.

.

Parfois les opinions et les idées forgées sont tellement encrées dans une personne qu'il est surement et presque impossible de lui faire changer d'avis malgré toutes la persuasions dont l'on peut faire preuve.

Le prototype du vampire est caractérisé comme méchant, tueur et sans aucune pitié sauf que nous ne ressemblons pas tous au prototype vampirique fais par les mythes, histoires et légendes que les humains se sont imaginés. Parmi toutes ses créatures tueuses qui ont tant vidée de corps de leur précieux jus renie leur vraie nature : soit celle de tuer des humains. Nous ne sommes pas tous sans pitié et sans consciense. Humain déjà la conscience est bien la chose la plus dur à gérer cependant vampire même si notre corps ne changera plus et que notre coeur s'est arrêté, la conscience elle est toujours présente. Malgré sa présence, notre esprit surdeveloppé nous fournit la capacité de gérer nos pensées ainsi de mettre notre conscience de côté pour assouvir nos besoins en sang plus précisement de tuer. Mais comme chez les humains nous sommes tous différents, nous avons chacuns des motivations différentes et des conceptions de la vie différente et ça même si notre vie en question durera l'éternité. La motivation est bien la seule chose qui nous aide à renier cette nature tueuse si nous le voulons, certes l'appel du sang est plus qu'attirante, mais pas insurmontable. Avez-vous déjà songé à l'expression du visage d'une personne quand elle a compris qu'elle allait mourir ? He bien, c'est horrible et notre conscience est là pour nous le rappeler tous les jours de notre vie. Malgré que mon dernier meurtre humain remonte il y a de ça un peu plus d'un siècle, je revois encore le regard emplit de peur et de détresse de chaque humain que j'ai vidé de leur nectar si précieux.

Seulement si dans le monde des vampires notre régime peut être aussi bien vu comme une alternative prodigieuse d'autres nous haïsse à cause de cela. Nous sommes selon eux la honte des vampires qui ne merriteraient rien d'autre que de mourir dans une douleur atroce. Ces vampires qui aiment temps plantaient leur crocs acérés dans le cou des humains et les vidés jusqu'à la dernière goutte. Ils en tirent même une certaine fierté et satisfaction. Beaucoup de vampire traditionnel nous en veulent à nous et notre régime peu alléchant, mais ceux qui nous haïsse le plus reste sans aucun doute les Volturi. La famille royale plus qu'adepte de la tradition sont révulsé de voir que nous nous épanouissons à boire le sang d'animaux. Notre régime est certes l'une des principales choses qui les font nous haïr seulement ce n'est pas la seule. Le fait que notre famille ou « clan » - comme il aime nous appeler - possède des dons plus qu'utile pour nous protéger donc nous sommes inévitablement dangereux pour eux et l'affront d'il y a cinq ans n'a pas arrangé les choses. Notre rebellion les a fortement énerver, nous avons défié leur autorité et cela leur est insupportable. Afin de voir où nous en étions, j'ai appris par le biais des visions d'Alice et des informations des meutes quilleutes que les Lewis avait débarqués dans le but de nous surveiller avant certainement un prochain afront, car soyons réaliste je doute que les Volturi en reste là. La colère et la haine que j'avais lue dans l'esprit d'Aro était dévastatrice et sa revanche serait sans doute à la hauteur de la haine qu'il érpouve pour nous. Les Lewis prenaient leur rôle très à coeur prenant un malin plaisir à nous taquiner et à tuer quelques humains non loin de Port-Angeles. Aucun d'entre eux n'avait encore touché une personne de Forks, cela dit je ne donnais pas très chère de leur peau s'ils arrivaient entre nos mains ou les crocs des Quilleutes. Les Lewis et les Waynes étaient sous surveillance des loups et de la nôtre par la même occasion. Nous ne voulions en aucun cas que notre nature soit révélée au grand jour. Seulement en plus de ça voilà débarqué un Volturi, mais pas n'importe lequel surement le plus instable qui éprouve un amour inconditionnel pour Jane. J'avais pu lire dans ses pensées quelques fois auparavant et il éprouvait une haine sans nom à mon égard, il voulait à tout prix me faire souffrir en touchant à l'un des miens plus précisément Bella et Nessie. Le simple fait qu'il veuille toucher aux deux personnes les plus importantes pour moi me donnait envie de le tuer. Cela faisait un petit moment déjà que ce Jayden rodé autour de la maison et je n'étais pas tranquille. J'étais bien décidé à l'informer aujourd'hui de ce qu'il encourrait s'il touchait à ma famille.

Je le trouvais là allongé dans ma clairière.

_ Je crois qu'il en grand temps que je t'informe de ce que tu encoures si tu touches à un seul cheveux d'une personne que j’apprécie. Fis je sèchement en me postant devant lui les mâchoires contractées.

.

.

Posséder le don de la télépathie a toujours était perçu comme quelque chose de formidable pour la plupart des vampires et même des humains donnerait tout pour lire dans les pensées parfois. Seulement ce don à deux facettes, certes il peut être utile et agréable, mais il peut être aussi pénible et dévastateur. Entendre ce vampire blond allongé par terre pensait librement sur ma façon de vivre et mes choix de vie ou bien encore ma famille. Me donner envier de le coller contre un chêne et lui arracher la tête. La tradition vampirique était bien encré chez lui pas étonnent que les Volturi l'ait envoyé ici. Aucune conscience, aucun sentiment tel un robot il répétait machinalement ce que les Volturi lui avait sans doute inculqué. Si seulement ces vampires pouvaient avoir une once d'intelligence et prendre leur propre décision sans forcément suivre les ordres des Volturi, ils seraient sans aucun doute bien plus intelligent et libre ? Mais la liberté les intéressent-ils vraiment ? Après tout c'est vrai, qu'est ce qu'il les retient dans ce monde ? Ont ils seulement un jour éprouver de la joie, de l'amour inconditionnel envers la personne que l'on aime ? Non les seules choses qui les maintient sont le pouvoir, la cruauté et la soif de sang humain. Toujours tuer plus pour se sentir fort et invincible si seulement il savait qu'il y'avait d'autre moyen pour ressentir ses sentiments.

Le buté voilà une chose qui m'avait traversé plus d'une fois l'esprit. Mais je ne le ferais pas du moins pas maintenant, nous n'avons pas comme politique de tuer sans raison a Forks. Même si ce vampire est sans doute bien machiavélique et vicieux il n'empêche que nous essaierons d'autre moyen pour le faire fuir avant d'envisager de le tuer. Ses paroles me rappelaient Victoria, c'est vrai nous l'avions laissé dans la nature et cela avait failli couter la vie a plusieurs d'entre nous et particulièrement Bella. Mes poings se serrèrent malgré moi.

« Et tu comptes t'y prendre comment ? Mon dieu Cullen que t'es... Ennuyeux. Pathétique. C'est... Lamentable pour ne pas dire ridicule. Y'a pas que moi qui veut les butter tu sais. Tu veux jouer au jeu du plus pervers ? T'as perdu ! »

Que pouvais-je bien répondre à ça ? En plus d'être cruel et machiavélique, il était psychotique ! Les Volturi avait vraiment bien dénicher leur bombe a retardement. Je le scrutais avec un regard noir, les mâchoires sérrés, mais ne répondit rien. Ce qu'il attendait par dessus tout s'était que je rentre dans son jeu. Des fêlés comme ça, il n'y en a pas beaucoup, mais le peu que j'ai croisé dans mon existence ont toujours eu pour réel intention de faire entrer leur victime dans leur jeu afin que cela soit plus jouissif pour lui.

« Tu sais que je l'ai observé l'autre jour sous la douche. Ta Bellllla. Elle est plutôt bien roulée, t'as pas des goûts dégueulasses. Elle est bonne au pieu ? Elle baise bien ? Elle doit. J'aimerais bien expérimenter. Si t'es aussi raide que tu l'es maintenant, tu dois être d'un barbant. La pauvre. T'arrive à la faire jouir ? »

Mes mâchoire se contractèrent encore plus et mes poings se serrèrent davantage ? Qu'il s'en prenne à moi est une chose mais à ma femme en est une autre. J'avais envie de le démembrer la tout de suitemais au vu de ses pensées c'est ce qu'il attendait par dessus tout. Il fallait raisonner différemment même si mon envie de le tuer était plus que présente en moi.

_ Ne t'approche pas d'eux ! Je t'aurais prévenu maintenant je te laisse fantasmer sur tes délires psychotiques Fis je froidement.

Je lui lança un dernier regard noir avant de disparaître en direction du cottage pour retrouver Bella. Bella qu'il fallait que je protège de ce grand malade pervers.