Sometimes life seems hard. Today mine is a lot of painful memories.

Mélodia & Maël

S onnerie interminable du réveil. il faudrait que je me lève et que je fasse tout un tas de choses pour aller en cours, mais j'avais une flemme pas possible aujourd'hui. Seulement je ne voulais pas décevoir mon père, il avait tellement sacrifié de chose pour que l'on puisse s'installer convenablement. Et bien entendue être l'un de plus riche et puissant de la ville cela peut toujours aider. Je pris une position assise et jeta un coup d'oeil sur ma fenêtre dont les volets étaient restés ouverts hier soir. un soupire s'échappa de me lèvres, puis j'y afficher un sourire en voyant un mot sur ma table de nuit. Mon père y avait écrit ses excuse pour son absence de ce matin, et avait préparé un petit déjeuner de reine avec Constance, notre femme de ménage qui nous avez suivit et avait sa chambre juste en face de la mienne. J'enfiler mes chausson et pris les escalier pour descendre. Un café, et une salade de fruit, et une coupelle de fraise, cette fois c'était sure, je pardonnais l'absence de mon père. Je mis la radio et écouter les information du matin, seulement c'était des information shopping ponctuer de musique du moment. En vingt minutes mon petit déjeuner avais disparus dans le fond de mon estomac. Impatiente de retrouver mon père ce soir, je pris ma douche, et partis en voiture au lycée.

La journée commencer bien. Cour de criminologie, ma matière favorite dans la quelle je prenait tout le monde en concurrence pour être la meilleure pour la bonne et simple raison que les place en fac sont peu nombreuse. Les cours se suivait couper par quelque pause. Pour le déjeuner j'avait pris une pomme et une salade composée. Rien de tout le reste me semblais appétissant. J'avais croisé Maël ce matin dans les couloirs mais les épaisse brute sportive étaient arrivés dans les couloirs pour faire leurs loi, et au final avant même que l'on puisse ce dire bonjours on c'était retrouver chacun à l'autre boup du couloirs, et direction les derniers cours de la journée.

Le dernier cours fut interminable, Constance était venu avec père et ce soir on allait manger tous ensemble au restaurant. Et de plus mon père avait un chose importante à me dire. Mais j'était loin de me douter que cette choses allait être grave. Je retrouvait donc mon père un peu plus loin que le parking. Je le suivit en voiture jusqu'à Port Angeles. Mais venons en au dîner. J'était assise, souriante lorsque je vis le visage de mon père se décomposé, inquiet et ne sachant pas par où commencer, il ris le temps de souffler, de boire son verre, et il pris la parole. Pendant une demie heure, il me rappela la maladie de tante Judite, et des risques que le médecins nous avait longuement expliquer, me les expliquant une nouvelle fois à son tour. Je commencer donc à effacer mon sourire et à m’inquiéter du sort de ma tante. J'était très proche d'elle et depuis la mort de ma mère elle était un peu sa remplaçante avec constance. Finalement mon père arriva à sa conclusion. Ta tante, nous à quitter Mélodia, je suis désolée. Fâché contre la vie, et tout le reste, je sortais du restaurant, mon père voulut e retenir, mais notre gouvernante l’empêchât de se lever et partis me rejoindre à ma voiture. Je pleurer, comme une madeleine. Elle m’expliquât l'importance de ne faire aucune stupidité qui l'on pourrait tous regretté et me laissa démarrer la voiture, pensant que j'allais rentrer. Je déposa ma voiture dans le garage de notre maison et partie dans ma chambre.

Après avoir pleurer pendant une demie heure, ma colère pris le dessus et je partis par la fenêtre après avoir enfiler un jean troué et un débardeur couleur corail. Je partis à pieds et faisant du stop ! Je ne voulais pas que mon père ce rende compte que je n'étais pas à la maison quand il rentrerait. très vite une bande de jeune homme s’arrêta, ils étaient un peu soul et étaient entrant de fumer illégalement ! Mais sans être consciente des risques, je monter dans la voiture ou il ne restait même pas assez de place, je me retrouver donc sur le genoux du passager avant. sans peur, ni crainte, je leur demandé de me déposer au bar le plus malfamé qu'ils connaissaient. Et direction Port Angeles pour la seconde fois de la journée. Ils s'y rendaient aussi, mais plus tard dans la soirée, après que je soit à la limite d'un coma éthylique, ils me firent sortir du bar avec eux. Pour une fois des jeunes hommes n'allaient pas vouloir profiter de la situation. Ils essayés à tour de rôle de m'aider, mais je faisait la folle. Quand soudain je bousculer une personne inconnue, une femme d'une trentaine d'année. Sans même lui demander pardon, je la dévisager en lui jetant un regard noir. Elle partie en courant vers le parc. Puis vers la forêt qui relier Forks et Port Angeles. Je la suivit malgré les interdiction des jeunes hommes. Une fois perdue dans la forêt, ayant une grande envie de me battre contre cette femme, je la chargeait et la fit tomber alors qu'elle avait le dos tourner. Ce fus un erreur à ne pas commettre. Elle se jeta à son tour sur moi avec une force sur-humaine. Et elle me laissât après 10 bonne minutes. Presque morte, agonisante de douleurs. Et j’entendais au loin de hurlement de loups. Ma vie était-elle finie ? Mon père ne retrouverait-il jamais le sommeil car mon corps de ferait pas retrouver à cause des loups affamé que j'entendais ? Je me posé pleine de question, tout en perdant lentement tout mon sang. J'était allongée sur le dos, les yeux rivais vers les étoiles. Des nuages firent leurs apparition, et un grondement ce fit entendre, la pluie commença à tomber, et je la sentais sur mon visage. Je fermais les yeux et tenter de respirer tant bien que mal.

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