Nous étions juste ensemble avec Marianne , et je voulais lui faire plaisir , pour ça rien qu'une balade en amoureux sur la plage le vent sur notre visage , le son des vagues , le sable sur nos pieds. Quand nous étions vampire , nous devenons violent, agressif , sans âme , et prêt à tuer pour n'importe quoi. C'est une fois les premiers mois passé que cette envie dévorante disparaît infimement , et malgré ça beaucoup de vampires possèdent encore leur humanité leurs sentiments d'humain. Cela peut parfois coûter la "vie" , c'est pour cela que je ne montais jamais les mieux , et pourtant j'en ressentais , plus qu'il n'en fallait , il fallait que je montre fort c'était dans mon caractère.

Je m'étais rendu sur la plage à pied , j'avais enlevé mes chaussures pour être le plus alaise possible , même si je ne sentais rien. J'essayais de me souvenir les sensations qu'on pouvait bien ressentir à ce moment la. J'aimais tout cela.

Après quelques minutes , je pris mon portable pour appeler Marianne , après trois sonneries elle finie par répondre.

Waren - " Oui Marianne rejoins moi à la plage , j'ai une surprise pour toi , et fait bien attention aux loups je n'ais pas vraiment envie de te récupérer à la petite cuillère , je t'aime. Opss trop fleur bleu , je n'aime pas du tout , tu me rends vraiment étrange ! "

Je ne lui laissait même pas le temps de répondre et raccrocha. Je savais qu'elle ne devrait pas être trop longue c'est pour cela que je m'assis sur le sable juste en face de l'eau , tout en avant remonté mon pantalon jusqu'aux genoux , je regardais l'horizon au loin , j'aimais cette vue , si magnifique.

Spoiler:

Le sang humain coulait dans ma gorge ce qui calmais le feu qu'il y avait eu peu dans celle-ci. Ce goût sucré s’arrêta et je balanças le corps de cette vieil dame au sol. Personne ne pourra se douter que ce dame à été tué par un vampire et pencherais plutôt pour une mort naturelle tel que arrêt cardiaque. Je m'essuya la bouche d'un revers de la main. Et sortit de la maison sans aucun remord et prit la direction de la villa.

Ça faisait peu de temps que Waren et moi étions en couple, enfin dans une relation libre plus exactement. Cette relation ne me plaît pas vraiment mais j'en profitais autant que lui. Mais je ne prend plus autant de plaisir qu'avant. Je ne veux que lui. Mais je ne dit rien et prend sur moi. Ne voulant pas le perdre. C'est que je deviens sensible... C'est bizarre... Nous étions peut-être dans une relation libre mais je n'aimais pas le fait qu'il couche avec des filles que je ne supporte pas du tout. Tels que Clotilde et Aurianne. Je pensais qu'il l'avait comprit et qu'il se taperais des personnes quelconque. Mais non. Du coup j'étais assez en colère. C'est pour ça que je m'étais un peu acharné sur la vieille. Je l'avais appris hier par Aurianne qui avait eu un malin plaisir à m'en faire part. Je n'avais pas revue Waren depuis. Et heureusement pour lui !

Je courais le long de la forêt et m'arrêta lorsque j'entendis mon portable sonné. Je regarda sur l'écran de qui il pouvait bien sagir et fronça les sourcils en voyant le nom. J'hésita un moment avant de décrocher mais le fit comme même.

" Oui Marianne rejoins moi à la plage , j'ai une surprise pour toi , et fait bien attention aux loups je n'ais pas vraiment envie de te récupérer à la petite cuillère , je t'aime. Opss trop fleur bleu , je n'aime pas du tout , tu me rends vraiment étrange ! "

Et il raccrocha. Un rire sarcastique sortit de ma bouche. Je le rendais étrange ? Et lui alors ! Je ne voulais plus que lui et personne d'autre ! Ça c'est étrange. Et je ne vous parle pas des sentiments que j'éprouve pour lui. Une surprise ? Il a renvoyé Aurianne chez les Volturi ou mieux ! Au loups !

Je repris ma course folle mais en direction de la plage cette fois-ci. Mes cheveux devait être dans un état ! Lorsque je sentit l'air marin je ralentis et finit par me stopper pour marcher. Je passa une main dans mes longs cheveux brun et finit par les attacher en un chignon assez lâche. J'essuya une tache de sang sur mon jean de couleur assez clair puis remis en place mon débardeur blanc. J'enleva mes chaussures et ma veste et m’avança sur le sable fin. Je sentais son odeur et ne mit pas longtemps à distinguer sa silhouette un peu plus loin. J'étais tout de même heureuse de le voir, et de savoir qu'il avait fait ça pour moi. Je m'avança vers lui ne sachant pas trop comment réagir et lorsque j'arriva à sa hauteur je le contempla en souriant. Mais une image horrible me traversa l'esprit. Lui dans les bras de l'autre brune qui faisait maintenant partie du clan. M'asseyant sur le sable et déposant mes affaires entre nous deux, histoire de mettre une sorte de barrière ce qui ne sert à rien je vous l'accorde.

- J'espère que je n'ai pas été trop longue, j'étais occupé.

Dis-je en instant bien sur le occupé, histoire qu'il se fasse des idées. Je voulais me venger, et là c'était vraiment gentille, en tout cas, pour le moment.

Le sable de la plage était à bonne température, j'aimais cet endroit , la plage était si belle aujourd'hui , qui fallait vraiment que j'en profite avec Marianne. Nous étions enfin ensemble , malgré ça dans une relation libre , sans vraiment engagement , je voulais vraiment y allé doucement , et surtout le faire le plus caché possible pour ne pas trop ce faire remarquer pour le moment.

Et pourtant , même si cette relation amoureuse n'était pas vraiment conventionnelle , l'amour passionnelle était bien la autant pour moi que pour Marianne. Oui être amoureux peut être que sa ne m'allais pas , je devenais vraiment étrange la preuve je lui avais dit je t'aime au téléphone alors que j’appelais Marianne pour qu'elle me rejoigne.

Je voulais vraiment passé du temps avec elle sans être tout le temps en train d'être discret , je savais très bien que Marianne voulait avoir un relation beaucoup plus concrète , que je sois rien qu'a elle , et que notre amour ne soit pas forcément caché. Mais au fond de moi je n'y arrivais pas, j'avais toujours vécu à peut près solitaire malgré la compagnie de mon clan, j'avais toujours eu des relation d'une nuit, je ne savais pas vraiment quoi faire ? J'avais le choix entre me lancer et me planter et tout foutre en l'air , ou rester dans cette situation et finir par perdre Marianne quand même , il fallait que j'essaye à tout pris , sinon je finirais par perdre pour toujours la femme que j'ai toujours aimé.

J'étais assis sur le sable en attendant Marianne , pendant ce temps je regardais l'horizon les vagues , le bleu.

Elle arriva ensuite elle avait enlever ses chaussures et sa veste qu'elle posa juste à côté de moi puis elle s'assit , ses affaires fessait comme une barrière invisible entre nous , je fronçais ensuite les sourcils de plus elle ne m'avait pas embrassé , elle devait être en colère , mais pourquoi je ne savais pas. Elle me dit ensuite qu'elle espérait qu'elle n'avait pas été trop longue car elle avait été occupée. Occupé ? Comment ça ?

Waren - "Non ça va , la mer m'a tenu compagnie. Occupé ? Occupé à quoi ? "

Je n'osais rien faire , je ne voulais pas la faire encore plus enrager. Peu être que pour la mettre de bonne humeur il faudrait peut être, que je voudrais encore plus consolider notre relation ?

Il me demanda ensuite à quoi j’étais occupé, un dilemme s’installa alors dans mon esprit. Mentir pour se venger ? Ou bien dire la vérité et se faire engeuler ? Comme si la réponse n’était pas évidente. La première option bien sûr ! Je me mordis la lèvre inférieur en faisant un petit sourire et haussa les épaules. Je précisai au cas où il n’avait pas vraiment comprit :

- J’étais occupé… Avec Quelqu’un…

Ce qui n’étais pas totalement faux, j’étais bien occupé avec quelqu’un, à boire son sang surtout. Après je ne sais pas qu’elle version il va choisir. Je détournai le regard pour comptempler la mer. Je serais bien allé me baigner mais je préférais attendre, histoire de voir si Waren allait me répondre. Histoire de bien enfoncer le couteau dans la plaie, et surtout pour ne pas le faire attendre plus longtemps je repris :

- Au faite, comment ça va avec Aurianne ? Bien j’espère, se serait con qu’une de tes maîtresse soit nul au lit je me trompe ? Non je ne pense pas. J’ai toujours raison de toute façon.

Je ne changerais jamais, et lui non plus. Mais je m’acharne toujours autant, et toujours sur le même sujet. Les femmes. Enfin plus exactement : les femmes que se tapais Waren. Je me demande s’il allait me sortir la célèbre phrase que tous les hommes sorte au moins une fois dans leur vie « m’en veut pas, je suis un homme, je suis faible. » Je pense que s'il me dit ça, je lui rigole au nez et pars pendant un petit moment.

Spoiler:

Passé une journée avec Marianne était pour moi une joie , bon ok par moment c'était pas jolie , mais elle était comme cela je ne pouvais rien y faire. Elle me dit en arrivant qu'elle avait été occupée , je me demandais vraiment avec quoi ou même avec qui elle aurait pu être occupée , cette question me trotté vraiment dans la tête il était vrai que nous étions dans une relation libre et que nous n'avions aucun compte à nous rendre enfin pour le moment , il était vais que je n'aimais pas vraiment partager mais , il le fallait bien il fallait que je prenne sur moi car je fessais la même chose. Mais par moment c'était au dessus de mes forces.

Il fallait vraiment comme si cela ne m’atteindrais pas mais en réalité , j'étais littéralement fou de rage.

Waren - " A bon et ce quelqu'un c'est qui ? Simplement pour que le mette en morceaux ! "

Il fallait que j'essaye au maximum de ne pas m'emporter , c'est pour cela que lui fis un petit sourire et rajouta.

Waren - " Pardon , je ne voulais pas m'emporter comme ça , j'ai vraiment envie de passé une vraiment une très bonne journée avec toi. "

Je voyais bien que quelque choses n'allait pas et elle me le fit bientôt voir e commençant à parler d'Aurianne. Au moins j'étais carrément sur qu'elle était autant jalouse que moi je l'étais. Elle me demanda comment ça allé avec Aurianne que ça serait vraiment con que une de mes maîtresse soit nul au lit. Elle me dit ensuite qu'elle avait toujours raison.

Voila une crise de jalousie , il fallait absolument que je calme le jeu.

Waren - " Ne commence pas avec elle , on ne peut pas l'oublier quand nous sommes rien que tout les deux. Je n'ais vraiment pas envie de me disputer avec toi aujourd'hui j'ai vraiment besoin que l'on soit ensemble sans avoir des crises de jalousies qui nous pourrissent cette si belle journée tous les deux non ? "

J'aimais Marianne plus que tout , c'est pour cela que je l'avais choisie enfin en partie pour l'instant , mais pour me faire pardonner de mes conquête je voulais lui offrir quelques choses que j'étais le seul à pouvoir faire , enfin je crois.

Je regardai Waren, pour voir sa réaction et le vu changé en moins de deux. Ces yeux étaient un noir profond et on pouvait clairement voir sur son visage qu’il était furieux. Il avait mal interprété mes paroles, comme je le souhaitais. S’il avait vraiment voulu chercher si je disais vrai, il aurait vu la couleur de mes yeux et surtout sentit mon dernier repas. Mais ce n’étais pas le cas. Je fronçai les sourcils en l’entendant me demander de qui était cette personne pour qu’il le mette en morceaux. C’était un peu trop tard vu qu’elle était morte mais, je voulais continuer à jouer un peu.

- Un homme. Après à toi de chercher, je ne vais pas te faciliter la tâche non plus. Puis essayes d’en tuer un et je prendrais un malin plaisir à faire pareil !

Je fus tout de même surprise en l’entendant me dire « pardon ».Il ne le disais pas souvent voir jamais. Je devais aussi bien avouer que c’est paroles me firent plaisir. Il ne m’avait jamais de tels chose et je dois dire que ça ne me laissais pas insensible… Mais j’avais bien vu qu’il avait évité de parler d’Aurianne, ce qui me donnait envie de poursuivre sur ce sujet. C’est paroles m’avait quelques peu calmé, mais pas pour bien longtemps. J’avais du caractère, et c’est ce qui faisait surement la différence avec ses conquêtes.

- Non on ne peut pas. Tu sais très bien comment je suis non ?

Pui je le laissai poursuivre dire qu’il n’avait pas envie de se disputer avec moi aujourd’hui, qu’il avait besoin que l’on soit ensemble sans crises de jalousies qui pourraient foutre en l’air cette belle journée. Je regardais la mer, réfléchissant à ce que j’allais lui dire. Mes yeux finirent par rencontrer les siens.

- D’accord. Tu sais quoi ? Je ne vais pas te faire de crise pour aujourd’hui. Mais demain, prépare-toi parce que je serais en forme et ne mâcheras pas mes mots. Ça te va ?

Je lui tendais ma main pour qu’il la serve, comme si nous passions un contrat. Ce qui était ridicule je sais, mais c’était histoire qu’il prenne ça au sérieux.
Puis je me levai et me mit juste au-dessus de lui, déposant mes lèvres sur les siennes. Je passa mes mains sur son torse en l’embrassant avec passion et finit par me reculer en souriant, restant toujours assise sur lui.

J'étais furieux, entendre Marianne dire qu'elle était avec quelqu'un d'autre que moi me fessais toujours frisonner et j'imaginais toujours qu'elle était avec un autres hommes , oui je ne pouvais pas le caché j'étais très possessif, mais aussi très amoureux de cette femme qui me ressemblait malheureusement pratiquement en tous points, nous étions tous les deux des vrai dons juans et nous profitions de la vie en ne facilitant pas notre vie de couple, en réalité je pense le mot "amour" pour les vampires était compliqué, très compliqué. Enfin bon j'essayais de me calmé autant que je le pouvais malgré ma rage qui ce voyait pertinemment dans mes yeux, qui étaient devenus presque noir. Je lui avait lançais de qui cela pouvait il bien s'agir pour que je le mette en miette ? Elle m'avait répondu que c'était bien un homme mais qu'elle n'allait pas me le dire pour ne pas me facilité la tache et que si je fessait ce que j'avais dit elle ferrait pareil avec un malin plaisir, qu'elle le fasse de toute manière je ne tenait pratiquement à personne, malgré mon statue de chef de clan j'étais plutôt solitaire.

Waren - " Très bien soit, je te laisse choisir, de toute façon une de moins ce n'est pas bien grave ... "

Il fallait arrêté ça, et c'est pour cela que je n'avais pas véritablement fini ma phrase, après tout je m'en fichais, cela devait être un pathétique humain et cela n'avait aucune importance à mes yeux, c'est pour cela que je lui avait annoncé par la suite un pardon, je voulais à tout prix passé une belle journée avec celle que j'aimais de réel sentiments. Je ne voulais pas parler d'Aurianne n'y même de mes autres conquête puéril qui ne fessait que me divertir, dans cette vaste vie éternelle. Marianne me dit ensuite qu'aujourd'hui elle ne me ferrait pas de crise, qu'elle oubliait tout au moins pour cette journée car le lendemain elle ne se générais pas pour me faire chier comme à son habitude. Je lui sourit et la laissa m'embrasser avec passion, pour ensuite à la fin de se baissé si passionner lui sourire et lui dire :

Waren - " Allons un peu se balader sur le sable et profiter de cette merveilleuse journée ! "

Je lui pris ensuite la mains et finis par l’emmener avec moi. J'avais enfin l'impression d'être heureux ou du moins essayé, j'avais vraiment la véritable impression que Marianne me transformé petit à petit, en celui qu'elle pourrait aimé sans vraiment être malheureuse malgré son coeur de pierre.

Spoiler:

Waren me tapait sur les nerfs. Certes, j’étais amoureuse de lui, ça me fais bizarre de dire ce moi, surtout lorsqu’il est employé pour moi… Bref, ce que je voulais dire c’est qu’il m’énervait à vouloir me faire croire que mes paroles ne lui faisait ni chaud ni froid. Je voulais le voir à bout, sadique que je suis. Je le trouve terriblement sexy dans ces moments-là. Je le trouve aussi sexy quand il est doux et gentil avec moi… mais la question n’est pas là. Je l’écoutai me répondre qu’il me laissait choisir et que de toute façon une de moins n’étais pas bien grave. Je le regardai d’un air provocateur pas prête à m’arrêter là.

- Ah bon ? Et si ce quelqu’un était Clotilde ou bien Aurianne ? Tu penserais la même chose peut-être ? Franchement j’en doute fort.

Alors nous allions passer toute la journée à nous embrouiller à cause de notre jalousie maladive ? Surement, vu comment ça débute. C’était toujours comme ça. Sois nous étions très proche et aucune embrouille ne venais, sois nous ne fessions que nous acharner chacun sur l’autre jusqu’à ce que l’un craque. Etant tous les deux de grand joueur, cela pouvait durée des heures ! Mais j’avais fini par accepter d’arrêter de nous embrouiller et passer cette journée ensemble, rien que nous deux, sans parler de ses amantes ou des miens. J’aime ce vampire qui me trompe à droite et à gauche, même avec mes pires ennemies. C’est vraiment ahurissant n’est-ce pas ? En faîte, c’est moi, mais au masculin. Nous sommes semblables et avons énormément de points communs, ce qui peut être totalement flippant. J’avais fini par l’embrasser. Je ne pouvais jamais résisté à ses lèvres bien longtemps. Même si j’ai tenté plusieurs fois de nier cette tentation… Ridicule. Comment j’ai voulu repousser ses lèvres que je réclame à longueur de journée et que je souhaite pour moi seule ? Bonne question, je ne sais toujours pas quoi répondre d’ailleurs… Notre baiser pris fin et Waren me proposa d’aller se balader sur le sable. J’acceptai de prendre sa main dans la mienne afin de me lever et marcher à ses côtés. Nous marchâmes en direction de l’eau, laissant nos affaires sur le sable. J’observais la trace que mes pieds laissaient sur le sable humide tout en gardant sa main dans la mienne.

- Ça doit faire cinquante bonnes années que je ne suis pas allé à la plage.

Ma phrase était pourris, mais je n’aime pas lorsque personne ne parle, je trouve sa vraiment gênant et comme ça nous aurons l’occasion de parler autre chose que de nos conquêtes ou de ma célèbre jalousie.

J'aimais tellement ce contact parfois malsain avec Marianna, nous avions résisté tous les deux pendant trop longtemps en étant loin de l'autre et la seule chose que je voulais désormais c'était être avec elle pour toute l'éternité, l'immortalité à parfois ses avantages. Malgré ses gros désavantage, beaucoup de vampire se laisser tué par des sales cabots juste parce qu'ils avaient décidé que s'en été finis et qu'ils avaient assez vécu, tous vampires ayant vécu plus d'un siècle doit ressentir ça, mais se livrer à ces sales chien puant me révolté complètement. Enfin bon ... je n'allais pas penser à ça tous le long du moment que nous allions passer moi et Marianna.

Nous étions encore en train de parler de nos nombreuses conquêtes et je fis semblait de ne plus rien entendre ce qui serait impossible pour un vampire, nous partagions ensuite un long baisé qui fut magnifique, le gout de ses lèvres étaient intense et tellement extraordinaire , j'étais comme transporté dans un autre monde.

Je lui avait ensuite dit que nous pourrions allé nous balader sur la plage et en même temps profiter de cette magnifique journée, elle prit ma mains et nous commencions ensuite à marcher sur le sable humide ou nos trace de pas se marquaient progressivement, me rappeler les sensations que j'aurais pu ressentir à ce moment la si j'étais encore humain un brin de mélancolie c'était emparé de mon subconscient.

Marianne prit ensuite la parole me ramenant par la même occasion à la réalité, elle m'avait dit que cela fessait au moins cinquante ans qu'elle n'était pas allé à la plage, je lui souris , c'était vrai que cela fessait aussi très longtemps que je n'avais pas eu l'occasion d'y aller en même temps j'étais assez occupé, mais y aller avec Marianne me remplissais de joie.

Waren - " Moi aussi ça fait tellement d'année que je ne les compte même plus, mais y aller avec toi depuis tous ce temps et vraiment merveilleux ! "

La plage était calme personne n'était à l'horizon, et tant mieux d'ailleurs, la seule chose qui me dérangeais ici était les loup présent un peu partout , il fallait rester ses gardes.

Pour moi c'était pratiquement un rêve éveillé, aimer pour moi c'était pratiquement impossible j'avais aussi cru que pendant toutes ces années aimer était interdit pour moi tant les responsabilités de chef de clan étaient forte. J'avais voulu ce statut plus que tout au monde la solitude m'avait bien trop pesé pendant plus la moitié d'un siècle à vagabonder prêt de mon village sans jamais réellement être invité à y demeurer, étant donné le rejet que je pouvais inspiré. Vous pourriez me dire , mais pourquoi je ne les ai pas tous tués tous autant qu'ils sont ? Et bien tout simplement ma mélancolie , ma faiblesse ces gens et bien je les connaissais tous, même si je les perdais petit à petit. J'ai vite abandonné et j'ai décidé de ne plus être le seul oui le seul vampire que je connaissais.

Marianne commença ensuite à marcher vers l'eau pour se déshabiller et se mettre en sous-vêtements, l'eau ne devait pas être très chaude mais qu'est-ce que ça pouvait changer nous ne sentions plus rien, les souvenirs oui seul cela pouvait nous permettre de ressentir quelque chose. Son regard était posé sur moi, je ne pouvais m'empêcher de la regarder moi aussi voir son corps de rêve, je ne pouvais pas m'en passer, jamais, c'était carrément impossible. Arrivé dans l'eau Marianne me cria de venir avec elle.

Waren - " Oui ... J'arrive Marianne. "

A vitesse vampirique je me mis à me déshabiller à mon tour, pour ensuite la rejoindre dans l'eau toujours à vitesse vampirique. J'étais juste en face d'elle, je la regardais dans les yeux, elle était tellement belle.

Spoiler:

Pour c'était pratiquement terrifiant, car l'amour que j'éprouvais pour Marianne était pratiquement en train de me consumer de l'intérieur. Chaque jours, chaque heures, chaque minutes, chaque secondes elle était là, dans ma tête, son corps, ses yeux, sa bouche tout en elle me fessait fondre et savoir ça me donnais peur, oui peur de la perdre et de ne plus pouvoir exister après sans elle. Pars moments je ne savais plus quoi faire réellement, mais rien que penser à lui faire du mal ou bien de la quitter ne pouvait pas exister dans mon esprit, mais il fallait se rendre à l'évidence j'étais faible avec Marianne, tout pouvait m'arriver, elle pouvait tout me faire je savais que je ne ferrais rien pour me défendre. Pourquoi ? Elle m'avait tout simplement ensorcelé.

Il fallait que je reprenne mes esprit et je finis par atterrir dans l'eau avec Marianne, qui elle m'avait attendu. Elle s'approchait ensuite délicatement de moi, elle enroula ensuite ses jambes autour de ma taille et elle mit ses mains autour de mon cou, nous n'étions plus qu'a quelques millimétriques l'un de l'autres et à vrai dire attendre dans ces moments la n'était pas vraiment mon fort. Elle finit par me faire un sensuel baiser sur mon cou. Elle finit ensuite par relever sa tête et me dire que tout à l'heure elle n'était pas avec la personne que je croyais elle avait été juste avec une petit vieille pour se nourrir. Cela m’agaça légèrement un je finis par la lâcher sèchement.

Waren - " Je n'y crois pas Marianne, tout cela pour me rendre tout simplement jaloux, putain ... Marianne ... j'en ai marre, tu m'énerves à un point inimaginable. "

En plus de ses crises de jalousie à répétition elle en venait même à me mentir pour me rendre désormais jaloux tout simplement parce que je traîner avec des femmes qui ne comptait même pas pour moi. Je ne savais plus quoi faire à présent.

Notre jalousie mutuel nous perdra tout les deux, j'en étais sur, mais c'était ça aussi qui fessait marcher si bien notre couple. C'était tellement compliqué entre nous deux, il ne ce passé pas une seule minutes sans que nous nous prenions la tête moi et Marianne. C'était notre caractère mutuel tout simplement, et peut être malheureusement pour nous deux. Cette journée avait tellement bien commencé, je voulais faire en sorte que tout ce passe bien pour une fois, mais au fond je savais que c'était peine perdu.

A savoir pourquoi nous étions destinés pour nous disputer toutes les trois secondes. Ce qui avait le dons de pimenter notre vie de couple vampirique. Marianne m'avait avoué qu'elle n'était pas avec un homme mais avec une grand mère tout simplement pour ce nourrir, qu'elle idiote, qu'elle égoïste, cela m'avait bien sur fait péter un plomb. Elle m'avait répondu elle aussi en colère par rapport à mon comportement, que j'allais passer mon merveilleux moment à la plage tout seul et que si je manquais de compagnie il ne fallait pas que j'hésite à appeler Aurianne, mais qu'il ne fallait pas compter sur elle. PUTAIN, MERDE. Elle finit par partir ensuite. Qu'est-ce que je pouvais en avoir marre. Je la vis ensuite un peu plus loin, assise. J'avais décidé de la faire attendre un peu et de profiter de la mer, seul malheureusement.

Après quelques minutes, je finis par me diriger vers elle en vitesse vampire en fessant bien attention que personne ne soit dans notre champ de vision, aujourd'hui j'étais plutôt cool et je ne voulais pas tuer d'humains inutilement. J'étais maintenant en face de Marianne.

Waren - " Bon Marianne arrête de faire la gueule, tu sais très bien que je n'aime pas du tout quand tu me ment, cela me met hors de moi, alors s'il te plait arrête, arrête de me rendre jaloux inutilement, et je ferrais pareil. "

Qu'est-ce que je pouvais dire d'autre, surement pas que j'étais désolé, c'était à elle de dire ça. Surement pas à moi.