissons et où ! J’étais dos à la falaise de manière à avoir de la visiblité sur toute la végétations qui m’entourait !
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