Sujet: Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle? [Privé] Sam 25 Aoû - 14:21
« Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle? »
J'étais dans un sommeil profond et je sentis une légère secousse, dans une gémissement j'ouvris mes yeux. Il était là, face à moi, son visage d'ange, ce n'avait donc pas été qu'un simple rêve? J'approcha ma main de sa joue glacée, pour la frôler du bout des doigts, pour m'assurer que tout ça était bien réel. Il me sourit et murmura à mon oreille:
« Nous sommes arrivés. »
Je me redressa et regarda aux alentours, tout me revint alors, j'avais suivis cet abruti à Volterra! Merde, Owen allait surement me faire la peau après ça... Il avait suffit d'une visite, une visite pour me pousser à suivre Alec en Italie, c'était là quelque chose de bien pathétique. En effet, lui n'avait pas dégné me donner de nouvelles durant une longue année, si il était venu me voir, c'est bien parce que son maître lui avait donner une mission à Forks. Malheur, cela voulait dire qu'une chose, j'aimais Alec, j'aimais une sangsue, un buveur de sang, un sang-froid, un vampire! Alors que je mis mon visage dans mes mains, il se mit à caresser mon dos, je frémis, ah non ce n'était vraiment pas le moment! Je me mis rapidement debout et le fixa, dans un soupire, je répondis enfin:
- Alors allons-y!
Il mit alors sa cape et son visage angélique disparu dans l'ombre, en tant qu'homme galant il prit même mon sac de voyage et nous sortîmes de l'avion. Le soleil sut m'éblouir, jamais au grand jamais, il avait fait aussi beau à Forks et encore moins aussi chaud! Je compris alors l'utilité des capes que les Volturi enfilaient partout où ils allaient, c'était pour cacher l'être ignoble qu'ils étaient. Je souris et je serra Alec par la taille, collant mon minois à son épaule, finalement j'étais bien contente d'être là, avec lui. Quoi que, on était ici chez lui, en d'autre mots chez les Volturi, si lui ne me ferrait jamais aucun mal, je n'osais même pas imaginer la réaction de ses semblables...
Alec ne me fit rien visiter, il me promit que le soir ça serais différent, j'eu beau être déçue, je réussi à comprendre, il y avait trop de soleil, cape ou pas, il attirerait beaucoup trop l’attention. Il m’amena alors directement à mon hôtel, tandis que je rangeais mes quelque affaires, il était sur le lis, à me fixer de ses prunelles rouges sang. Quand j'eus finis me demanda de lui accorder une danse et c'est en me collant à son corps glacé que j'accepta. Nous dansâmes aux rythmes d'une chanson imaginaire et un sourire béât ne tarda pas à s'afficher sur mes lèvres. Tout cela prit alors fin, quand il me ramena contre lui et m'embrassa longuement, si lui n'avait pas besoin de reprendre son souffle, moi oui et c'est alors qu'il me regarda et me dis dans un sourire:
« Nous devons allez au château. »
J'haussa un sourcil, nous, pourquoi donc? Ne pouvais-je donc tout simplement pas l'attendre ici ou encore visiter Volterra en son absence? Apparemment non et je ne fus pas particulièrement enchantée à l'idée de me retrouver dans un nid de vampires...
J'avais entendue toutes sortes d'éloge sur le château Volturi, mais je me retrouva quelque peu déçue, déjà le tout était sous le sol, c'était donc aussi humide qu'à Forks et l'intérieur se trouvait être d'un mauvais goût! J'étais encore occupée à regarder la décoration d'un oeil critique, quand soudain Alec m'attrapa par les épaules:
« J'ai un truc à régler, ça prendra seulement quelque minutes, reste ici. »
Je le regarda partir, voilà qui était bien secret, un rapport de sa mission? Oui, surement. Je m'assis sur une chaise en attendant, une jambe par dessus l'autre, fronçant le nez à cause d'une odeur trop forte. Soudain, un groupe d'humains passa et je souris, oui ça c'était fort, ils se faisaient donc livrer la nourriture! Je resta seule longtemps, j'eu même le droit d'entendre les cris des bipèdes, alors qu'ils se faisaient sans doute dévorer tout crus. Je lâcha un soupire et posa ma tête dans ma paume de main. Soudain, une odeur de cadavre se fit sentir, je reconnus là ni Alec, ni Collin, mes deux chouchous de vampires. Instinctivement je me releva dans un bond et attendit que cette fille, sauf si je me trompais, se présente.
Sujet: Re: Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle? [Privé] Mer 29 Aoû - 11:10
Faith & Annabella
J'étais dans ma chambre, ennuyais par le temps qui passer si lentement. Je n'avais pas eu le droit de sortir aujourd'hui, Aro m'avais dit que nous allions avoir une invité suprise et il voulais que je m'en occupe. Et bien il en était hors de question. Jane ma meilleure amie chez les Volturi était en pleine scéance de torture, je n'allais donc pas la déranger. Alec ? Je ne savais pas où il était partis, mais Collin m'apporta des nouvelles. Je saluer mon ami qui entrer dans ma chambre. Je restais un petit temps avec Collin, puis nous prîmes la direction des cachot en faisant une course, bien entendue ce fut Collin qui remporta. Nous nous regardions puis dans un élan de courage nous entrions dans les cachot ou se trouver plusieurs humains prisonniers. Collin avait déjà repérer son repas ce midi et pris la personne avec lui pour l'emporter dans sa chambre, me saluant et me laissant seule dans cette endroit puant. Je pris un homme qui devait avoir dans les vingt ans. Je lui agrippa vivement le poignet et le fit sortir de sa cellule que je laisser ouverte car il était seule dans ce lieu. Je le coller contre moi, l'embrassant et le chauffant un peu. Une fois que l'homme fut confiant et commença à essayer de m'enlever mon haut, je lui cassa le poignet, son hurlement de douleur ce fit entendre dans le château entier. Je mordis son poignet et le vida de son sang. C'était un sang fort, avec beaucoup de gout, mais à faible teneur en fer, ce qui lui donner un gout plus ou moins sucré. Je laissait tomber le corps à terre, je savais très bien que ce n'étais pas à moi de le faire dans les murs du château, mais je fit tout de même brûler le cadavre. Je me diriger vers la sortie des cachots. Le garde me fit sortir.
Je revivais ! L'odeur était enfin soutenable. Tien donc en parlant d'odeur, une très particulière me parvenue. Je poussais un soupir. me dirigeant rapidement dans les couloirs. J'arrivais à un tournant lorsque je reconnus l'odeur désagréable de chien. Je me trouver désormais face à une femme brune. Elle se tenais face à moi, me toisant du regard. Je ne la voyais accompagnée de personne. Je ne répondais pas à l'attente de la jeune femme qui semblais attendre que je me présente. J'eu un sourire sur les lèvre. J'avais ma cape sur moi, mais pas ma capuche, car je n'étais pas de sortis ce soir. Finalement je compris que je me trouvais face à l'invité dont m'avais parler Aro. Je n'aimais vraiment pas son odeur, ce qui me fit reculé d'un pas. Froide, distante et sans aucune intérêt pour elle, je pris tout de même la parole. Je voulais savoir qui l'avais amenée ici. Je lui lançais un regard assez froid. Je savais que si je le voulais je pouvais la contraindre à faire ce que je voulais, car mon don était de persuader un modificateur à faire ce que je voulais pendant trente minute pour le moment. J'user alors de mon don sur elle.
« Que fais tu là et qui t'a laisser ici ? Répond moi tout de suite ! »
La jeune femme n'avais pas le choix. Comme mon don était actif sur elle pendant encore vingt-neuf minutes, je pouvais lui faire faire plein de conneries. Avantages ? Elle ne se souviendras de rien une foi mon emprise relâcher. J'était très impatiente d'entendre sa réponse. Je ne bougeais pas, me tenant face à elle. Je n'aimais pas savoir des inconnus dans nos murs, et Aro partager mon avis, surtout quand il était question d'un ou une louve. Je ne fit rien d'autre. J'étais très patiente, mais de toute manière la louve allait me répondre très rapidement puisque je le lui avait ordonner. Je restais calme et la fit finalement s’asseoir avec ma force sur humaine, je pris place à ses côté. Je claquais des doigt, une servante humaine arriva rapidement. Je lui demander de nous amener une femme humaine provenant des cachot, et surtout de l'endormir. Je voulais boire un peu pendant mon interrogatoire, et peut-être donner les reste à cette jeune femme si jamais elle était une carnivore. La servante fut rapide et revient avec une jeune femme endormie, qu'elle plaça assise à mes pieds. Je pris délicatement son poignet et le mordis.
« Dis moi, tu es une sale végétarienne, ou une carnivore ? »
B-NET
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