J'avais eu une violente dispute avec ma mère et maintenant la voilà dans le coma, ne me laissant aucune chance de m'excuser. Le soir de notre dispute j'était sortie en claquant la porte, j'était partie voir une amie, et en rentrant, j'entendis mon portable sonner. Mauvaise nouvelle. J'était en larmes. Elle était si douce et si gentille, elle ne mérité pas de mourir, pas comme ca. Mais revenons au présents. Je n'était pas aller en cours et j'avais à plusieurs reprises éclater en sanglots seule dans ma chambre avec mes musique déprimante. J'avais finalement pris la décision de sortir prendre l'air. Mais mes pas me guidèrent jusqu'à l'hôpital. C'était le docteur Cullen qui s'occupé de ma mère. J'était ravis car on ne trouvait pas meilleur médecin dans tout le pays, enfin à mes yeux en tout cas. Je le remercier de s'occupé d'elle et pris congé. Tout ca me touchais beaucoup trop. Je repensais à beaucoup de souvenir bon comme mauvais. J'avais pris le volant de la voiture, malgré mes dix-sept ans. Et oui dans notre pays, seize ans suffise pour que l'on puisse conduire. J'allais si mal moralement que sans le vouloir j'avais foncer dans un muret, heureusement pour moi je ne rouer pas vite. Je m'était juste cogné la tête, je n'aurais qu'une petite bosse.

J'avais laisser ma voiture sur le bas côté et je voulais donc rentrer à pieds. Mais malheureusement je n'était pas très douée en orientation. Je marchais donc pendant une bonne trentaine de minutes pour finalement baisser les bras. Ce que je ne savais pas ce que cette nuit aller être horrible ! En effet des hurlement de loup ce firent entendre, et les buissons très nombreux était agiter par le vents et les différents animaux vivant dans cette forêt. Du coup je me mise à courir sans regarder où j'allais. Si mon orientation me jouer des tour, ma mémoire visuelle était très bonne, seulement dans la précipitation je n'avais pas eu le temps d'observais le moindre détails qui m'aiderais à retrouvais mon chemin. J'était désormais perdue, j'avais froid et surtout j'était entièrement déprimée ! Je me réfugier donc contre un arbre dont le tronc formais un léger creux. J'état assise, la tête sur mes genoux, et mes bras autour de ses derniers. Face à tout ces évènements je n'étais qu'une petite fille sans défense. J'entendis soudainement des pas, mais il en faudrait bien plus pour me faire bouger de mon emplacement. Dans ma fuite, je m'était faite une petite écorchure. Si mes pleures étaient inaudible, mon sang lui conserver toute son odeur attirante pour les être de la nuit dont j'ignorais complètement l’existence.

Je pris mon téléphone portable et observa mon réseau, il n'y avait rien dans cette partie de la forêt qui réceptionner la moindre onde. En colère contre ce petite appareil et contre moi même, je le jeter de toute mes force loin devant moi. Il fini sa chute dans une flaque d'eau. Il s'éteint donc, et j'était injoignable désormais. Les bruit de pas s'intensifier, et je restait la tête cachais sur mes genoux. Les larmes coulaient le long de mes joue, et des petite sanglot était audible. Je ne savais même pas si j'allais survivre dans cette forêt jusqu'à ce qu'une personne me retrouve. Après tout malgré les bruit de pas que je pouvais entendre, je ne savais pas si la personne était présente avec de bonne ou mauvaise intentions.

Une personne ce tenais devant moi. Lorsque la personne pris la parole, je levers les yeux vers elle, c'était un homme. Je soupirais. Bien entendue je ne savais pas qui il était, mais que pouvais-je bien lui dire moi ? Que si j'étais seule ici comme une con*e c'étais à cause de moi. Je soupirais, je ne voulais pas me montrer désagréable face à lui après tout il ne m'avais rien fais. Je le dévisageais. Il était beau, mais pas du tout mon genre et surtout, il avait une alliance au doigt. Marié donc. Je l'observé encore un moment avant de finalement l'écouté me parler. Je me relevais, ne m'approchant pas de lui, je n'avais peut-être pas peur, mais la méfiance était de rigueur face à un inconnu. Je resterais donc vague.

« Oui c'est ma voiture. Je ne savais pas que c'était dangereux, Je suis seule par choix. »

Ma voix était tremblante, de la peur ? Non pas du tout, juste de la tristesse. Une profonde douleur. Ma mère était entre la vie et la mort, des inconnu se prétendait être mes grands-parents et je le détestaient déjà. Toute ma vie était entrain de partir en miette, et j'était une spectatrice impuissante. J'était pourtant la cause de tout mes malheurs. En effet, ne me voyant pas revenir après une violente dispute entre nous, ma mère avait pris la voiture pour me retrouvais, et c'est ce même soir qu'elle as eu son accident. Je baisser la tête. J'étais incapable de dire quoi que se soit par rapport à ma mère à cet homme. Je voulais encore moins me présenter. Qu'avais-je à y gagner de toute mannière ? Rien ! Je pris un chemin quelconque, peut-importe si je me perdais encore plus. Les hurlement qui m'effrayé, me faisais sursauté à plusieurs reprise. Je ne voulais pas montrer mes crainte à l'homme présent. Je lançais un regard derrière moi, je ne le vit plus, m'étais-je déjà autant avancé que cela ? N'avais-je pas étais bête de fuir ? Après tout si il était venu jusqu'à l'endroit où je me trouver, c'est qu'il était soit perdu, soit qu'il connaissait très bien la forêt. Je fis volte face et retourna à l'arbre courbé. Je plongeait mon regard bleu dans le sien.

« Je suis perdue en réalitée ... Et vous ? »

Je ne savais pas trop comment amorcer la discussion avec lui. Et en plus, ma tristesse et ma douleur, m’empêcher d'être naturelle et donc d'être cette jeune fille toujours souriante même dans les situation un peu étrange. Je restais maintenant silencieuse, espérant juste ne pas transmettre mon mal-être à cet homme.