Ma phrase n’était pas anodine, je le savais et son rire me prouva qu’il le savait aussi. Je n’avais pas vraiment besoin de son rire pour savoir qu’il savait. J’espérais qu’il ferait ce dont on avait envie tout les deux. Je sentais cet instant proche et l’envie me submergeait de toute part. Je ne savais rien de lui, du moins, je ne savais rien de plus que ce qu’il m’avait dit et pourtant, je mourrais d’envie de ses lèvres, de son corps. C’était soudain, mais c’était un peu mon quotidien avec les hommes. Il était bel homme, il avait du pouvoir. J’étais une très belle femme et je le voulais. A quoi bon ne pas le faire ? A quoi bon refréner nos envies ?

- Et bien...Je te demanderai juste de subir ma sanction...

Je ne pus que sourire, il m’avait compris, oh oui ! J’en salivais déjà. Je n’étais pas patiente, mais alors pas du tout. Ma retenue était un effort surhumain, en même temps, je ne suis pas humaine. Sa bouche toucha pour de bon ma peau je passai ma langue sur mes lèvres, pour les humidifier mais c’était aussi une marque d’approbation. Je ne pu empêcher ma main de se lever pour venir dans les cheveux noir jais du beau vampire, chacun de ses gestes me rend folle, me rend dingue, me rend fébrile. Je le sentais mordiller un peu ma peau, ça me fit sourire, ce n’était pas un vampire pour rien et je vois que je n’étai pas la seule à aimer mordre et mordiller. Il positionna son visage devant le mien à, à peine millimètre, nos regards, à nouveau en osmose. Ma main restait dans ses cheveux tandis que la sienne vint se passer derrière ma nuque. Je me laissais faire, il m’approcha de lui et l’inévitable arriva. Nos lèvres se rencontrèrent : ENFIN ! C’était un soulagement, je crois qu’un peu plus et j’aurais préféré soit prendre la fuite soit le faire moi-même et dés le début, ça n’aurait pas été si doux. Je fermais les yeux en profitant, en partageant, en savourant ce baiser. Son autre main vint se poser dans mes cheveux et moi, je me rapprochais de lui. Cuisse contre cuisse, ma main d’ailleurs posée sur celle du roi. Je mettais plus de passion, je me laissais allez à faire ce que j’avais eu envie de faire depuis un bon moment, alors au diable la douceur et bonjour la passion. Je voyais que mes assauts ne le déranger pas vu qu’il se permettait de me mordre. Ce n’était pas mon habitude d’être douce, du moins, je l’avais été à une époque bien révolu, avec les hommes que j’avais tant aimé, j’avais tout appris sur l’art de le séduction avec mon mentor qui était doué, j’avais appris l’art de l’amour grâce à mon mari qui était si tendre. Il me mordillait et je lui rendais bien. Je mordillais ses lèvres. J’avais rompu, l’espace de quelques secondes, pour revenir, à chaque fois, encore plus passionnément. Je changeais de position, sans quitter ses lèvres. Je quittais ma place pour me retrouvais, de face sur ses genoux. Mes bras se positionnaient autour de son cou. Je ne savais pas s’il trouverait ça exagérait ou pas et sérieusement, je m’en moquais ! Ce qui est bien en tant que vampire, c’est que l’on a pas besoin de respirer, alors les baisers à rallonge on connaît et moi, j’adore ça ! Je me positionnais bien sur lui et reprenais un peu plus fougueusement ce baiser avant de positionner mon front sur le sien, souriante comme jamais. Je plongeais mon regard dans le sien.

- On ne doit pas vous le dire souvent, mais… J’adore votre punition…

Je venais sur ses genoux, il ne me repoussa pas, au contraire. Je sentais ses doigts parcourir mon dos, tandis que mes doigts jouaient avec ses cheveux, ne voulant pas lâcher ses lèvres. Il parcourut mon dos avant de poser sur mes hanches pour me rapprocher encore plus de lui. Ma jupe avait un peu remonter sur mes cuisses du à ce geste, ce n’était pas pour me déplaire après tout. J’avais ma poitrine qui c’était collé sur son torse et j’étais vraiment plus que proche de lui, ça me faisait quelques picotis dans chacun de mes membres. Je le trouvais touchant et plus que tendre avec moi. A cet instant, chacun avait oublié le coté froid que l’on avait pu avoir plus tôt ou même dans sa vie en général. Ce genre de chose rapprochait les gens.

- Il est vrai qu'il est rare que je donne ce genre de "punition"...Et que je prenne plaisir à la faire subir...

- Continuez donc...

Sa voix avait changé, elle était aussi chaude de la mienne. C’était sans doute parce que nos envies avaient pris le dessus sur nous. Je sentais la dureté de ses doigts sur mes bras et ceci me fit sourire encore plus. Il me regardait, mais il ne parlait pas. J’étais intrigué par son regard, mais à vrai dire, je lui rendais au centuple. Mes doigts passaient sur son visage, faisait le contour de son visage, passant sur les os qui ressortait bien avec la pâleur. Ses mains se remirent dans mon dos et il saisit le temps que je remette mes cheveux en place pour venir embrasser ma nuque. Je penchais un peu la tête pour en profiter avant qu’il reparte à l’assaut de mes lèvres. Il était plus pressant et j’essayais de lui rendre comme je le pouvais. Il avait autant de confiance en lui que j’en espérais venant d’un homme de sa trempe. J’avais pensé qu’il m’aurait tué au début, mais j’étais heureuse qu’il ne l’ait pas fait. Je me cambrais un peu et je m’y un terme au baiser, beaucoup plus collé à lui qu’il était possible. J’avais envie de m’amuser un peu, c’était agréable. J’aimais ça, c’était indéniable, mais je nous trouvais un peu calme, ça allait à l’encontre de ma réputation. Je passais ma langue sur ses lèvres avant de me lever, je reculais de quelques pas en le regardant dans les yeux, le défiant encore plus du regard. Mon regard lui passait un message qu’il devait forcément comprendre « Viens me chercher », c’était ça. Je voulais m’amuser. Je lui tournais le dos, puis je m’éloignais de lui en jouant avec mes cheveux. Ma voix était enjouée, restant sensuelle.

- C’est une belle ville que vous avez mon cher.

Il ne fallait pas lui dire deux fois de reprendre. A peine j’eu fini ma phrase que c’était repartie. Je le sentis un peu se crisper quand j’eu quitté ses genoux. Je marchais, je l’entendais se lever et me suivre. J’espérer qu’il comprenne mon jeu, c’est quelqu’un d’intelligent, il devait forcement comprendre. Je lui dis, une chose basique, l’une des premières choses qui me passait par la tête. Ma phrase eut don de le faire rire. Je me demandais quelle serait sa réaction si j’allais faire une petite promenade. Avec lui, cela aurait été le pompon. Je regardais derrière moi quand je sentis qu’il n’était plus là. Il est parti ? Je n’avais pas prévu ça ! Je fis un pas en soupirant avant de faire ce qu’il ressemblais le plus à un sursaut. Il était devant moi en me souriant. Je lui lançais un regard amusé. Je regardais ses mains se posaient sur moi et me faire reculer. Je me laissais totalement faire, autant lui faire croire qu’il avait le dessus. A la seconde où mon dos touchait le mur, les mains du vampire glissèrent sur mes hanches et à nouveau, sa bouche vint près de mon oreille.

- Il est vrai que Volterra est une ville superbe...Mais il est un peu tard pour faire du tourisme non ? Je serai vexé si tu me faussais compagnie...Pour un guide touristique.

Il était tard, oui et ce n’était pas ce que je voulais. Il devait sûrement bien connaître cette ville et donc être un bon guide, mais ça n’avait pas l’air de le tenter, de m’amener en balade.

- Il est tard, je vous l’accorde. Et qui sait, un guide touristique sera peut-être d’une bonne compagnie…

Je n’eut pas le temps de rire, ni de faire quoi que se soit car il se colla contre moi et mon ses lèvres vinrent rejouer avec ma nuque. Je penchais un peu la tête pour en profiter à nouveau. Je sentais ses mains parcoururent mon corps. Tout cela me grisait, me rendait fébrile. Je sentis à nouveau ses lèvres proches des miennes, elles ne se touchèrent pas, à mon rand désarrois, mais je compris bien vite, qu’il faisait ce que je lui avais fait. Il ne me toucha plus, il reculait, il me narguait avant de totalement me « zapper ». Il reprit sa place contre le poteau et il me fixait, encore et toujours. Je passai ma langue sur mes lèvres, avant de me mordre très légèrement la lèvre, ne le perdant pas de vue.

- Je vois que je ne suis pas la seule à désirer jouer.

Je fis, un pas, puis un autre, lentement, ne pouvant décrocher mon regard du sien. J’approchais de lui, je me collais un peu à lui, venant mordre sa lèvre inférieure. Mes doigts allèrent sur sa nuque avant de descendre et d’entreprendre l’ouverture de sa chemise. Je quittais son regard pour pouvoir regarder son torse qui était à moi maintenant. Mes doigts passèrent dessus avant que ma bouche descende su le haut de son torse, embrasser, passant parfois ma langue sur sa peau. C’était vraiment délectable. Je m’arrêtais et reculais de quelques pas, prenant un air, faussement coupable.

- Oh, que je suis navré… Je n’ai pas de bonnes manières…

Je lui lançais un regard d’envie avant de contempler sa peau à la lumière de la lune…

- Je n’ai pas de bonnes manières, mais la vue est intéressante…

- Pour tout t'avouer, je suis moi aussi...Plutôt joueur.

Tiens donc ! Il aimait jouer, alors on allez voir ça, voir s’il voulait réellement jouer avec moi. Je le sentais aussi grisait que moi, je lui faisais de l’effet, autant qu’il m’en faisait, sûrement. Il donnait envie, chacun de ses gestes me tentait un peu plus encore, que je ne l’étais. Quand je reculais, je voyais dans les yeux de mon « ami » une forte envie que je continue et dans ses yeux, je pouvais surtout lire ce qu’il allait me faire par la suite. Apparemment j’étais une comique née, vu le rire qui sorti dans sa bouche. Qu’avais-je pu dire de si marrant ? Je le laissais faire, à sa guise après tout. Il me regarda à nouveau, enleva sa veste qui était des plus superflu à l’instant. Je regardais alternativement son visage et son torse. Je me sentais petite à l’instant, j’avais pu avoir le dessus, mais là… Les gestes du beau vampire et son charisme me faisaient être une petite fille, totalement à la merci du beau brun. Sa main vint se poser sur moi, enfin sur mon maillot et il commençait à vouloir le faire tombé d’après ce que je pouvais comprendre.

- Il me semble qu'il est un peu trop tard pour aboutir à de telles conclusions n'est-ce pas ? Alors plus d'excuse possible...J'en suis moi même navré. Cela dit, il y a une petite chose qui me chagrine...Je ne trouve pas ça normal qu'il n'y ai que toi qui est le droit à une "vue intéressante"...

Il marquait un point, je ne pouvais pas, à l’instant, je n’avais pas à parler de mes manières. A vrai dire, j’avais de bonnes manières, mais là, je voulais simplement écouter mes instincts et oublier ce que j’avais pu apprendre. Je ne pus m’empêcher de rire un peu à la fin de ses phrases. Ce n’était pas juste et je me délectais de ça. La vue intéressante, vu que ses doigts jouaient avec mes affaires, je suppose qu’il ne devrait plus tarder à voir.

- Ce n’est pas normal oui… Mais je ne suis que votre humble servante…Faites ce que vous devez faire.

A peine ma phrase fut finit que je sentais mon haut descendre peu à peu sur mes hanches. C’était lent, du moins, je le voyais comme cela et cela ne faisait qu’attisé le feu dans les yeux du vampire qui n’en perdait pas une goutte. Petit à petit, on pouvait voir apparaître un sous vêtements noirs en dentelle, un peu classique mais qui fait toujours son effet. Je vis l’inévitable ce passer, mon maillot était baissé, ma poitrine était droite et bien en vue du roi. Je n’avais pas le temps de parler, de bouger. Je sentais les mains froides et dur me touchait et ses lèvres prendre mes lèvres. Je me redressais et mes mains commencèrent à remonter sur les bras de l’homme qui jouissait de la découverte de mon corps. Je remontais jusqu'à ses épaules et tout en prolongeant le baiser, je faisais glisser la chemise qui restait là, elle ne servait plus à rien. Il recula et j’enlevais pour de bon le vêtement sur lui, puis il recule un peu plus pour me regarder. Son ses yeux inquisiteurs, j’enlevais mon maillot, de façon toujours aussi sensuelle que chacun des autres mouvements que j’avait fait. Je le regardais, lui n’observait pas forcement mes yeux à ce moment là.

- La vue est-elle assez intéressante pour vous ?

Je fit un petit tour sur moi-même pour qu’il me regarde et j’approchais à nouveau de lui. Je vins mordre sa lèvre inférieure, à nouveau, puis je partis mordiller sa nuque. Je décidais de jouer un peu en laissant allez ma main sur lui. Elle parti du bas, de sa cuisse avant de montrer, lentement, évitant l’entrejambe pour venir jouer sur son torse. Je revins chercher ses lèvres avant de venir mordiller son menton. Ma main resta un peu sur son torse avant de redescendre. Cette fois, je ne déviais pas ma main et elle passa, encore plus lentement, sur son entre jambe. Je souriais un peu avant de revenir chercher lèvres pour, à nouveau, me reculer et m’éloigner de lui, encore.

Quand j’avais frôlé ou plutôt toucher ce qui faisait de lui un homme, ses dents vinrent mordillait la peau de ma nuque. Un homme reste un homme, vampire ou non et d’après ce que j’avais pu sentir, je ne le laissais pas indifférent. J’avais, une fois encore quitté son étreinte, nos regards étaient sûrement identiques avec l’envie qui émanait de nous, autant que lui avait un regard féroce d’envie que moi, je le défiais, je jouais avec lui. Il s’avança et je m’arrêtai, curieuse de voir ce qu’il pourrait faire. J’allais reculer à nouveau quand il me prit littéralement de cours en me poussant avec la force et la vitesse qui est notre sur un mur derrière moi. Je passais ma langue sur mes lèvres à mesure que je le sentais proche et que je sentais ses mains sur mon corps. Néanmoins, quand il m’eut poussé j’avais senti le mur bouger un peu, ce n’était pas l’idéal pour cacher notre identité ou juste ce que nous avions prévu de faire, ce qui serait un manque de décence…Pour eux du moins. Il se recula après avoir regarder autre de nous, il avait donc penser à la même chose que moi, ce qui ne m’étonna pas venant de lui.

- Bien que le grand air ne me dérange point du tout, nous sommes légèrement exposés ici tu ne trouves pas ?

Je hochais la tête et d’une concentration assez faible je fis lever les deux capes et nos hauts respectifs qui allèrent vers moi. Ce n’était qu’un vulgaire entraînement pour moi ce genre de chose, mais le plaisir était toujours là. Les vêtements vinrent vers moi et je posais le tout sur mon bras, restant aussi torse nu que le vampire devant moi.

- Oui, c’est un fait. De plus, si nous usons d’un peu trop de force, nous attirerons quelques regards. Avez-vous un endroit où vous désirez aller ?

J’avais décidé de ne pas le laisser se « refroidir » alors je me rapprochais de lui en faisant un léger rictus et je vins à nouveau chercher ses lèvres qui me plaisaient tant en cet instant. J’avais ma poitrine contre son torse, un bras autour de sa nuque et je profitais amplement de ce qui m’étais offert.

Je le laissais entièrement choisir. Du fait que c’était SA ville et parce que je voulais être un peu docile, pour une fois. Ca ne durerait pas, je suis toujours la prédatrice que j’ai toujours était et je n’étais pas prête de changer. Aro avait quelque chose en plus, c’était peut-être son pouvoir qui m’intéressait. Habituellement, la bagatelle que nous nous apprêtions à faire, aurait déjà été faite, mais là, non, je m’amusais, je prenais mon temps et Aro me le rendais si bien. Il s’éloigna, regarda devant lui, regarda la fontaine et moi j’attendais, bien patiemment. Les minutes s’écoulèrent, puis il revint vers moi, me baisant délicatement la main et me faire avancer de quelques pas. Ce que j’aimais avec les « vieux » vampires, c’était que la plupart n’avait rien perdu de leur coutume et donc, le baise main, la cour, tout ça, c’était encore d’époque pour eux et moi, ça me faisait rêver. Ca me rappelait mes amours perdus, ma vie d’antan. Il avait repris sa chemise et e le regardais avec une petite moue, au début c’était ce qui ressemblait à la tristesse, d’un autre côté, c’était un regard envier. Il était si « classe » comme cela.

- Suis-moi, je connais un endroit idéal et tranquille !

Il lâcha ma main et comme simple réponse de ma part, j’hochais la tête. Idéal et tranquille ? On pourrait enfin commencer à jouer tout les deux. Sans le regard d’humains interrogateurs devant notre peau où notre force. Il commença à rentrer dans la ville, je mis une cape nouée autour de mon cou et le suivit. Je n’avais pas à remettre mon maillot s’il allait voler dans à peine quelques minutes. Je le suivais à quelques pas de lui, dans un silence de plomb qui me rendait nerveuse. Je n’aimais pas le silence, alors je me fixais sur les bruits que provoquait mes talons quand ils touchaient le sol, ça me fit décocher un petit sourire. Il faisait sombre, j’étais une vampire redoutable, dans des petites ruelles qui n’avait rien de glorieux et le bruit de mes pas résonnait. C’était pittoresque. Nous sortions quasiment de la ville en fac de ce qui devait être un parc. Je sentais des odeurs humaines. Autant qu’Aro avait passé vite, que moi, je mettais arrêter non loin, le regard perdu sur la cabane. L’odeur était forte, présente, j’avais soif. Non pas par nécessiter, mais juste pour assouvir mon besoin quotidien de meurtre. J’avais tout oublié. Qui j’étais, avec qui et où. Je fis un pas vers la cabane avant de m’arrêter net en sentant une bourrasque de vent qui me rappela le vampire qui me fixait. Je lui jetais un coup d’œil et je jetais un œil à la cabane. Je mordis ma lèvre en respirant profondément. Je secouais la tête avant de rejoindre rapidement Aro, le fixant bien droit du regard. Je n’avais rien fait, j’avais été tenté, c’est vrai. Les entendre hurler, supplier, séduit malgré tout. Je passais devant et avançais en même temps que lui, je lui ferais oublié mon écart de conduite. La lune se reflétait dans ce qui semblait être un espèce de lac. C’était à l’écart, un endroit à part, couvert par les arbres. Caché et joli comme endroit. Je me baissais avec cette grâce qui était mienne, avec chacune de mes courbes qui jouait. J’enlevais mes bottes avant d’avancer vers le plan d’eau, ma jupe glissant sur mes jambes pour finalement ne plus être sur moi, mais étalé au sol. Je vous refais la scène. Une jeune femme bien belle, en sous vêtements avec comme vêtement une cape noire, son corps éclairé par la lune, se reflétant dans l’eau qu’elle approche dangereusement. Je n’accordais plus un regard à Aro, mais mon corps l’appeler, jouer avec ses envies. Je savais qu’il me regardait et je l’attendais. J’arrivais aux bords de l’eau et m’asseyais lentement, me mettant en tailleurs. Je mis la main dans l’eau, jouant avec les vagues que je provoquais.

- C’est vraiment une bien belle ville que vous avez là Aro. Elle à beaucoup de charme, elle.

Je rigolais légèrement avant d’attendre un mouvement, un geste, une parole de lui.