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Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle]

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MessageSujet: Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] I_icon_minitimeDim 12 Fév - 19:45
J’étais un peu désorientée. Je savais que ma petite Nessie savait, pour Jacob, pour le fait qu’on lui avait caché la vérité et je n’aimais pas mentir aux gens, je ne suis pas comme ça. Elle avait eu besoin de moi, j’avais répondu présente, comme je le fais à chaque fois qu’on a besoin. En ce moment, j’avais un sentiment bizarre qui m’oppresser, l’impression d’être observée, d’avoir ce mauvais présentement dont j’avais parlé avec Jasper. Une fois que mon fils avait eu quitté la pièce, tout était redevenu normal. Je n’aimais pas montrer ce que je ressentais, je me devais d’être toujours impeccable pour ma famille, d’être une forte femme, pour eux, pour qu’ils puissent savoir que j’étais toujours là. Je mis une simple robe blanche, arrivant à la moitié de mes cuisses, avec une ceinture noire. Je pris ma veste, mes clés et je démarrai la voiture, direction le seul endroit où je pourrais être à l’aise. Sur le chemin, j’avais toujours cette sensation étrange, ça en devenait gênant. J’accélérais et roulais encore plus vite pour atteindre l’hôpital. L’avantage d’avoir Carlisle comme mari, c’est qu’il ne prend pas sa voiture parfois, ce qui fait que j’avais une place toute trouvée sur le parking. On ne disait rien à la femme du merveilleux Docteur Cullen. J’avais sorti la porche jaune pétant d’Alice et c’était assez voyant, tout le monde me regardais, moi je souriais de façon assez négligente pour une fois. Je rangeais les clés dans mon sac et marchais jusque l’entrée. Je pris un temps d’arrêt pour me familiariser avec les odeurs. Le sang était sacrément intense aujourd’hui. Un gros accident ? Je n’en savais rien, je n’irais pas voir de toute façon, sûrement que Carlisle m’en parlerais où peut-être que je n’avais plus l’habitude de sentir le sang. Enfin, après quelques secondes d’arrêt, je rentrais dans l’hôpital, direction le bureau de mon mari. Il est bizarre que je me sente si bien dans cet endroit. Je n’ai pas le sens fermé comme mon mari, parfois, le sang me tente, juste pour me dire ce que ça ferais d’y goûter une fois et ce qui me faisait le plus de bien, c’était qu’en entrant, j’avais l’impression de ne plus avoir cette sensation qui me suivait. Enfin ! J’arrivais à l’étage des bureaux où j’avais des « Bonjour Madame Cullen » par-ci « Vous êtes en beauté Madame Cullen » par-là. Parfois j’entendais même des choses qui me faisaient sourire totalement. « C’est la femme du Docteur Cullen, elle en a de la chance, j’aimerais être à sa place ». Je leur accordais un petit clin d’œil à chaque fois ce qui les faisait sursauté. Oui, j’avais de la chance et je comptais la garder toute l’éternité. Je croisais une infirmière qui me salua avant de prendre son bipeur.

- Non, ne le prévenais pas, je vais l’attendre, j’ai tout mon temps.
- Bien Madame Cullen.

Je lui adressais un énième sourire avant de rentrer dans le bureau de mon mari. Sobre comparé à celui de la maison, je laissais tombé mon sac sur la chaise, ma veste le suivi de peu. J’ai du attendre ce qui semblait être une éternité pour un humain, quatre heure à attendre mon mari dans son bureau. J’avais eu le loisir de voir les gens s’extasier devant la voiture d’Alice, de voir d’autres personnes arrivées en ambulance. Carlisle devait être occupé. Le téléphone sonna et je décrochais instinctivement. Ils avaient l’habitude.

- Bureau du Docteur Cullen, oui […] Non, c’est sa femme. […] Il n’est pas présent actuellement, il doit être en intervention […] Oh ! Oui, je lui dirais. Rétablissez vous bien Docteur. […] Bonne journée à vous aussi.

Un collègue de mon mari été malade et dans ces cas là, on appelé Carlisle pour un remplacement. Je notais le tout sur un bout de papier avant de regarder à nouveau par la fenêtre. Une heure s’écoula à nouveau, le soleil baissait dans le ciel, j’avais pris place sur la chaise de bureau, non pas pour des crampes, mais juste parce que je ne voulais plus être debout. Enfin une odeur que j’aimais tant ce fit sentir. Il était dans le couloir. Je mis mes pieds sur bon bureau et pris le bout de papier dans les doigts. Quand il ouvrit la porte, je fis un énorme sourire en ne le quittant pas des yeux.

- Ton collègue à appeler, il te demande de le remplacer ce week-end.

Il était assez rare que je vienne le déranger au travail, mais j’avais besoin de le voir et sa présence fit taire mes mauvaises impression. Ca ne durerait pas, mais c’était déjà ça.
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MessageSujet: Re: Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] I_icon_minitimeDim 12 Fév - 23:23
Une nouvelle journée de travail commençait. J'aime mon job, c'est fantastique de sauver des vies, et de plus, de prouver par a + b qu'un vampire n'ai pas forcément besoin de sang humain comme nourriture. Je suis épanouie, ma famille est formidable, je n'aurais jamais espéré mieux, et ma femme est incroyable, sublime, élégante, gentille, unique. Je l'aime plus que tout autant que j'aime mes enfants, autant que j'aime la famille que j'ai créer. Ma vie ferait rêver n'importe qui. Je me considère comme l'homme le plus heureux, chanceux et comblé du monde. L'amour que je porte à ma famille n'est pas comparable. J'avais passé la nuit à parler avec Esmée, ma chère et tendre, des discutions pasionnantes comme toujours. Quand l'heure fut venue, je partis en direction de l'hôpital. Et cette journée promettait d'être chargée : les accidents et interventions n'en finissaient jamais. Je pense que les habitants de Forks ont tous deux pieds et mains gauches. Mais bon, dès que je vois quelqu'un ayant une jambe cassée, je ne peux m'empêcher de sourire. Oui, car cela me fait penser à ma belle Esmée, lorsque je l'ai rencontré. Elle voulait escalader un arbre alors que l'hiver était présent.. Et cela me fais rire à chaque fois que j'y pense. Elle est déjantée, j'adore. D'ailleurs, j'ai penser à elle toute la journée, comme presque tous les jours d'ailleurs. Le coup de foudre existe, et je peux le crier sur tout les toits, que lorsque j'ai vue Esmée, ce n'est pas un simple coup de foudre qui c'est produit, la foudre m'a carrément cramer. C'est la seule et unique, les infirmières peuvent toujours me faire du charme, je m'en balance. Mais aux urgences, on me signale qu'une opération doit être faite d'urgence, un accident grave c'étant produit. Sans trop attendre, je me dirigeais vers le bloque opératoire, et m'executais à la lourde tâche qu'était une opération chirugicale. Elle avait durée longtemps, longtemps... mais comme souvent, ce fut, à mon grand soulagement, une réussite. Il y a aussi eut des émoragie, et tout le tintouin. Là, tout ce dont j'avais envie, c'était retrouver ma femme, mes gosses. Et mon souhait fut exaucé en grande partie, lorsque je me dirigeais vers mon bureau et sentais l'odeur exquise de ma femme. Petite visite surprise ? Très agréable. Je pressais le pas, content de la savoir présente. Lorsque je poussa la porte de mon bureau, je pus l'apercevoir, installée tranquillement, pieds sur le bureau, avec un morceau de papiers dans les mains. Je lui souris, ne lui cachant pas ma joie de la voir ici. Elle me sourit égalemment, et fit entendre sa belle voix réconfortante :

Citation :
" Ton collègue à appeler, il te demande de le remplacer ce week end. "

Une moue traversa mes lèvres. Je fus agacer, de toute façon, il ne fait pas grand chose. Je ne dis rien, et m'approchais d'Esmée, la serrais dans mes bras et l'embrassais avec amour.

" Quelle surprise, je suis content que tu sois là mon ange. "
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MessageSujet: Re: Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] I_icon_minitimeLun 13 Fév - 18:00
J’étais si heureuse de le voir. Il était beau en blouse blanche, ses cheveux impeccables, son sourire magnifique et son aura si douce et si belle. C’était l’homme parfait et il était à moi. Il avait l’air content de me voir, ça me fit plaisir, tout ce qu’il faisait me faisait toujours aussi plaisir qu’avant. Ce doutait-il de quelque chose ? Je venais rarement le voir. Les Cullen venait voir Carlisle à l’hôpital quand il y avait un souci, je faisais pareil, bien que je pourrais tout cachais par mon amour pour lui. Quand je lui appris la nouvelle, je pu voir un air de mécontentement. Je me levais de son fauteuil pour qu’il me sert contre lui.

- Quelle idée d’être le meilleur médecin de Forks. C’est de ta faute mon amour.

Je rigolais et posais mes lèvres sur les siennes. Ca me faisait toujours cette chose bizarre au ventre, j’avais toujours l’impression que mon cœur battait à tout rompre quand il me serrait contre lui. Je passais mes bras autour de lui en me collant à son corps si parfait qui avait hanté des jours et des nuits pendant ma vie humaine et ce même corps dont j’avais pu savourer la saveur pendant de longues décennies vampires.

" Quelle surprise, je suis content que tu sois là mon ange. "

Je lui adressais un sourire des plus tendres avant de lui répondre.

- Ca fait quelques heures que je suis là, je voulais te laisser travailler… Il n’y avait personne à la maison, je voulais te voir. Tu as un peu de temps pour la femme du talentueux et sexy Docteur Cullen qui fait rêver ces infirmières ? Ai-je du souci à me faire cher Docteur ?

Je savais que je n’avais rien à craindre, qu’il n’aimait que moi, autant que je l’aimais. Je rigolais à nouveau avant de poser mes fesses sur le bureau, un peu assise, un peu debout. J’avais ses mains dans les miennes et je lui lançais un regard joueur.

- Le docteur Cullen succomberait-il à toute femmes qui ont la jambe en lambeau ?
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MessageSujet: Re: Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] I_icon_minitimeMar 14 Fév - 19:13
Elle se leva toujours avec autant de grace de mon fauteuil, pour me rejoindre, et l'on se serra mutuellement dans les bras l'un de l'autre. Sentir son odeur, ses bras, son corps, voir ses yeux pétillants, ses lèvres s'étirer en un sourire, ses mains caresser ma peau froide, tout cela, c'est indispensable pour moi. C'est... Indescriptible, je l'aime tellement, à un tel point inimaginable. J'entendis à nouveau sa douce voix :

Citation :
- Quelle idée d’être le meilleur médecin de Forks. C’est de ta faute mon amour.

Je riais avec elle, avant que mes lèvres rencontrent enfin les siennes. Cela me fais un bien fou. Ce goût est unique, tout comme la sensation qu'elle me procure. Je la sentais tout contre moi, et pour rien au monde, je n'aurais gâcher, arrêter ce moment de pure complicité et amour. Elle a toujours était celle que je désire, et elle restera la seule et l'unique, l'irremplaçable Esmée. Lorsque je lui dis que je suis heureux qu'elle soit à mes côtés en cet instant précis, elle me sourit et me répondit :

Citation :

- Ca fait quelques heures que je suis là, je voulais te laisser travailler… Il n’y avait personne à la maison, je voulais te voir. Tu as un peu de temps pour la femme du talentueux et sexy Docteur Cullen qui fait rêver ces infirmières ? Ai-je du souci à me faire cher Docteur ?

Elle m'attend depuis longtemps alors ? Je suis navré de cette attente. Mais je suis là maintenant, et je ne partirais pas de si tôt. Malgré tout, je me demandais si elle avait un soucis, et si c'est la raison de sa visite. Elle était d'humeur taquine, et moi d'humeur à plaisanter. Alors, je décidais de lui répondre, sur le ton de la plaisanterie, sachant qu'elle n'allait pas être vexer, ni inquiète :

" Ho oui un gros soucis. Faites vous du soucis, cher Madame... Cullen * un grand sourire s'afficha sur mes lèvres, rien que d'entendre qu'elle est ma femme me fais toujours autant plaisir, de savoir qu'elle est mienne. * car vous êtes très malade. La maladie de l'amour. Et j'ai pas envie de vous soignez, voyez vous. "

Je lui adressais un sourire en coin. Je suis fou de cette femme. Elle me rend tout bizarre, à chaque fois que je la vois, qu'elle est avec moi, j'ai l'impression d'avoir pris une grande dose de morphine. Un tel bien être, je ne le ressens qu'avec elle. L'amour de ma vie entière, de ma looongue vie. Elle s'assit sur le bureau, et ses mains dans les miennes :

Citation :
- Le docteur Cullen succomberait-il à toute femmes qui ont la jambe en lambeau ?

Je ne pus m'empêcher d'avoir un petit sourire. Décidément, elle est d'humeur... Joueuse même. Je m'approchais un peu plus, souriant :

" Non, seulement toi, tu me fais rêver à chaque fois que je te vois. "
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MessageSujet: Re: Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] I_icon_minitimeSam 18 Fév - 23:16
Durant ma vie humaine, j’ai toujours voulu ce que l’on appelle le grand amour, celui que l’on trouve et que l’on ne quitte pas. Celui qui d’un regard comprend tout ce que l’on ressent, en bien où en mal. Celui qui comprend chacun de nos gestes. Celui qui arrive à déceler chaque parole dans un silence. Le vrai, le grand amour, celui dont on ne se lasse pas jusqu'à ce que la mort nous sépare et qu’on se retrouve dans le trépas. C’était ce que j’avais toujours voulu et j’avais fini par le trouver. Je l’avais trouvé quand je suis morte. Je l’avais trouvé quand j’ai fait l’acte le plus stupide qui soit et pourtant encore aujourd’hui, je ne regrette pas. Bien sur, je regrette la perte de mon enfant, mais j’ai récupérer un mari si doux, si bon, si merveilleux, que le jeu en valait amplement, la chandelle. Je perçu son mécontentement face à mon attente, mais je n’étais pas une priorité alors que de pauvres gens avait besoin de mon mari.

" Ho oui un gros soucis. Faites vous du soucis, cher Madame... Cullen, car vous êtes très malade. La maladie de l'amour. Et j'ai pas envie de vous soignez, voyez vous. "

Je fis un air faussement déconfit, me retenant de rire.

- Oh. C’est donc ça ces symptômes. Je vous pris Monsieur Cullen de ne pas me soigner, mais d’amplifier cette maladie qui me va parfaitement.

Je le tirais vers moi, assise sur son bureau et après avoir embrasser ses mains, je passais mes bras autour de sa nuque, mes yeux dans les siens.

" Non, seulement toi, tu me fais rêver à chaque fois que je te vois. "

J’embrassais sa joue avant d’effleurer ses lèvres, souriant toujours autant. Il réussissait vraiment à me faire penser à autre chose, j’ai de la chance de l’avoir prés de moi.

- Un beau rêve éveillé avec toi.

Je le collais à moi, j’avais ouvert les jambes pour le sentir encore plus proche de moi. Je le serrai si tendrement, si fort, non pas au point de lui faire mal, mais j’avais besoin de sa tendresse habituelle, j’avais besoin de lui, chaque jour, chaque seconde de ma vie lui était consacrait. A lui, à notre famille.

- Je t’aime Carlisle.

Ma voix était faible, rêveuse, un soupsons mélancolique. Rien d’inhabituelle pour quelqu’un d’autre. Je savais que je l’inquiéterais alors après quelques secondes d’étreinte, je relevais la tête vers lui, trouvant un sujet quelconque.

- Nessie est au courante pour Jacob, pour l’imprégnation, pour le fait qu’on lui a cachais, pour tout.
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MessageSujet: Re: Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] Parce que tu me manques et que je voulais te voir [Carlisle] I_icon_minitime
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