C’était une belle journée pour un mois d’Avril, ne trouvez-vous pas ? Je ne voulais pas aller chasser, effectivement, bien que ma cruauté était sans limite, je respecter certaines règles que quelques année auparavant je me devais de ne pas y enfreindre le moindre point sous peine de mort. Et oui vous l’avez peut-être deviné, à cette époque, j’étais sous le commandement des Volturi et aujourd’hui je voulais en revoir un. Comme tout les vampires, le sommeil m’été interdit, je ne pouvais plus dormir, ni même manger ou boire, je pouvais à la place de tout cela, chasser et me nourrir. Mais passons. Je me lever donc du lit sur le quelle j’avait passé ma nuit à lire des livres anciens, enfin relire serais être un mot plus juste. Oui, je vis depuis maintenant 960 ans, alors les livres j’en ais lus beaucoup, certes pas tous, mais beaucoup. Je pris le temps d’aller me doucher, et surtout de me pomponner même si je n’en n’avais pas vraiment besoins. Je pris ensuite un bon petit déjeuner dans le parc de la ville en compagnie de mon frère, Nous avions trouvé un couple en pleine réconciliation, après tout, nous leurs avons donné le plus beau cadeau … L’éternité pour eu, et le ciel pour seul compagnons. Nicolas pris les corps et les menas à notre villa. Par la suite je le rejoins. Lui annonçant que je m’absenter pour trois petits jours. Mon jumeau qui avait tendance maintenant à ce faire passer pour mon grand frère de quelques année ne pris pas la nouvelle trop mal. Il ne portait plus trop les Volturi dans son cœur mais bon, ce n’était pas pour autant qu’il les détestait totalement. Je partis dans ma chambre et attrapa mon ordinateur portable, un petit notebook blanc avec un trait vertical rose, et un second juste à coté du premier, mais cette fois de couleur rouge. Je me connecter à internet et réserva une place sur un vol en première classe pour l’Italie. Et bien oui pour rendre visite à nos amis il fallait que je me rende à Volterra, charmante petite ville. Une fois ma place réservé, j’usai de ma vitesse surhumaine pour faire ma valise en toute vitesse. Une fois la tâche accomplis, je pris mes clés de voiture et mon sac à main, j’avais mis pour rencontrer nos anciens amis, une belle robe noire avec une fine ceinture marron qui avait un petit nœud sur le devant. Bien entendue mes escarpins noir, et mes lunette de soleil accompagnée cette petite tenue. Au moment de passer la porte d’entrée, mon frère me jeta une veste en laine fine, marron. Et ma montre en argent.

Et bien oui, malgré tout il fallait que l’on passe inaperçu aux yeux des humains et sortir en robe à manche courte alors que à l’extérieur il y avait une température de 10°C cela ne passait pas vraiment inaperçue. Je lui dis un simple au revoir. Et refermer la porte derrière moi. Je pris les transports en commun en pensant bien à garder mes lunettes de soleil sur les yeux pour que personne ne vois leur couleur rougeâtre. Ma petite valise à roulette à la main, et mon sac à main et mon portable dans l’autre, je descendais enfin du bus. Le vol fus long pour moi, j’avais pourtant demandé à être seule sur ma rangée, mais une petite fille de cinq and et sa jeune mère c’était mise à mes cotés. Ce fut une vraie torture de ne pas me jeter sur elle pour les privés de tout leur sang. Une fois arrivé à l’aéroport je pris une petite voiture en location pour me rendre jusqu'à Volterra. Je profiter des nuages pour me rendre au plus vite à la demeure des Volturi, car de nombreuses personne arpentaient les sublimes rues de la chaleureuse ville.

« Et voilà … J’y suis enfin. »

Je pris les escaliers pour me rendre en salle de réceptions, je croisais alors beaucoup de monde que je ne connaissais pas, la famille Volturi se serait-elle agrandis, ou les visite nutritionnel été de plus en plus tôt maintenant ? Une jeune demoiselle pris mes affaires pour les porter dans ma chambre pour ses trois jours de visites. Puis une seconde, me fis faire le tour des lieux, croyant que je ne connaissais pas la maison, je rentrer donc dans les jeux, car cette personne était humaine, mais bien entendue, je n’allais pas la toucher sans en avoir le droit, après tout, les personnes humaines qui travaillent pour les Volturi sont soit voué à un grand avenir immortel, soit à servir de repas. Je voulais discuter avec Aro. Bien entendue, j’aimais bien m’entretenir seule avec lui, et puis j’avais entendue parler de cette chère Esmée, qu’il tenait comme invitée forcée, car le mot prisonnière ne convenait pas il m semble. J’avais hâte de le revoir depuis ces dernières années. Je n’étais d’ailleurs plus tout à fais la même qu’avant. J’avais déjà à l’époque une cruauté sans failles à l’époque, mais elle c’était encore plus endurcie avec le temps. Je ne savais pas trop si sa allait plaire ou non, mais tant pis. J’avais bien évidement prévenue de mon passage plusieurs jours en avance.

J’accordais un sourire à la jeune humaine qui avait porté mes valises à ma chambre. Elle n’était pas très souriante, mais en même temps … Bref. J’étais sur le point de rentrer dans ma chambre lorsqu’une une voix familière m’interpela. Aro, un ami comme on en fait plus de nos jours. Généreux et juste avec ses amis. J’apprécier beaucoup cette personne. Un sourire de joie ce dessina sur mes lèvre et je retirer mes lunettes pour les poser sur ma tête, m’en servant comme d’un serre-tête.

« Katherina ! Quel plaisir de te voir, tu es chez toi ici, J'espère que tu t'y plairas. »

Je marchais à ces côtés pour rejoindre un espace de vis conviviale, en effet, il y avait des fauteuils et une bibliothèque à étages. Je pris place sur l’une de ses assises après que l’on m’y est invité bien entendu. Je me souvenais bien de mes jours passé aux côtés des Volturi. Des jours heureux et agréable, j’aimais beaucoup les servir même si j’aimais aussi beaucoup m’a nouvelle vie assez libre. Mais je respecter toujours quelques consignes strictes qui s’appliquent autant aux vampires végétariens tout comme aux sanguinaires. Tiens donc … en parlant des végétariens, je ne l’ai aimais que peux, enfin non, je dirais plutôt pas du tout. Leur manque cruel de confiance en eux avait tendance à m’agacer. Nous avions pour certains un don, un pouvoir immense, et le gâcher ou l’affaiblir pour des convictions ridicule été vraiment idiot de leur part. Mais pas d’énervement futile.

« C’est un plaisir partagé cher Aro. »

La vie d’ici m’avais manqué. Et j’étais heureuse de pouvoir revenir et rester quelques jours. Je regarder Aro dans les yeux, on avait tous les deux ce regards particulier, rougeâtre. Comme tous les autres vampires sanguinaires. Je pris une grande inspiration et écouté Aro, les nouvelle à Forks n’était pas très pimentais.

« Alors, comment vas-tu ma chère amie ? »

Comment j’allais ? Et bien pas trop mal. Mis à part que mon frère été encore plus possessif et il m’étouffé toujours un peu plus, pas grand-chose. Mais il était vrai qu’Aro ne m’avait pas revue depuis les années soixante. Durant ses année on avait été amené à ce revoir pour défendre la cause de mon frère, effectivement, à cette époque il avait eu un petit coup de foudre pour une humaine qui travailler chez les Volturi. J’avais réussi à obtenir son relâchement. Pour ce qui est du reste, j’avais des nouvelles assez désastreuse à annoncer à Aro.

« Je vais bien, mon frère vous salut d’ailleurs. Pour ce qui est de Forks, je dois vous dire que j’ai rencontré une petite vampire végétarienne une semaine avant mon départ pour Volterra … Elle connait l’existence des Volturi … Et surtout c’elle de Thomas … Je ne m’explique toujours pas pourquoi il à abandonner cette jeune femme, elle n’a toujours pas connaissance de son don, mais elle semble très prédisposer pour en développer un. Elle se nomme Aurore J. Borèline. Et vous comment vous portez vous ? »