J'étais toujours dans mon lit , en train de réfléchir tranquillement , je savais que si je sortais de ma chambre je tomberais sur un membre du clan et pour le moment je n'étais pas disposé à parler. J'avais besoin de calme et pour ça il fallait que je reste seul , même si je savais que cela n'allait pas vraiment durée longtemps. Des flash back du passé étaient dans ma mémoire , ma vie d'humain etc. Tout cela était étrange , je n'avais pas vraiment l'habitude de ressasser le passé et pourtant aujourd'hui c'était différent.

Après quelques minutes de méditation je finis par poser un pied par terre. Je n'avais pas vraiment le courage de me lever aujourd'hui , même si bien sur je n'avais pas vraiment dormi de la nuit , mais j'avais simplement eu besoin de m'isoler.

Il était tant pour moi de me dirigeais vers la douche , pour remettre mes idées en place. En tant que chef de clan , je me devais d'avoir la tête toujours sur les épaules et non en vrac, mais par moment je devais bien avouer que c'était très difficile.

Il me fallait au moins quinze bonne minutes , sous l'eau qui devait surement être brûlante car je n'avais tourné que le robinet d'eau chaude , mais je ne ressentais rien , ma peau rester froide malgré ça.

Il fallait maintenant que j'ouvre cette porte , cette porte qui me séparé du monde réelle. A peine sorti de cet pièce , et après mettre installé sur le canapé, Marianne venait déjà vers moi . Cela ce voyait très bien sur son visage qu'elle avait besoin de s'expliquer avec moi.

Waren - " Oui Marianne , tu as besoin de quelque chose ? Qu'est-ce que tu veux ? "

Je voyais très bien dans son regard qu'elle n'était pas venu vers moi pour parler calmement , à vrai dire je ne savais pas encore si je pourrais être capable de supporter ses reproches aujourd'hui. Tout cela était à voir ...

Je voulais absolument resté tranquille aujourd'hui , je n'étais pas d'humeur à me disputer avec un membre quel qu’on que du clan. Malheureusement , je savais très bien que Marianne allé m'interpeller. De tout de façon il n'y avait pas vraiment un seul jour ou elle ne me disputait pas.

Malgré ça , il fallait avoué qu'elle était peu être la seule femme que j'avais aimé durant toute mon existence comme cela , je ressentais au fond de moi que ces sentiments étaient bien réesl et de plus profond.

Cet amour n'était pas vraiment consommé on va dire , notre orgueil étant plus fort. Nous ne voulons pas nous l'avouer mutuellement , mais tout le monde le sais dans le clan , nous sommes fait l'un pour l'autre en tout cas c'est ce qu'on nous dit.

Pourtant même si cet amour n'était pas encore pleinement aboutie , cela nous suffisait pour le moment.

J'étais tranquillement installé dans le canapé , j'avais remarqué la présence de Marianne déjà depuis pas mal de temps qui était dans les parages. Elle ne mis que quelques minutes pour arriver vers moi. Après que je lui et demandé ce qu'elle voulait , elle me répondit qu'elle m'enverrait une liste mais pour le moment il faudrait que j'écrive à mon divertissement du moment que le téléphone existé.

Par divertissement du moment elle voulait surement parler de Clotilde. Il fallait bien que je m'occupe. Elle me balança ensuite une lettre , bien sur je la récupérais très vite en vitesse éclaire.

Waren - " Donne moi ça veux tu ! Je te signale qu'elle est adressée pour moi , tu ne vois pas qu'il y a mon prénom en gros dessus ? Bon écoute Marianne , mon nouveau divertissement comme tu dis , fait maintenant partie du clan alors tu la laisses tranquille compris !

Je regardais l'homme, ou plutôt le vampire qui fait battre mon coeur mort... L'homme dont je rêvais de pouvoir toucher les lèvres et corps. Le seul et l'unique qui détient mon coeur. Le seul avec qui je me prend autant la tête. Bien sûr il ne sait pas les sentiments que j'ai à son égard ! Je n'oserais et pas le lui avouer. Puis si cela n'est pas réciproque je me sentirais bien stupide ! Puis il n'y a pas que ça. Je ne veux tout simplement pas le dire la première, je tiens à ma dignité de fille sans coeur incapable d'aimer.
Il est vrai que j'ai déjà eu plusieurs conquêtes masculine. Mais ce n'est pas un crime a ce que je sache ? Puis je ne fait rien de mal. Je m'amuse. Qu'il soit humain ou vampire. Si c'est un humain : je m'amuse avec lui et lui fait faire n'importe quoi pour moi. Sans oublier que je lui pique du sang. Si c'est un vampire : je lui fait faire aussi n'importe quoi et le largue comme un mal propre, lui brise le coeur car au bout d'un moment il tombera sous mon charme, sans me vanter bien sûr. Puis j'entendis Waren me dire de lui donner cette lettre , qu'elle était a lui vu qu'il y avait son nom écrit en plein dessus et que son nouveaux divertissement faisait maintenant partie de la famille. J'arqua un sourcil puis plissa les yeux, commençant à m'énervée.

- Je respecte ta vie privée tu sais. Et je sais lire je te signale. Mais toi tu dois confondre Orianne et Clotilde. Certes je ne l'ai apprécie pas toute les deux mais ce n'est pas pareille du tout. A ce que je sache tu n'as aucune relation avec Orianne, enfin j'espère pour toi car je ne la trouve pas très belle... Bref, Clotilde ne fait pas partie du clan et n'en fera surement jamais partie. Mais je pense que si c'était le cas je partirais sur le champ. Mais tu devras faire choix, elle ou moi. Mais se ne sera pas si compliqué vu qu'elle a un don, et moi non. Et qu'elle fait bien plus de chose avec toi que moi...

La tension était à son comble , le faite que Marianne c'est interpellée entre ma tranquillité , m'avais énervé. Et dire qu'aujourd'hui j'aurais rêve de calme , pour pouvoir enfin me vider la tête. Et oui ça peu paraître bizarre pour un vampire de vouloir du calme par moment , mais c'était bien mon cas. J'avais toujours adoré cette vie plein de rebondissements et d'action , la vie de solitaire , mais depuis quelques temps cette vie me manqué terriblement et malgré ça , cette émotion je la gardé pour moi , mon clan était beaucoup plus important que mes envies personnels et puis Marianne me manquerais trop malgré son sale caractère.

J'enviais par moments les vampires nomades. Mais cela était une autre histoire que je n'avais pas envie d'évoquer alors que j'étais en pleine confrontation avec Marianne.
Il était vrai que selon mes conquêtes humaines , ou vampires j'avais quelques préférence bien sur elle ce porté plus pour Marianne , mais cela je ne pouvais l'avouer en tout cas pas maintenant malgré notre attirance mutuel l'un pour l'autre , par moment j'avais vraiment envie de l'embrasser et de la garder dans mes bras pour toujours mais il fallait que je résiste au moins pour le moment.

Elle me dit ensuite qu'elle respectais tout de même ma vie privée , elle me dit ensuite qu'elle ne ferait certainement jamais partie du groupe et que si elle venait à le devenir il faudrait que je fasse un choix Clotilde ou elle , elle dit ensuite que ce ne serait pas trop compliqué vus que apparemment je l’appréciais plus qu'elle.

Waren - " J'ai effectivement parler à Aro et peu être que Clotilde devrait passé quelques temps dans le clan , pour en quelques sortes nous surveiller ... Enfin Marianne ne te met pas dans des états pareil juste pour une de mes conquêtes , tu sais bien que Clotilde compte à mes yeux , mais pas autant que toi ... tu fais parti du clan depuis plus longtemps ! "

Oui c'était surement une ruse quel qu'on que pour qu'elle ne se rende compte de rien , oui j'avais effectivement dit qu'elle comptait pour moi , et c'était vrai , même plus que vrai.

Je ne pouvais pas m'empêcher de me rapprocher d'elle , jusqu'à en être pratiquement à quelques centimètres.

Quand Waren déclara qu'il avait parler à Aro et que Clotilde allait surement venir quelques temps dans le clan pour nous surveiller, un rire ironique s'échappa de mes lèvres. Et bien j'allais partir en voyage le temps qu'elle soit là. Et elle n'a pas intérêt à s'éterniser ou prendre ma chambre sinon j'allais lui faire la fête. Je ne suis pas violente, mais disons qu'il ne faut pas me chercher. C'est tout. Mais elle c'est même physique. A peine je la voit que j'ai envie de lui sauter à la gorge et lui arracher ses membres sans oublier, la brûler !

- Nous surveiller ? Mais nous surveiller de quoi ?! C'est juste une excuse bidon pour qu'elle passe plus de temps avec toi. Dit moi lorsqu'elle vient que je me prépare à partir.

Je me demande à quel moment il allait exploser et s'acharner sur moi. Vu son regard se sera dans peu de temps... Mais il était tellement sexy quand il s'énervait... Hum, je pense que je m'égare là...Bref, Je l'entendis me dire que je n'avais pas à me mettre dans des états pareils pour l'une de ses conquêtes. Mon regard se déposa sur lui lorsque je l'entendis dire que je comptais plus qu'elle mais eu un sourire, certes un peu déçus, lorsqu'il rajouta que je faisait partis du clan depuis longtemps. Alors c'est tout ce que je représentais pour lui ? Une simple personne qui fait partie de son clan depuis longtemps ?

- Oui c'est sur. Mais si je pars se ne sera pas une si grande perte. Après tout je n'ai pas de don et je te prend la tête. Alors je te sert à quoi ? Franchement ? A rien. Alors que Clotilde... Bref j'arrête avec ça et je vais dors et déjà préparer mes valises. Je ne vois pas pourquoi je devrais rester là. Tu diras a ma chère Rosaleen que j'en suis désolé mais elle comprendra...

Je sais. J'ai un foutu caractère. Et je pense que je suis connue grâce à ça. Mais je voulais voir s'il allait me laisser partir ou me retenir... En plus d'avoir un caractère pourris, je suis curieuse ! A croire que j'ai juste des défauts ! Je le regarda se rapprocher de moi en me demandant ce qu'il allait me faire et surtout, s'il avait cru que je pouvais le quitter si facilement...

Je l'aimais , oui même plus que je ne le pensais mais je n'osais pas l'admettre , moi tomber amoureux impossible ce n'était pas moi en tout cas c'est c'est ce que je pensais. Mais je pense que très vite nos sentiments respectif finirons par prendre le dessus sur notre propre conscience et nous finirons un jour par craquer, peu être aujourd'hui ?

J'étais vraiment attiré par elle , ses yeux , sa bouche tout en elle pouvais m'attirer comme un aimant , et bientôt nous n'étions plus qu'à quelques centimètres.

Elle reprit bientôt la parole en me posant la question quand elle venait ? pour qu'elle puisse faire ses valises le temps que Clotilde était la. Il ne fallait pas longtemps pour que je réagisse.

Waren - " Tu crois quoi , Marianne que je raconte des mensonges pour que ensuite tu t'éloignes de nous et de moi ! De tout de façon je ne te laisserais pas faire ! "

Je pris ensuite sa main et la mis sur ma poitrine , c'est à peine si je pus entendre ce qu'elle disait, j'étais perdus.

Waren - " Tu sais très bien que je tiens à toi , plus que les autres membres du clan , alors arrête de te rabaisser comme cela , je commence à me fatiguer à force. "

J'étais à la fois énervé et plus amoureux que jamais , j'aimais ce caractère explosif et tellement peu commun. Elle était pratiquement comme moi.

Spoiler:

Nous étions vraiment très proche et je me demande comment j'arrive à résister à ses lèvres. Surement à cause de mon énervement, et un peu le siens. Nous nous prenons a moitié le tête et moi je ne pense qu'a une chose : l'embrasser ! Je ne suis pas normale, je suis folle de pensée à des choses pareille... A des choses qui n'arriverais surement jamais. Vu qu'il avait Clotilde ! Oui je sais, je suis gonflante avec ça, mais je suis comme ça, je n'y peux rien. Puis je l'écouta me dire si je croyais qu'il me racontait des mensonges pour que je m'éloignes d'eux et qu'il ne me laisserais pas faire. Poussant toujours les limites, je rouvris la bouche pour protester.

- Ah bon ? Et tu ferais quoi ?

Puis il prit ma main et la posa sur sa poitrine. Mon regard fixait ma main, j'étais troublés. Et apparemment, lui aussi ! D'ailleurs je me demande s'il écoutait vraiment ce que je disais à la fin... Mon regard était toujours sur ma main, que je n'osais pas bouger. Puis mes yeux montèrent pour regarder les siens. J'essayais de cacher se que je ressentais, mais je pense que c'était fichue. Je l'écouta attentivement, et fut encore plus troublée que tout à l'heure lorsque je l'entendis dire qu'il tenait à moi, plus que l'es autres membres du clan, ce qui m'étonna au passage, qu'il fallait que j’arrête de me rabaisser car sa finissais par le fatiguer. Sur le coup je ne savais pas trop quoi dire, ce qui est rare vu que j'ai beaucoup de répartie ! Mais disons que je ne m'attendais pas à ce qu'il me dise ceci... Devais-je lui dire la même chose ? Ce qui serait assez surprenant. Ou bien faire mine de ne pas avoir comprit et lui dire qu'il m'aimait moins que Clotilde. Là ça deviendrais lourd. Je détourna le regard, c'était très rare lorsque je faisais ça ! En général, je ne détourne jamais le regard la première.

- Waren, tu ne peux pas me dire des choses comme ça. Tu vas me faire croire des choses, des choses que tu ne penses certainement pas. Alors arrête. Tu me donne de l'espoir, oui tu as bien entendus ! Et ça me fait mal... Alors si tu aimes me faire souffrir, continue à me dire des mensonges qui me feront espérer... Sinon dit moi vraiment ce que tu penses.

Je le regardais dans les yeux et m'insulta de tout les noms me demandant pourquoi j'avais dit ça ! Là je m'affichais, j'avais craqué la première. Je me sentais ridicule. J'enleva ma main de sa poitrine et recula.

- Oublie ce que je viens de dire ok ?

Spoiler:

L'ambiance de notre discutions on aurait pu la définir , comme étrange oui car nous n'avions jamais eu ce genre de conversation au par avant , nous étions tous les deux tendus oui , nous pas par cette dispute si sordide que nous avions l'habitude de répéter à chaque fois que nous nous voyons nous cette tension d'amour qui pesait sur nous deux, nous étions bien trop bornés pour accepter la vérité , nous étions tout les deux amoureux l'un de l'autre.

C'est vrai que cela parait assez étrange , entre nous deux , nous qui nous connaissons depuis si tant d'années. Il fallait bien que je lui avoue mes sentiments pour elle , oui je l'aimais plus que qui qu'on que dans ce monde , mes conquêtes ce n'était qu'une ruse pour que Marianne craque définitivement et pour qu'elle avoue enfin sans que je fasse moi le premier pas , et c'était vraiment aussi pour la rendre jalouse , depuis la première fois , tout cela ce voyait dans ses si beaux yeux.

Pour enfin lui faire comprendre qu'elle était celle que je trouvais la plus magnifique , la plus extraordinaire , la plus ... Je lui avait fait mettre sa main sur ma poitrine non pas pour qu'elle écoute mon coeur non , cela fessait bien longtemps qu'il n'existait plus , mais simplement pour la retenir , pour lui faire comprendre ...

Je lui avais dis que je ne la laisserais pas partir au sa non , elle me répondit ensuite qu'est-ce que je comptais faire ? C'était tout simple , lui montrait que je l'aimais mais il fallait encore que j'attende juste un petit peu. C'est pour cela que je ne dis rien , j'étais resté la sans rien dire , à simplement la regarder.

Plus tard , elle reprit la parole , après quelques secondes de regards intenses. Elle me disait qu'il ne fallait pas que je lui dise cela , qu'elle allait croire des choses qui ne sont pas , alors il fallait que j'arrête , que je lui donné de l'espoir et que si j'aimais la faire souffrir il fallait que je continue à dire des choses pareil.

C'est après ça qu'elle ôta sa mains délicatement et répliqua en disant qu'il fallait que j'oublie cela.

Waren - " Tu crois vraiment que je vais pouvoir ? ... (normalement dans sa tête mais à voix haute ) Et puis merde qu'est-ce que je devrais regretter ? "

Sur ces mots je me mis a filer à une incroyable vitesse jusqu'à n'être qu'a quelques millimètres de Marianne , c'est la que je pris son cou mis mes mains sous ses cheveux et l'embrassa tendrement et langoureusement.

Mon regard était toujours posé dans le sien, je lui avait demandé ce qu'il ferait si je venais à partir mais, il ne me répondit pas. Je devais pensé quoi de son manque de réponse ? Qu'il s'en fichais ? Ou qu'il préparait son plan et qu'il ne devait pas me le dire pour ne pas le faire échouer ?.. Quoi qu'il en soit, il venait d'éviter ma question. Ensuite j'avais continué à parler et lui avait pratiquement dévoilé ces sentiments caché au plus profond de moi. Il avait du comprendre. Puis j'enleva ma main qui étais situé sur sa poitrine. Je m’apprêtais à partir et reprendre le cours de ma "vie" normalement en tentant d'oublié ce que je venais de dire mais j'entendis Waren dire si je croyais vraiment qu'il allait pouvoir y arriver. Mais où voulait-il en venir ? Je me retourna vers lui ne sachant pas quoi dire et me demandant s'il allait continuer à parler. J'e l'entendis dire ce qu'il pouvait bien regretter. Là je ne comprit pas trop et ouvrit la bouche une fois de plus.

- Quoi ? M...

Je ne pus finir mes paroles car Waren venait de déposer ses lèvres sur les miennes. Un frisson me parcouru le long de la colonne vertébrale et je me décolla de lui instinctivement. J'avais du mal à comprendre ce qu'il se passait réellement... Je fronça les sourcils et le regarda dans les yeux. Se contact que nous avions eu m'avait plus, vraiment. Je me mordis la lèvre inférieur et l'embrassa fougueusement, oubliant toute ces années où j'avais lutté contre ses sentiments que je trouvais vraiment puéril, trop humain. Ce baiser dura cinq bonne minutes et il prit fin. Un silence régna, ce qui étais assez gênant. Je ne savais pas quoi dire et cherchais mes mots. Où en étions-nous ?

- Qu'est ce qu'on fait ? Parce que franchement, pour être franche avec toi, moi je suis perdu. Je ne sais pas quoi faire alors pour une fois et je pense même que c'est la première que je te demande une chose pareille. Aide moi...

Ce baissé je l'avais rêvé des centaines de fois , sans jamais pouvoir réellement l'obtenir , et maintenant , j'avais enfin pus toucher ses lèvres si délicieuse , si douce que du velours cette sensation de pur bonheur , pouvoir enfin embrasser la femme qu'on font de sois on a toujours aimé était plus merveilleux que je n'aurais pus imaginer. Je l'aimais oui , et je lui avait enfin dit en lui donnant ce baiser , qui ne dura que quelques seconde car , Marianne enleva précipitamment ses merveilleuses lèvres des miennes. Je ne savais pas pourquoi , étais-je parce que je m'étais trompé et que les sentiments que je ressentais pour elle n'étaient pas réciproque ?

Non c'était purement impossible , je ne pouvais pas me tromper. Nous étions regards contre regards moi pensant à ce qu'elle pouvait bien penser et ce que nous allions faire après cela.

Mais ce silence ne dura à peine quelques secondes pour que enfin Marianne réagisse et qu'elle m'embrasse à son tour langoureusement , ce baissé fut l'un des plus beau de toute mon existence , étant donné que c'était avec la femme que j'avais toujours (ou presque) aimé.

Après ce moment magique , nous étions encore face à face , presque l'un contre l'autre. C'est Marianne qui prit la parole en première pour me demander ce qu'on fessait ? Elle me disait qu'avec moi elle était perdu , qu'elle ne savait pas quoi faire alors pour une fois il fallait qu'elle me demander une chose pareille , l'aider.
Je mis ma main sur son visage , sur sa joue en lui souriant.

Waren - " Je vais t'aider en te disant simplement deux mots ... Je t'aime , Marianne , depuis un bon moment maintenant , je sais que c'est difficile à croire mais oui Waren Lewis aime littéralement quelqu'un et ce quelqu'un c'est toi Marianne. "

Il était vrai que je n'avais pas vraiment l'habitude de cela , même ces sentiments étaient ici depuis pas mal de temps.

Je venais de lui demander de l'aide sur noter situation parce que j'étais franchement paumé ! Je m'attendais à ce qu'il me dise du genre " Je ne voit pas désoler" où " Je dois y aller, on en reparle plus tard !" Mais je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il me dise qu'il m'aimait ! Je le regarda, m'attendant à ce qu'il rigole, mais je comprit qu'il était très sérieux. Je baissa le regard et me mordu la lèvre inférieur quelque temps, le temps de savoir ce que j'allais lui dire. Je n'ai jamais dit c'est deux mots de toute mon existence... C'est peut-être deux petit mots mais, ils représentent beaucoup de chose avec des conséquence qu'il ne faut pas prendre à la légère comme se mettre en couple et rester stable. Ce qui pour moi serait un exploit ! Je ne suis jamais resté avec un seul homme à la fois voir même avoir une relation sérieuse. je me suis toujours amusée et toujours pas engagée. Je releva finalement mon regard pour le mettre dans le sien.

- Waren, moi aussi je t'aime mais je ne sais pas... Tu sais que j'ai du mal à rester avec quelqu'un et que je n'ai jamais vraiment eu de relation sérieuse. Tout comme toi. Si nous venions à être ensemble, je en voudrais pas faire dans la polygamie donc en gros, tu zappes ta Volturi et autres conquêtes et je ferai de même. Mais si nous ne sommes pas près... Et bien nous attendrons de l'être, mais resteront juste bon ami. Alors ?

Je parle beaucoup. Tout le temps. C'est une qualité parfois, mais souvent un défaut. Je fronça les sourcils sans bouger mon regard.

- En faîte tu sais quoi ? Moi je suis prête. J'ai attendus trop longtemps et j'en peu plus de résister. Mais sache que si tu venais à me briser le coeur ou me tromper, je me vengerais.

Je lui sourit en coin en levant les sourcils. j'étais sérieuse, je me vengerais et ferais tout pour le faire souffrir au double, même si je l'aime à en mourir ! Je m'approcha de lui et l'embrassa à la commissure de ses lèvres. Puis je me recula en lui lançant un regard plein de défi.

Je n'aimais pas cette situation , pour moi tout cela était nouveau et à vrai dire je ne savais pas trop quoi faire. Même ce qui était sur c'était mes sentiments pour Marianne. J'étais plutôt habitué à ne pas parler et à passer à l'acte tout de suite et simplement pour une seule nuit. Et généralement le lendemain je ne les retrouvaient pas vivante. Les relations longue durée , se n'était pas pour moi , mais j'avais l'impression qu'avec Marianne tout était différent , pourquoi ? Je n'en avait aucune idée.

Je l'aimais et c'est tout ce que je pouvais dire , ou irait cette relation si compliqué à définir ? Tant de questions qui pourrait s’éclaircir simplement en attendant.

Il était vrai , que cette situation était quelques peu embarrassante , mais peu importe il fallait mettre les choses aux clairs . Après ma longue tirade c'était à Marianne de répondre pour me dire qu'elle m'aimait aussi mais qu'elle avait du mal à rester avec quelqu'un , ou même d'aimer quelqu'un réellement et que nous deux nous n'étions pas fait pour une relation sérieuse et qu'elle ne voulait pas d'une relation polygame alors il fallait que j'oublie toutes mes conquêtes , et si nous n'étions pas prêt alors il fallait mieux rester amis pour le moment et voir plus tard.

Tout cela était très difficile , je n'étais pas encore prêt réellement à entretenir une relation seulement avec une seule femme , mais Marianne était la seule que j'aimais réellement même si Clotilde ou autres je les appréciaient malgré ça , elles fessait partie de ma vie. Tout cela était confus.

Elle reprit ensuite pour me dire les yeux dans les yeux que elle , elle était prête , elle avait attendu bien trop longtemps pour prendre cette décision , et qu'elle ne pouvait plus attendre. Mais il fallait que je sache une chose que si je venais à lui briser le coeur , alors je le pierrais.

Waren - " Marianne moi aussi je suis prêt comme toi , j'ai bien trop attendu mais tu ne peux pas me demander , d'oublier ma vie d'avant j'aime bien trop les femmes ... même si ce n'est que toi que j'aime réellement tu le sais très bien ! Tout cela est compliqué n'est-ce pas ? "

Je ne savais pas quoi faire , en même temps je ne voulais pas la perdre elle était bien trop précieuse pour moi et en même temps je ne voulais pas me satisfaire seulement d'une seule femme en l’occurrence Marianne.

Waren - " Je t'aima Marianne et seulement toi ... ! "

C’était bizarre vraiment, jamais je n’aurais pensé avoir ce genre de discussion avec Waren et surtout aujourd’hui ! A l’origine, j’étais venue lui parler pour lui faire la moral et lui prendre la tête ! Et à la place, nous nous embrassions et nous révélions nos sentiments… Comment la situation a pu changer du tout au tout en si peu de temps ? Ce n’est pas que cela me déplait mais il faut dire que c’est franchement étrange… Puis nous allons avoir beaucoup de mal à avoir une relation stable, c’est certain ! Je sens que ça va même être explosif ! Nous allons beaucoup nous amusé c’est certain, mais pour ça il faudrait déjà se lancer ce qui n’est pas forcement gagner.Je regardai Waren en penchant la tête pour l’écouter. Il me dit qu’il était aussi prêt, mais que je ne pouvais pas lui demander d’oublier sa vie d’avant car il aimait beaucoup trop les femmes pour ça même si c’est moi qu’il aimait réellement et que je le savais très bien. J’arquai un sourcil, franchement j’ai des doutes, mais je le laissai continuer.

« Oui, beaucoup trop. »

Je lui souris puis me rapprocha un peu plus de lui. Nos lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Puis je frôlai ses lèvres et alla ensuite vers son oreille droite.

« Fait moi signe quand tu seras prêt… Mais sache que je t’aime réellement mais, ce n’est pas une raison pour me faire attendre, car je te préviens, je ne t’attendrais pas cent ans ! »

Je me reculai sans le lâcher des yeux et m’asseyais dans un fauteuil comme si de rien était. En regardant mes ongles faisant comme si de rien était. En regardant mes ongles faisant comme si de rien était. Même si en réalité, j’espérais qu’il ferait assez vite et qu’il se rend compte que j’étais la seul dont il aurait besoin. Puis franchement, je vaux beaucoup mieux que c’est jouets sans valeur, il faut être réaliste ! De toute façon, il s’en rendra compte bien assez tôt…

Que tout cela pouvait être étrange , au début de cette journée j'avais tout fait pour éviter de croiser Marianne car je savais très bien qu'elle voulait à tout prit me parler de mes aventures pars ci pars la , encore une fois juste pour m'agacer. C'est pour cela que j'avais si tardé , mais je n'y avais pas échappé. Tout cela a été très rapide passé de ce cadre de dispute à des révélations amoureuses.

Entre nous c'était du tout au tout , nous vivions cette relation pleinement et je n'avais pas du tout envie de la laissé passer. Je lui avait dit que moi aussi j'étais prêt et depuis longtemps même , mais je ne pouvais pas oublier ma vie d'avant j'aimais bien trop les femmes pour les abandonner et ne m'en tenir qu'a une seule , mais si il s’avérait qu'elle me poserait un ultimatum , sans hésiter je la choisirait.

J'avais tout de suite vus que ma réponse n'était pas celle qu'elle attendait réellement , mais je ne disais que la vérité , avais-je eu raisons ou bien l'inverse aurais-je du mentir , pour pouvoir enfin être avec la femme que j'aimais ?

Tout cela était tellement difficile , elle me répondit que oui beaucoup trop , elle avait raison , je n'aimais pas cette situation , réfléchir , réfléchir pour au final ne tirer aucune réponse ou du moins très peu , ce n'était pas vraiment pour moi.

Nous étions très proche presque lèvres contre lèvres tout cela était tellement intense que n'importe qui aurait déjà craqué , mais pour nous malheureusement ce n'était pas possible.

Marianne repris la parole pour me dire de lui faire un signe quand je serais enfin prêt , il fallait juste que je sache qu'elle m'aimait réellement mais que ce n'était pas une raison pour la faire attendre indéfiniment , parce qu'elle n'attendrait pas jusque la. Après ceci , elle fit comme si de rien de tout ça ne c'était passé , elle se mit un siège du salon et se mit à regarder ses ongles. A n'y rien comprendre.

Waren - " Tu sais très bien que je ne te ferais pas attendre Marianne , et je suis comme toi , je ne pourrais pas attendre des lustres. Tu sais , nous pouvons y allé progressivement . Je ne veux pas te faire du mal Marianne c'est pour ça que je ne veut pas brusquer les choses. "

J'avais une terrible envie de la prendre brusquement , de la mettre debout et de l'embrasser et de enfin pouvoir rester avec elle , pour l’éternité , du moins pour le moment.

Je contemplais mes ongles, en ignorant Waren. Je sais, c’est une réaction de gamine mais j’assume totalement. C’est ce qui marche le mieux l’ignorance. C’est aussi ce qu’il fait le plus mal. Mais je ne pourrais jamais l’ignoré éternellement, déjà une année entière serait un exploit ! Je dois avouer que le fait que je ne pouvais pas me passer de lui m’apeurais un peu… J’entendais la voix de Waren et me mit à l’écoutée attentivement. Il me déclara donc qu’il ne me ferait pas attendre, que nous pouvons y aller progressivement parce qu’il ne voulait pas me faire de mal et que c’est pour ça qu’il ne voulait pas brusquer les choses. Je finis par le regarder droit dans les yeux essayant de ne transmettre aucune émotion. Je voulais le faire attendre un peu, histoire de l’embêter un peu… Je suis un peu une sadique alors un rien peut m’amuser. Je me levai lentement et me rapprocha de lui, n’étant plus qu’à quelques centimètres de lui. Je penchais la tête et regarda avec intention sa bouche, son cou, sa joue et ses yeux.

« D’accord faisons cela. »

Je lui souris et rapprocha mon visage du sien. J’embrassai sa joue puis la commissure de ses lèvres. Il n’y avait plus beaucoup d’espace entre nos lèvres et je le regardai. Puis je fis un sourire en coin et me recula un peu.

« Donc ça veut dire que nous avons une sorte de relation exclusive, c’est bien ça ? Tu peux aller voir à droite et à gauche, tout comme moi, et nous ne nous en tiendront pas rigueur ? »

J’arquai un sourcil, un sourire toujours afficher sur mon beau visage, sans vouloir me vanter bien entendus. C’est sûr que je serais jalouse, mais s’il ne fait rien devant moi, qu’il n’en parle pas et qu’il reste un minimum discret, ça ne me posera pas problème. Et je ferai de même. Puis je me demandai comment Rosaleen et Joshua allait réagir lorsqu’ils allaient apprendre pour notre relation assez spéciale…

Je l’embrassai doucement dans le cou en déposant une main sur son torse et l’autre sur sa nuque. Je me décollai de lui au bout de cinq minutes et me mordit la lèvre inferieur. J’aimais tellement pouvoir le toucher à ma guise, sans avoir peur qu’il me trouve ridicule ou qu’il ne partage pas mes sentiments. Mais une question me perturbais un peu l’esprit, comment notre histoire vat-elle se dérouler ? Et puis pourquoi je me pose autant de question ? Je verrais bien, pour l’instant je voulais juste en profiter.

Un merveilleux moment , oui , nous vivions un merveilleux moment . Nous avions enfin la réponse , que tout les deux nous attendions depuis bien des années , ce soulagement , ce sentiment d'être heureux , jamais cela ne m'était vraiment arrivé dans ma vie de vampire , j'aimais ce sentiment en tout cas , le sentiment commun que je ressentais avec Marianne. Cette histoire était faite pour être compliqué , vraiment compliqué , mais pas impossible , loin d'être impossible.

J'essayais d'imaginer notre relation dans le temps , la réaction du clan par rapport à ça , tout cela avait l'air assez étrange , malheureusement je n'arrivais pas à avoir cette image , ces visions qui parfois me venais enfin du moins que j'imaginais mais la je ne pouvais pas , je n'y arrivais pas.

Nous étions très proche en se moment , physiquement et mentalement , le hasard avait bien fait les choses , nous nous étions rencontrées il y maintenant ... et bien je ne compte même pus les années.

Je lui avait dis plus tôt , qu'il fallait faire les choses doucement et prendre notre temps , après tout nous étions immortelles , elle me répondit très vite pour me dire qu'elle était d'accord pour faire cela.

Elle embrassa ensuite légèrement les commissures de mes lèvres , ce qui me donna une envie folle de la prendre dans mes bras et de l'embrasser.

Elle prit ensuite la parole pour me dire , que notre relation était du genre exclusive ? et que nous avions le droit d'allé voir droite et à gauche comme nous l'avions envie sans que sa gène l'autre , en faite notre relation était en définitive une relation totalement libre.

Waren - " Oui une relation complètement libre , en tout cas pour le moment , je sais que ça ne te plais pas forcément , alors je vais essayais de faire en sorte que cela ne dure pas longtemps , mais tu sais très bien qu'il n'y à que toi ... "

Puis délicatement elle m'embrassa dans le coup puis elle déposa une de ses main sur mon torse et puis son autre main sur mon cou cela dura cinq bonne minutes , puis elle recula. Je n'avais envie que cela se finisse se moment si parfait , c'est pour cela qu'a mon tour je m'approcha et l'embrassa encore une fois.

Une relation libre... Pourquoi pas ? Ça me semble intéressant, pour le moment bien entendus ! Étant légèrement une fille jalouse et protectrice, j'allais bien craquer au bout d'un moment,c'est une certitude... Je lui sourit en coin etne le quitte pas des yeux.

- Bien entendus...

Voulant un peu joué, je l'avais embrassé dans le cou et à la comissure de ses lèvres pour ensuite m'écarter de lui et partir un peu loin. Quelques temps après, je le vut s'avancer vers moi pour enfin m'embrasser. Je prolongea cet échange que j'aimais tant avec fougue. Je n'arrivais pas a detacher mes lèvres des siennes, mais c'est surtout parce que je n'en avais aucune envie ! Depuis le temps que je souhaitait l'avoir pour moi. Enfin ce n'est pas encore tout à fait le cas mais j'arriverais bien à le faire craquer. J'optiens toujours ce que je veux. C'est comme ça depuis toujours et ce n'est pas pres de changer.

Nous étions toujours entrain de nous embrasser et à cet instant précis je savais qu'il n'y avais que lui qui comptais. J'entoura sa taille de mes jambes ssmans quitter ses lèvres un seul instant. Nous laissions notre amour écleter et profitions de se moment pour nous abandonner à un plaisir charnel...