« Puisqu'on a jamais le temps de vivre ... et que tout c'eux qu'on aime partent trop vite. Alors prend ma vie et fait en ce que tu veux. »
Il était trop tard pour la sauver. J'était à peine arrivé à l’hôpital de Forks que je voyais le Chérif Swan avec deux personne d'un certain age. Je passais devant eux en les ignorant. Monsieur Swan me les présenta comme de la famille, les parents de ma mère. L'homme pris la parole, il était mon grand père, certes et alors ? Cela ne lui donner en aucun cas le droit de vie ou de mort sur ma mère ! Mais il fallait croire que la loi était mal faite ! Je me hâter dans les couloir pour aller voir ma mère, suivit de près par le chérif et mes idiot de grand-parents. Elle était étendue, belle mais sans vie, les infirmiers venaient tout juste de la débranchée. J'en était malade ! Il y'a de jours de cela j'avais encore des espoirs pour qu'elle se réveille, mais aujourd'hui plus rien ! Je lancer un regard noir et mauvais envers ses personnes que je détestais déjà ! Ma mère était morte par ma faute avant tout, mais aussi par la leurs ! Je ne me le pardonnerais jamais, mais eux, je leur ferait payer ! Je pris alors mon sac que j'avais laisser tomber par terre, et je partis en courant. Personne ne pus me retenir. Je pris un taxi, il me déposa à l'aéroport le plus proche. Je jeter un oeil dans mon sac, il y avait toujours le porte feuille de ma mère. Elle et moi nous nous ressemblions tellement que je n'aurais pas de difficulté à me faire passer pour elle. Ma mère était une extravagante qui aimer beaucoup paraître le plus jeune possible. J'entrer dans le lieux de départ pour ma nouvelle vie. Une dame derrière son comptoir me demanda où je voulais me rendre. Je lui répondit d'une voix sûre « En Italie, peut-importe l'aéroport de destination, du moment que je part le plus vite possible. » La femme ne me posas aucunes questions. J'entendit derrière moi une voix qui disait « Très bon choix. ». Je n'y prêta pas attention et paya avec la carte bleu de ma mère. Une fois dans l'avion, j'était plus détendue, et je pus enfin pleurer. En effet j'était fragiliser par la mort de ma mère. Je m'endormie assez vite. Lorsque l'appareil se posa en Italie, ce fut encore ce jeune homme qui me parla. « Nous sommes arrivés mademoiselle. » Je pris la parole pour le remercier. « Merci. ». J'était enfin sortie de l'appareil.
J'vais donc enfin mis pied à terre dans mon pays natale. Me remémorant tout les bon et mauvais souvenir que j'avais ici. Une larme coula le long de ma joue, je la chassait vivement et partie à un une borne téléphonique. Heureusement que je parlais encore très bien l'Italien. Je pris le téléphone en main et j'appelait un taxi pour me rendre en Toscane, près de Volterra, dans une ville voisine où ma mère avait garder son petit studio. On me balança à la figure que ce n'était pas une heure pour téléphoner, et que e service n'était pas assurer à une telle heure. Je levais donc la tête vers l'horloge de la ville et mis ma montre à l'heure locale. Tant pis pour ce soir, j'irais dormir à l'hôtel. La jeune homme qui était avec moi dans l'avions me proposa de dormir chez lui, je refusais gentiment son invitation, il parti. Je marchais dans les ruelle et rue éclairé par les lampadaires et la lune, elle n'était pas pleine, mais d'ici quelques jour, elle le serait. Il y avait dans le ciel beaucoup de nuage, et la pluie pouvait tomber d'un moment à un autre. Et moi je cherchait désespérément un hôtel pour m'abritait, et pouvoir dormir le temps d'une nuit. Je trouvais un peu plus loin sur ma route deux jeune alcoolisé comme ce n'était pas permis. Je leur demandais donc de me renseigner. Et il avait chacun leur destination, qui au final ne serait surement pas bonne. Les deux jeune acolytes jouer la comédie, en réalité c'était des vampires, mais sa je ne le savais pas. Ils me suivait jouant les hommes bourrés et gentils. Mais soudain ils prirent la fuite. « Ils sont complètement marteau c'est deux là ... »
Je me retourner alors dans le sens de mon chemin et soudain je me heurté à une personne juste face à moi. aucun de nous deux ne chuta, je me reculer d'un pas histoire de ne plus avoir ma tête contre la personne xD. « Pardonnez moi, j'avais la tête ailleurs. » La personne face à moi était un jeune homme.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Jeu 16 Aoû - 14:26
Alec & Annabella.
Elle s'appelait Annabella Vastoria, et bientôt elle rejoindrait nos rangs. Elle serait une Volturi, une nouvelle-née, créée par mes soins. Aro me l'avait ordonné, et ce soir j'allai exécuter ses ordres. J'aurais du aller à Forks dans la semaine mais l'humaine m'avait largement facilité la tâche en revenant d'elle-même en Italie. D'après nos informateurs, sa mère était morte et elle avait filé à l'aéroport pour revenir dans son pays natal. A cette heure-ci elle ne pouvait pas venir jusqu'à Volterra, ce qui m'obligeait à m'y rendre en voiture. J'y serais allé beaucoup plus vite en courant, malheureusement Annabella ne pourrait pas suivre le rythme avant d'être un vampire. Je regardais le paysage défiler par la vitre de la grosse voiture noire, m'agaçant de la lenteur de ces engins. L'homme qui conduisait me posait sans cesse des questions auxquelles je ne répondais pas, car j'avais des choses plus intéressantes en tête. Et puis tant que je pouvais énerver quelqu'un, c'était toujours bon à prendre. Les gens pouvaient s'énerver, jamais ils n'oseraient s'en prendre à moi : j'en ressentais un sentiment de supériorité suprême, une sorte de jouissance incontrôlable. Quand nous fûmes arrivés à destination, il se gara dans une ruelle sombre et je décidai d'aller chasser avant de retrouver la fille. Je commençai à avoir faim, aussi la mordre dans cet état lui coûterait certainement la vie. Je errai au hasard dans les rues, à la recherche d'un quelconque amuse-gueule. Je finis par tomber sur un vieil alcoolique qui rigolait et criait tout seul, bouteille levée vers le ciel. Son odeur me répugna, mais personne n'était dehors aussi tard et je n'avais guère le choix. Je m'avançai vers lui avec un sourire sadique aux lèvres. Il me demanda ce que je voulais, je lui répondis que j'avais envie de tuer. Il éclata de rire mais devant mon air sérieux, il prit peur. Je n'eus aucun mal à le rattraper et à planter mes crocs dans son bras.
C'est écœuré et repu que je partis à la recherche d'Annabella. Au détour d’une rue, je tombai sur une jolie fille blonde, suivie par deux hommes apparemment bourrés. Mais en y regardant de plus près, il s’agissait de vampires. Ils n’avaient pas l’air méchant mais finiraient bien par la dévorer, or je n’avais pas vraiment envie que quelqu’un massacre la personne que j’étais sensé transformer en vampire. Décidant qu’il était temps de m’interposer, je me plantai devant Annabella qui ne m’avait pas vu venir, regard tourné vers les hommes derrière elle. Quand ces derniers me virent, ils eurent un mouvement de recul et l’air effrayé. Amusé, je leur fis un clin d’œil et ils battirent en retraite. J’avais déjà eu affaire à eux par le passé, et vu dans quel état j’avais mis leur ami cela ne faisait aucun doute qu’ils ne voulaient pas vivre l’expérience eux-mêmes. Je ricanai, quand l’humaine me heurta de plein fouet. Si je n’avais pas été un vampire, le choc m’aurait coupé la respiration. Je baissai ma capuche pour qu’elle voit mon visage. Je lui lançai alors un regard mauvais mais me ravisait : non seulement elle venait de s’excuser, mais en plus je devais en faire une amie et non une ennemie. Je fis brève révérence courtoise et lançai :
« Annabella, je vais devoir te demander de me suivre. »
Je n’attendis pas sa réponse et lui lançai un regard inquisiteur pour lui montrer que je serais capable de la faire taire si elle se mettait à crier. Puis je l’empoignai par le bras suffisamment fort pour qu’elle me suive et comprenne que je n’étais pas tout à fait une personne ordinaire, pas assez pour lui faire franchement mal. Silencieux, je pris le chemin de retour vers la voiture. Je ne savais pas comment lui expliquer la chose. Et comme j’étais incapable de le faire de manière douce et rassurante, j’allais le faire brutalement. Ca lui causerait un choc, mais au moins elle saurait à quoi s’en tenir.
« Tout ce en quoi tu croyais jusqu’à aujourd’hui va s’effondrer. Ta mère vient de mourir. Et ta propre vie va s’arrêter ici. »
Nous nous arrêtâmes, pour que le chauffeur de la famille Volturi n’entende pas notre conversation. Ca ne le regardait pas, même si il était au courant que nous étions des vampires. Le réverbère éclairait mon visage pâle, mes yeux rouges luisaient dangereusement. Mais Annabella n’essayerait pas de s’enfuir, j’en étais certain. Pourquoi ? Parce qu’à part moi, là tout de suite, elle n’avait plus rien.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Jeu 16 Aoû - 16:23
Alec & Annabella
« Annabella, je vais devoir te demander de me suivre. » Je ne voyais pas trop ce que je pouvais dire ou faire. Mais ce qui me choquais le plus c'était surtout son assurance et le fait qu'il connaisse mon prénom. Alors que j'était sur le point de faire un pas en arrière et de lui poser toute sorte de question, il m'empoigna et me traîna derrière lui comme on traîne un boulet. Mais que me voulait-il à la fin ? En même temps je lui devait une fière chandelle, il avait fait fuir d'un simple regard les deux jeunes hommes qui se trouvait derrière nous. J'emboîter le pas sans en avoir le choix, mais que pouvais-je bien faire de plus ? Crier ? A une heure aussi tardive personne ne bougerait le petit doigt pour me venir en aide. Me débattre ? Cela me semblais impossible. Et puis il avait eu ce regard si étrange. La "promenade" ne fut pas longue, car nous arrivions à une voiture dans la quelle il me fit monter sans plus attendre. Le chauffeur savait exactement où il devait nous mené car aucun échange ne ce fut entre les deux hommes. Le chauffeur eu un regard de pitié à mon égard. De là je fut perdue. La peur commencer à s'installer. Mais il ne me rester plus rien. Aucuns amis, pas de famille mise à part des grands-parents que j'haïrais jusqu'à la fin de mes jours certainement. Toutes mes interrogation furent stopper par la prise de parole du jeune homme.
« Tout ce en quoi tu croyais jusqu’à aujourd’hui va s’effondrer. Ta mère vient de mourir. Et ta propre vie va s’arrêter ici. » Alors sa y est, ma vie aller prendre fin, et j'allais rejoindre ma mère ... Tout ce qui ce trouvait sur cette terre ne pouvait plus rien pour moi. J'était condamnée à mourir. Je ne savais pas encore quel sombre dessin la famille Volturi avait pour mon avenir. Je me mordilla la lèvre inférieur. Puis je prs la parole. « Si ma vie va prendre fin, peux tu me dire comment tu sais que je m'appel Annabella, et pourquoi tu veux que je te suive ... Et pour ma mère comment l'as tu sus ? comment te nomme tu ? » Rien de plus et rien de moins. Je pris alors conscience que désormais il ne restait que lui dans ma vie, il en savait tellement que je le prenais en compte dans ma misérable existence. Alors que nous passions dans plusieurs ruelles, les réverbères éclairèrent sont visage. Je vis alors ses yeux rouge, et son visage si pâle. Je ne compris pas de suite ce qui ce passait. La voiture roulait à bonne allure et le chauffeur regarder par son rétroviseur, son regard de compassion et de pitié commencer à m'agacer. Je détourna le visage et je regardais dehors. Je vis alors le panneau de la ville Volterra. Je connaissait cette ville, ma mère m'y avait emmener pour une fête quelconque. J'eu un sourire lorsque je vis la voiture ce stopper dans la cours du château. Je plongeais alors mon regard bleu dans le sien. Je pris une grande inspiration et descendis de la voiture. « Arrêté de me regarder comme ca, vous savez même la mort la plus horrible sera douce à mes yeux. » Dis-je au chauffeur qui commencer à me dégoûter avec son regard, je restait néanmoins calme et polie. Je suivais Alec sans que ce dernier n'ai besoins de me le demander ou de me tenir. Après tout qu'avais-je à perdre dans la mort ? rien du tout.
« Pourquoi vouloir écourtais ma vie dans ce lieu ? » J'était rester silencieuse durant tout le voyage. Je restait figer devant la grande porte. Je ne savais plus quoi faire, si je devais rire ou pleurer, avancer ou reculer, enfin bref, je ne savais plus du tout où j'en étais. J'eu un mouvement de recule, juste un pas en arrière. Mais après tout, à quoi bon fuir. J'entrer donc dans cette immense demeure. Maintenant se serait à Alec de jouer les guide, au allure d'enfant égaré, je pris place à côté du jeune homme, ne le lâchant pas d'une semelle. Ma main effleura la sienne, et à notre contact je sentit que sa peau était glaciale comme le marbre blanc. Je lui lançais un regard interrogateur.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Jeu 16 Aoû - 19:17
Alec & Annabella.
Ses questions m’agaçaient légèrement, mais elles étaient légitimes. Aussi je décidai de prendre sur moi et d’écouter attentivement ce qu’elle avait à dire, avant de réfléchir à une tournure de phrase claire, précise, rapide. D’un côté elle le saurait bien assez tôt, nous passerions voir Aro afin que je lui présente Annabella avant que je la transforme. Il fallait qu’elle connaisse ses supérieurs, ceux à qui elle donnerait son corps et son âme jusqu’à la fin des temps. Je me demandai alors ce qu’en penserait Jane, si je passais plus de temps à m’occuper de cette future nouveau-née plutôt que d’elle. Ma sœur jumelle était naturellement jalouse, c’était adorable. J’adorais ce côté d’elle qui la rendait plus dangereuse encore et, d’un point de vue externe et objectif, terriblement sexy. Je détachai mon regard de la rue et le vers elle, froidement. Je répondis alors :
« Je sais tout sur toi et sur ta vie. Je sais que tu es née le 23 novembre 1994, que tu vivais ici autrefois, que ton père s’est fait tuer par l’ami de ces deux hommes que j’ai fait fuir, que tu as rencontré tes grands-parents maternels hier. Tu n’as aucun secret pour moi, Annabella Vastoria. Quant à moi, je suis Alec Volturi. »
Je me mis à penser avec amusement que j’avais trouvé ma propre Bella. Mais la surnommer ainsi serait inconcevable car elle valait certainement beaucoup mieux que la vraie Bella. Penser à elle m’énerva et mes jointures blanchirent, tellement je serrais fort le pan de ma cape. Nous finîmes le voyage dans le silence, chacun perdu dans ses pensées. De temps à autre je jetai un coup d’œil vers elle, appréciant son apparence de jeune fille courageuse et résolue. Je venais de lui apprendre qu’elle allait mourir et elle restait digne. Je souris même discrètement et de façon brève, en train de me dire que cela ne faisait aucun doute que j’allais l’apprécier. Ce qui lui était arrivé, sa famille … Je détestais les humains. Je les haïssais, toujours plus, chaque jour. Et la famille d’Annabella ne dérogeait pas à la règle. Ils avaient perdu espoir et tué sa mère. Je tendis la main vers ses boucles blondes et fis glisser une mèche entre mes doigts, avant de la relaisser tomber et me tourner vers la fenêtre. Le voyage fut plutôt rapide, bien que je continue de penser qu’en courant nous aurions mis deux fois moins de temps. Lorsque la voiture se gara la demoiselle aboya à la gueule du chauffeur qu’elle n’aimait pas sa façon de la regarder et j’éclatai de rire.
« Une femme de pouvoir. Parfaite pour devenir une Volturi, déclarai-je. »
Je constatai avec soulagement qu’Annabella me suivait sans que je ne le lui demande ou la force. Les lourdes portes de bois s’ouvrir à notre entrée et les gardes s’inclinèrent de façon polie, devant moi. Je les ignorai et sursautai presque au contact de sa main chaude contre la mienne. Je l’enfonçai dans ma poche et regardai devant moi, impassible. Je n’avais pas la moindre envie de répondre à sa dernière question maintenant, alors que je lui expliquerais tout dans peu de temps. Nous avançâmes un moment dans l’immensité de la demeure Volturi. Je croisai Caïus et Marcus, devant lesquels je me courbai largement, avant de leur demander si Aro était toujours dans la grande salle. Je leur présentai rapidement Annabella, sans entrer dans les détails. Ils savaient déjà qui elle était, de toute façon. Les couloirs semblaient interminables et inquiétants, dans la pénombre. Seule la lune filtrant par les petites fenêtres éclairait d’une lueur fantomatique le sol et les murs devant nous. Il y régnait une atmosphère de mort, parfois on entendait un cri, signe qu’un humain venait de se faire dévorer. Et aussitôt flottait dans l’air l’odeur délicieuse du sang. Nous arrivâmes enfin devant la pièce gigantesque et je pris immédiatement le bras d’Annabella.
« Ne parle pas, sauf si Aro te pose une question, la mis-je en garde, n’en dis pas trop, sois claire et concise. Sinon il devra fouiller ta mémoire et tes secrets les plus intimes. »
Aro avait certainement entendu malgré le fait que j’ai chuchoté, mais ce n’était pas très grave au fond. Nous nous approchâmes sans que je la lâche et fis un signe de tête respectueux au chef Volturi. Ce dernier se leva et vint à notre rencontre, nous tournant autour comme un vautour. Puis il posa sa main sur mon épaule, avant de sourire.
« Félicitation Alec, tu l’as ramenée sans difficulté. C’est normal je suppose, un beau garçon comme toi … Quelle femme ne te suivrait pas ? Il lâcha un petit rire, amusé par ses propres blagues. Je ne sus si je devais être vexé ou non, et décidai d’ignorer sa remarque. Annabella, continua-t-il, je suis Aro Volturi. Alec et sa sœur jumelle Jane que tu rencontreras plus tard sont nos gardes royaux, à Caïus, Marcus et moi. Ravi de faire ta connaissance, mais je n’ai pas le temps de parler davantage maintenant. Alec, tu sais ce qu’il te reste à faire. »
J’acquiesçai et l’entraînai hors de la pièce, prenant maintenant le chemin de ma chambre. C’était une pièce sombre et dénuée de décorations. Je n’avais pas d’amis, je ne m’intéressais pas à la musique ou au cinéma, aussi je n’avais ni photos ni posters à accrocher. Il traînait dans un coin quelques livres et parmi eux de très anciens, ouvrages uniques écrits en latin, en grec ou en français. Je fermai la porte derrière elle et allumai des bougies, pour une ambiance plus authentique. C’était presque romantique, vu comme ça. Appuyé contre le mur, je la regardai un instant puis me lançai :
« Les hommes qui te suivaient tout à l’heure n’étaient pas humains, pas plus que leur ami qui a tué ton père, pas plus qu’Aro, Caïus, Marcus, pas plus que moi. Sur cette planète, il existe des humains comme toi, qui ignorent l’existence d’autres races : les loups-garous, les hybrides et les vampires. Nous faisons partie de cette dernière catégorie de population. La peau pâle, les yeux rouge sang, la main glacée … Ce n’est pas pour rien. Et ce soir tu rejoindras notre monde, sur ordre d’Aro. J’ai détruit l’assassin de ton père et on te surveille depuis ce jour-là. »
J’avançai lentement vers elle, m’arrêtant si près que nos corps se touchaient. J’étais à peine plus grand qu’elle, parfait pour mordre. Je dégageai ses cheveux de son cou, avant de déchirer son haut afin d’avoir un espace plus grand. Ma langue caressa sa peau nue avec tendresse et mes bras se refermèrent autour de son corps. J’avais conscience que ce serait une expérience horrible et douloureuse, aussi je tentai de l’apaiser.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Jeu 16 Aoû - 22:09
Annabella A. Vastoria a écrit:
Alec & Annabella
Durant notre trajet Alec, qui c'était désormais présenté, m'avais attraper une mèche de cheveux et l'avais faite glisser entre ses doigt avant de finalement retourné à ses pensés. Je ne savais pas réellement ce qui allait ce passé, mais tant pis. Alec avait une certaine personnalité puisque les garde de la porte lui fuirent une révérence. Puis à la vus de deux homme d'un certain age, ce fut à son tour de faire une petite courbette, ne voulant pas me montrer malpolie, je les saluer aussi en faisant un petite révérence, après tout ca n'allais pas me tuer que de leur témoigner du respect. Des cris ce furent entendre dans les couloir sinistre, à cela Alec n'eu aucune réaction. Je commencer à me demander ce qu'il était vraiment et ce que j'allais bien pouvoir devenir. Je me rapprocher un peu de lui, la situation était quelque peu effrayante et inquiétante. On se stoppa devant une salle aux grandes portes. Alec m'attrapa et me chuchota des consignes à l'oreille. Je dégluti et pris la décision de lui faire confiance en respectant tout ce qu'il m'avait dit de faire et ne pas faire.
« Ne parle pas, sauf si Aro te pose une question, n’en dis pas trop, sois claire et concise. Sinon il devra fouiller ta mémoire et tes secrets les plus intimes. »
Puis finalement on entra dans la pièce. C'était une immense pièce avec des colonne, des banc de marbre et surtout trois siège sur une petite estrade. L'homme que je vis face à moi ne me laissa aucune crainte. Il avait l'air joviale et amusé de ma présence. Il pris soins de ce lever et de venir à nous, nous tournant un peu autour, puis il ce stoppa, un petite rire sortis de ca bouche. J'aurais aimer être si petite à ce moment là pour pouvoir me cacher dans un trou de souris. Mais les chose n'était pas ainsi. L'homme complimenta Alec sur sa beauté. Je me fis toute petite après une petite révérence quand l'homme daigna me regarder.
« Félicitation Alec, tu l’as ramenée sans difficulté. C’est normal je suppose, un beau garçon comme toi … Quelle femme ne te suivrait pas ? Annabella, je suis Aro Volturi. Alec et sa sœur jumelle Jane que tu rencontreras plus tard sont nos gardes royaux, à Caïus, Marcus et moi. Ravi de faire ta connaissance, mais je n’ai pas le temps de parler davantage maintenant. Alec, tu sais ce qu’il te reste à faire. »
Après une brève présentation, Alec me m'extirpas hors de cette pièce. Je pus alors émettre un soupir de soulagements. Je suivait Alec, me tenant à ses côté. J'était pensive sur ce que venais de dire Aro. Alec avait donc une soeur jumelle. Je me demander à quoi elle pouvais bien ressembler, et si elle serait une allié dans ces lieu ou une ennemis. Je secouer très légèrement la tête pour chasser toute mes penser. Je rassembler un peu les pièces du puzzle. Une peau pâle et froide comme la glace, des yeux rouge, une hiérarchie de roi à souverain. Tout sa ressembler un peu au histoire d'horreur que mon cousin me raconter lorsque j'était enfant. Je souris à Alec. Nus pénétrions alors dans sa chambre. Je fut surprise de n'y voir aucune décoration et aucun signe d'attirance à une groupe de musique ou un film. Il y avait juste une pile de livre que j'observais avec curiosité, presque la totalité de ses ouvrage était écris en langue ancienne ou étrangère. Alec refermas la porte derrière moi. Il observa raidement le lieu, puis il pris une allumette et enflamma quelques bougie. L'ambiance était sereine et calme, presque romantique. Je le laisser prendre la parole, et écouter avec beaucoup d'attention toute ses paroles, aussi nombreuses auraient-elles pus être, je ne l'aurais pour rien au monde couper, par respect pour lui.
« Les hommes qui te suivaient tout à l’heure n’étaient pas humains, pas plus que leur ami qui a tué ton père, pas plus qu’Aro, Caïus, Marcus, pas plus que moi. Sur cette planète, il existe des humains comme toi, qui ignorent l’existence d’autres races : les loups-garous, les hybrides et les vampires. Nous faisons partie de cette dernière catégorie de population. La peau pâle, les yeux rouge sang, la main glacée … Ce n’est pas pour rien. Et ce soir tu rejoindras notre monde, sur ordre d’Aro. J’ai détruit l’assassin de ton père et on te surveille depuis ce jour-là. »
Ce fut un choc bien que mes première impression furent les bonnes. Malgré tout je rester calme, l'assassin de mon père avait était anéantis, ma mère était morte, mes grands-parents étaient riens que des lâches à mes yeux, alors je voulais bien devenir ce qu'il voudrais que je soit, du moment que tout ce qui était avant ce moment soit balayer une bonne foi pour toute. Mine de rien je paniquer un peu. Ainsi je m'adossa contre le mur derrière moi, histoire d'encaisser toute ses informations. Alec savais tout sur moi, il me l'avais dit un peu plus tôt. Mon coeur s’accélérât lorsqu'il ce dirigea vers moi. J'était prête, après tout, même si tout ceci n'était que mensonge pour me tuer, je serais ravis d'être morte, et si tout cette histoire était vraie, je serais ravis quand même de pouvoir servir au côtés de ce peuple de la nuit. Il était si prêt de moi que nos corps ce touchaient. Il dégagea mes cheveux tranquillement et déchira le col de mon tee-shirt. Mon corps était alors en libre accès. Je sentis sa langue chatouiller mon cou. Je ferma les yeux pour apprécier se moment, et surtout pour me détendre. Mon coeur repris un rythme normale. Et ma respiration ce fit plus lente. J'était calme.
« Peut importe ce que tu ferra de moi, je suis prête à l'assumer. »
Sa réponse déterminée me fit plaisir. Et il fallait dire qu’appuyée contre ce mur, Annabella était terriblement désirable dans tous les sens du terme. J’eus alors peur de ne pas pouvoir m’arrêter, au moment où je la mordrais. Devais-je appeler quelqu’un d’assez fort pour m’arrêter et assez courageux pour me tenir tête ? Jane peut-être ? Non, je devais y arriver. Annabella était mon nouveau-né, Aro avait confiance en moi, j’y arriverais. Je pris un instant son visage dans mes mains et regardai ses yeux. Bientôt ils seraient rouges, du même rouge que les miens. Bientôt sa peau serait pâle, des crocs pousseraient dans sa bouche. Bientôt, elle serait capable de me repousser et de mettre ma vie en danger si je n’utilisais pas mon don avant. Je détestais les nouveau-nés presque autant que les humains, car ils étaient plus forts au corps à corps. Et le corps à corps, ça me faisait peur. Je n’étais vraiment utile que grâce à mon don, même si je savais me battre. Je sortis de mes pensées, désireux de la réconforter au maximum avant, pour que lors du calvaire qu’elle vivrait d’ici peu, elle sache qu’elle ne serait pas seule. Mais comment ? J’étais nul pour réconforter les gens, je ne le faisais jamais. De toute façon la tristesse d’autrui ne me faisait rien. Mais là c’était différent, pour la première fois de ma vie j’étais responsable de quelqu’un d’autre que Jane.
Avec une lenteur infinie, j’approchai mon visage du sien avant de déposer mes lèvres sur les siennes avec toute la douceur dont j’étais capable. Je n’aurais jamais cru y arriver comme ça, mais j’avais une volonté de fer. Je m’écartai alors et allai ouvrir un tiroir d’où je sortis une poche de sang que je bus d’une traite, avant d’essuyer ma bouche du revers de la main. Je l’avais gardée au cas où j’aurais vraiment faim, mais là c’était un cas d’extrême urgence. Je revins vers elle et pris sa main, avant de l’entraîner sur le lit et l’y allonger. Je m’assis à califourchon sur elle et réfléchis un instant.
« Il faut que tu saches que tu vas énormément souffrir. Et encore, c’est un mot faible. Ca va durer trois jours, les pires de ta vie. Au réveil, tu ne ressentiras plus la douleur. Et pendant ces trois jours je serai à tes côtés, je ne m’en irais que pour aller manger. Ensuite je t’apprendrai tout ce que tu auras à savoir, je ne te lâcherai pas d’une semelle tant que tu ne te contrôleras pas. »
Je déposai mes lèvres dans son cou et murmurai :
« Courage Annabella Vastoria. Sois forte. Je sais que tu y arriveras. »
C’est avec une énorme appréhension que je bloquai ses poignets contre le lit et que je plantai mes crocs dans sa chair. Pour la première fois depuis ma transformation, j’eus l’impression de faire quelque chose de mal. Pour la première fois de ma vie, mordre un humain me répugna au plus haut point. Pour la première fois, je me sentis comme un enfant terrifié. Son sang avait un goût délicieux, malgré tout. Mais non, je devais arrêter. Je laissai le sang d’Annabella couler le long de mon menton et dans mon cou, observant ses réactions. Mon cœur se serra quand une expression de douleur se dessina sur son visage. Peu à peu la jeune fille commença à se tortiller et pousser des gémissements qui devinrent de plus en plus violents. Je ne bougeai pas, retenant ses poignets et son corps grâce au poids du mien. Pendant trois longs jours j’étais dispensé de travail pour supporter des cris, des pleurs, un corps envahit par la souffrance. Finalement c’était pire, du sadisme pur et simple. J’aurais donné n’importe quoi pour me trouver aux côtés d’Aro, dans l’ennui le plus total. N’importe quoi. Dans un mouvement désespéré, je criai :
« Trois jours, trois jours … Ne souffre pas trop, je t’en prie … S’il te plait. »
Comme si ça allait servir à quelque chose. Je ne savais même pas si elle m’entendait. Je décidai de me lever et d’aller m’appuyer contre ma fenêtre pour regarder dehors. La nuit était calme, il n’y avait pas un bruit. De temps à autre, une voiture venait troubler la quiétude nocturne. Pas un bruit ? Pas tout à fait. Le moindre bruit que faisait Annabella résonnait dans mon esprit comme un feu d’artifice, comme une explosion. C’était intenable, insupportable.
Alec avait porter ses lèvre au mienne, jamais je ne m'étais sentis aussi bien qu'a ce moment là. Pour une fois dans ma vie je me sentais en sécurité. Je ne savais pas encore la face cacher de la transformation, mais de toute manière il était trop tard pour faire demi tour, et puis je ne voulais pas faire demis tour, pas maintenant. Quand bien même après tout cela je mourais, je serait heureuse d'avoir vécu une si belle soirée. Et puis quelque part, ma mère et mon père seront réunis, et sa, sa me réconfortais. Mais c'était surtout grâce à Alec que j'avais eu cette pensé positive. Le jeune vampire alla à un tiroir de sa commode, il l'ouvrit et sortis une poche de sang, le tiroir fit refermé avec hâte. Quant à la poche de sang, il n'eu pas besoins de dix seconde pour la vider entièrement et la jeter sur le sol de sa chambre. J'était en confiance avec lui. Puis il revint vers moi et essuya sa bouche pleine de sang avec le revers de sa main. Il pris alors ma main et m'emmena calmement à son lit. Je restait alors assise sur ce dernier pendant quelque seconde, puis je m'allongea, le laissant ce positionner à califourchon sur moi. Je sentais mon coeur accélérait dans ma poitrine. Ce n'était pas de l'amour, quoi que peut-être un peu, mais en faite tout ce bousculer dans ma tête. Puis Alec pris la parole.
« Il faut que tu saches que tu vas énormément souffrir. Et encore, c’est un mot faible. Ca va durer trois jours, les pires de ta vie. Au réveil, tu ne ressentiras plus la douleur. Et pendant ces trois jours je serai à tes côtés, je ne m’en irais que pour aller manger. Ensuite je t’apprendrai tout ce que tu auras à savoir, je ne te lâcherai pas d’une semelle tant que tu ne te contrôleras pas. »
Je ne voulais plus parler, non pas parce que j'avais peur, mais bel et bien car je respecter beaucoup Alec. Il approcha ses lèvres de mon cou et me murmura une phrase magnifique, certes ce n'était presque rien, mais sa me donner envie de réussir et d'être forte pour lui, pour le courage dont il faisait preuve de prendre une inconnue sous son aile comme moi. De plus je n'était pas dans ma meilleure de forme morale à cause du décès de ma mère, mais il était si rassurant, que j'en oublier le passé et les évènement douloureux.
« Courage Annabella Vastoria. Sois forte. Je sais que tu y arriveras. »
Je lui répondit alors
« Je le serais, pour toi. »
Il bloqua mes poings sur le lit. Et c'est alors que je senti ses lèvre ce posé sur moi, elles étaient si froide, et puis soudain, c'est ma peau qui se perfora comme du petit beurre. Après cela, je ne ressenti plus rien. Puis vient une profonde douleur. Cette douleur était assez faible mais elle aller en grandissant ! Bientôt je ne fut capable que de crier et de me tordre dans tout les sens. Alec était pourtant rester sur moi à me tenir. Mais tout cela était bien assez dure pour lui. Il se recula d'un seul coup, me laissant à ma douleur horrible qui devait pour ca part être horrible à supporter. Bien que je ne fit pas en mesure de lui répondre, j’entendis sa phrase.
« Trois jours, trois jours … Ne souffre pas trop, je t’en prie … S’il te plait. »
La douleur était si forte, et elle durerait trois jours. Au moins j'avais été prévenue. Bien que impuissante, je tentais de ma canaliser, mais hélas ce fut en vint, en effet je ne parveint pas à calmer ma douleur. Et pour contraster l'enfer que je vivais, le ciel nous offrais une nuit étoilé aussi radieuse que le paradis lui même. J'était livrée dans une lutte acharnais contre moi même, criant et me tordant de douleur. Ce fut ainsi pendant trois jours. la veille du troisième jour les cris était déjà moins fréquent, mais la douleur était toujours autant présente. Mon clavaire prendrais fin dans quelques heures. Le venins s'attaquer alors au dernier organe encore en "vie" et le coeur allait être le dernier sur sa lite, c'est dans les dernière heures que ma douleur serait réellement insupportable. Et on en approchait assez vite.
Le seul moyen que j’avais trouvé pour supporter ce calvaire, c’était de créer une bulle autour de moi et de m’enfer dedans. J’avais de temps à autre des visites, je m’éclipsais rapidement pour me nourrir … mais je n’en pouvais plus. C’était de loin les trois jours les plus longtemps de ma vie. Je me blottis longuement contre Jane, ayant soudain l’envie d’être protégé plutôt que de protéger. Ca arrivait à tout le monde d’avoir ses moments de faiblesse et ça n’était jamais arrivé en prêt de 400 ans, alors j’étais fort heureusement tout pardonné. Je passais quand même la plupart du temps à son chevet, afin de m’assurer qu’elle ne se morde pas la langue, qu’elle ne tombe pas du lit ou, dans le cas où elle se réveillerait plus tôt, ne se retrouve pas seule. J’osais espérer qu’elle ait l’intelligence de m’attendre sagement dans la chambre si ça arrivait à un moment où je n’étais pas là, mais les nouveau-nés étaient généralement peu enclins à obéir. J’étais égoïste de ne penser qu’à moi, alors que je voyais Annabella se tordre et hurler devant moi. Maintes fois j’aurais aimé lui tordre le cou, la brûler, mettre fin à ses souffrances. Mais quelque chose me disait que je me sentirais moins seul, avec la demoiselle à mes côtés.
Chaque jour cela recommença, las et mentalement épuisé j’étais mollement appuyé contre le mur de la chambre. Où était passée la fierté et la fougue d’Alec Volturi, ça je n’en avais aucune idée. Si un Cullen ou un loup-garou m’avait vu comme ça, j’aurais perdu toute crédibilité. Je me tournai, me retournai comme un lion en cage, parfois obligé de l’immobiliser quand ses crises devenaient trop violentes. Et le troisième jour finit par arriver. Ses hurlements étaient de moins en moins fréquents et redevaient petit à petit de simples gémissements de douleur. Le cœur, voilà ce qui était en train de se transformer. La dernière étape du processus. Psychologiquement, ça devait être difficile pour elle. Car sa vie d’humaine disparaitrait pour toujours, quelques heures plus tard. J’avais constaté au fil des heures qu’Annabella qui était déjà sublime au départ était encore plus belle. Je trouvais qu’elle ressemblait un peu à la reine Athenodora, par son style classe et majestueux. Bien sûr il ne fallait pas entrer dans les détails, c’était juste un ensemble. Sa peau n’avait plus aucun défaut et avait pâli, ses cheveux s’étaient épaissis et avaient un peu poussé, ses traits s’étaient affinés ainsi que son corps. Ma nouvelle-née serait normalement réussie et je pourrais en être fier. Fier et soulagé d’avoir réussi, mais aussi de ne plus avoir à supporter ses lamentations. Finalement, je ne savais pas si une transformation était pire pour la personne qui la subissait ou celle qui devait s’en occuper.
Quand enfin Annabella ouvrit les yeux, je soupirai et m’avançai d’un pas prudent vers elle. Ses yeux étaient effectivement d’un rouge sang flamboyant et elle était encore plus belle que ce qu’avais déjà pu observer lorsqu’elle avait mal. Son expression montrait une jeune fille plus sereine, quoi qu’un peu perdue ce qui était tout à fait normal. Je m’agenouillai devant le lit en le regardant, avant d’avancer tout doucement ma main pour la poser sur son genou. Je mentirais en disant que je n’avais pas peur. Leurs réactions étaient si imprévisibles que j’appréhendais chaque geste que je faisais. Je murmurai d’une voix témoignant de mon épuisement :
« Je suis fier de toi. »
Je me relevai toujours aussi lentement, m’éloignant sans lui tourner le dos. Je pris une poche de sang que j’étais allé chercher en prévision de ce moment. Je la tendis à Annabella pour qu’elle étanche sa soif, avant de lui faire visiter le château et notamment les cachots où elle trouverait les « réserves de nourriture », lui apprendre à chasser et tuer correctement … Nous aurions peut-être besoin de parler un peu avant, histoire qu’elle s’habitue à sa nouvelle condition. Je désignai d’un signe de tête le miroir accroché plus loin, sur le mur.
« Si tu veux constater par toi-même à quel point tu es ravissante. »
Il faudrait que l’on passe voir Aro, pour lui annoncer que la transformation était terminée, que la famille Volturi contenait un membre de plus. Je me demandai alors s’il ferait de cette jolie blonde sa maîtresse, parmi tant d’autres. Le vampire tenait une réputation d’homme à femmes, au détriment de cette pauvre Sulpicia qui ne pouvait rien faire et rien dire. Je la plaignais et compatissait à son malheur. Mais en fait, je n’en avais rien à faire. Elle n’avait qu’à se rebeller, après tout. Si elle ne le faisait pas, c’est qu’elle s’en moquait non ? Je rejoins Annabella devant le miroir et m’arrêtai juste avant de toucher son dos, observant son reflet dans la glace avec un sourire. Dieu que j’étais fier.
« Comment tu te sens ? . m’enquis-je, allègre»
Je pris sa main et déposai un baiser dessus. Il fallait qu’elle se sente en sécurité pour ne pas avoir de gestes trop brusques à mon égard ou qu’elle panique et ne s’en prenne à moi. Je m’éloignai quand même de quelques pas, sans montrer mon trouble.
Le coeur, je penses que ce fut le moment de souffrance le plus élevé et le moins bruyant, mais surtout rapide. Pourquoi rapide ? Car mon corps était épuisé et les rare défense immunitaire qui étaient présente dans mon corps j'eurent pas le temps de jouer leur rôle. Quad le calvaire fut enfin terminé, j'ouvris les yeux, voyant alors Alec prêt de moi, j'eu un sourire sur mes lèvres. Ce jeune homme avait du subir les pire horreur audible de sa vie. Mais comment lui en vouloir. Je m'assis alors sur le lit, seulement je n'était pas encore conscience de ma vitesse et de ma force actuelle. Pour m’asseoir je n'avais pas mis autant de temps qu'il n'en faut pour un humain. J'était légèrement perturbée par ce nouveau changement que je savait irréversible. Alors au final i lavait bien dit vraie. Lorsqu'il posa sa main sur mon genoux je constater alors que nous étions tout les deux aussi froid l'un que l'autre, ce qui me fit sourire. J'était heureuse d'être ce que j'était devenue. Il était temps pour moi de faire une croix sur mon passé. Mais mon premier repas serait certainement mes grands-parents histoire de n'avoir plus aucune famille humaine.
Soudain, ce fut un sensation désagréable qui envahi ma gorge, j'avais visiblement faim ! Mais je ne savais pas trop ce que je devait faire dans cette situation. Mais heureusement Alec avait tout prévue. il se releva et alla à son même tiroir qu'avant la morsure, il en sortie une fois de plus une poche de sang qu'il me donna. Je la pris dans mes mains, mais je ne savais pas trop quoi faire. Mais je fut très vite attirer par l'odeur du sang. Il n'y avais pas de mot assez fort pour exprimer une telle envie. C'était comme si j'était en manque. J'ouvris la poche et la bus entièrement. Ca apaisa très peu ma soif, mais suffisamment pour pouvoir parler. Je me rappeler alors ce qu'avait dit Alec quand j'avais ouvert les yeux.
« Je suis fier de toi. »
Il s'éloigna avec prudence de moi. Et son regard ce porta sur le miroir qui trôner dans la chambre comme une décoration. Je me levais donc du lit, et je me rendis au miroir dans une vitesse qui me fit moi même peur. Je pris soin de voir si je n'avais rien percuté ou fait tomber avec une pareil vitesse.
« Si tu veux constater par toi-même à quel point tu es ravissante. »
Je lisais facilement sur le visage d'Alec de la fatigue, de la faim et surtout de la fierté ! Et sa, sa me touché beaucoup car jamais personne n'avait été fière de moi jusqu'à aujourd'hui. Je me plantais alors devant le miroir et j'observé avec attention mon reflet. C'était vraie que la transformation était magnifique, mais quand même. Je pris le soins de me recoiffé un peu, après tout trois jours à se tortiller dans tout les sens, sa décoiffe. Je pus constater alors que mes cheveux avaient pousser de peu, mais avait poussaient et surtout qu'ils étaient plus épais. Je lançais alors un regard amusé vers Alec, lui se soucia de mon bien être.
« Comment tu te sens ? . »
Il pris ma main et y déposa un baiser. Je me sentais vraiment bien et surtout en sécurité à ses côté. Mais seulement il y avait encore cette sensation étrange dans ma gorge, et toute ses odeur qui suivait les hurlement dans le château. J'étais assez agacer par les odeur qui m'enivré de plaisir au simple fait des les sentir. Je détaché mon regard du miroir et plongea mes yeux rouge sang dans c'eux d'Alec, puis je lui répondit.
« Je me sens bien, mais j'ai cette sensation si forte, et toute ses odeurs. C'est assez déroutant. »
Je pris la décision de me rendre vers Alec, il semblait être craintif de chacune de mes réaction. Seulement je ne li voulais aucun mal. Je sentis alors une odeur excise. J'était alors comme une enfant devant qui on fait passer du chocolat, j'en voulais ! Me laissant alors guidé par mon odorat, je me rendit devant une salle, je ne savais pas si c'était une chambre ou une pièce commune, où alors un lieu où il était interdit d'entrer. J'attendait alors sagement qu'Alec arrive à mes côté. J'était fixe devant la porte, mes yeux était fixe sur cette porte en bois. Je voulais y goûter moi aussi à ce sang à l'odeur si alléchante. Si Alec ne me défendais pas d'y entrer j'enfoncerais la porte d'ici dix seconde.
« Cette sensation Alec, elle me poursuivra pour le restant de mes jours ? »
Je jeter mon regard dans le sien et attendait alors sa réponse.
J’allais lui répondre lorsqu’Annabella s’approcha de moi. Je me figeai, même si son sourire laissait penser qu’elle ne me voulait aucun mal : ce qui était le cas. Elle s’élança dans les couloirs plus vite qu’elle ne devait s’en rendre compte et je l’y suivis, pour m’assurer que personne ne croise sa route et tente d’établir le contact, lui demande son identité ou … Non, ce n’était pas le moment. Je connaissais trop bien ce moment où, juste après la naissance, la faim ne vous lâche plus. Où tout en vous, vous hurler de vous abreuver. Annabella s’arrêta juste devant une porte et je pris sa main pour l’empêcher d’entrer.
« L’attrait du sang tu veux dire ? En effet. Mais si tu parles de la faim énorme que tu dois ressentir, elle te hantera les premiers temps et s’atténuera, commençai-je doucement, viens ne restons pas là, c’est la chambre de ma sœur ici et elle doit être en train de se nourrir. Je t’emmène au cachot, que tu puisses commencer à te faire une idée sur ton type de sang favori … »
La faire attendre était horrible dans son état, aussi je l’entraînai par la main à toute vitesse. Nous faillîmes bousculer bon nombre de personnes au passage, des humains idiots qui ne nous voyaient pas arriver et se mettaient devant nous dans un mouvement de panique plutôt que de s’écraser contre le mur. Nous descendîmes les trois étages, l’atmosphère changea radicalement. L’endroit était sombre, humide, puait le sang séché, le vomi, l’urine. Les bruits, l’odeur, tout y était désagréable. J’ordonnai à un garde d’ouvrir une cellule dans laquelle était captive une famille : un homme, sa femme et deux enfants de sexe masculin et féminin. Nous réservions toujours une famille de ce genre pour les nouveau-nés, car ils représentaient tous les types de sang à eux seuls et ainsi le vampire pouvait apprendre à apprécier différents genre. Je refermai la porte derrière moi. M’enfermer avec elle dans ce cachot était la chose la plus dangereuse à faire mais je l’avais dit, je ne la laisserais pas tomber.
« Le sang des hommes a un goût fort, il est très nourrissant. Celui des femmes est plus doux et ô combien sensuel et enivrant, expliquai-je avec sérieux, Enfin peut-être que je dis ça parce que je suis un homme. Quant aux enfants … C’est la pureté et l’innocence même qu’on perçoit. »
Je lui demandai alors de ne pas trop se focaliser sur le fait qu’ils étaient humains, car à partir d’aujourd’hui ils devenaient ses ennemis, de simples jouets. Il y aurait toujours des exceptions, des humains à qui elle pourrait s’attacher. Mais pas ceux enfermés aux cachots. Puis je me terrai dans un coin, attendant qu’elle goutte ce qu’elle voulait. Les gémissements de peur s’atténuèrent et ils finirent par se taire complètement, horrifiés par la vue des membres de leur famille se faire vider de leur sang devant leurs yeux. Moi ce que je voyais me plaisait, Annabella était forte et vigoureuse et avait bon appétit. Pourtant il faudrait la sevrer peu à peu, afin qu’elle boive des quantités moins importantes. L’idée même de refuser quelque chose à cette fille me serra le cœur. C’était ma nouvelle-née … Je fus alors rempli pour la énième fois d’une grande fierté, et j’eus l’envie de la présenter à Jane. Mais au fond, je ne savais pas si c’était une bonne idée car elle était terriblement jalouse, et j’allai passer tous les jours prochains aux côtés d’Anna et non des siens. Prochaine étape ? Aller voir Aro. Quand elle eut terminé, je l’emmenai nettoyer le sang qui collait son visage et ses cheveux. C’était normal au début de s’y prendre mal pour mordre, car l’instinct plutôt que la technique prenait le dessus.
« Est-ce que tu te sens prête à aller voir Aro ? Il ne sera sûrement pas seul, Caïus, Marcus et Jane doivent être avec lui maintenant. On peut attendre si tu veux, mais plus vite ce sera fait mieux ce sera. Tu fais partie de la famille maintenant. Annabella Volturi. »
Ma main se posa sur sa joue et j’observai attentivement chaque détail de son visage et son corps, caressai ses cheveux, tournai autour d’elle. Ensuite je lui ferais visiter le château puis essaierait de lui trouver une cape digne de ce nom. Peut-être qu’Athenodora ou Sulpicia en avaient une vieille, en attendant que je lui en achète une nouvelle. Jane était trop petite, ça n’irait jamais à la demoiselle. Je fis une révérence devant elle pour lui intimer d’avancer et la suivis avec un sourire, jusqu’à la grande salle.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Ven 17 Aoû - 10:32
Alec & Annabella
Nous nous tenions face à la chambre de sa soeur, Jane. Il attrapa ma main et m’entraîna à deux pas de ce lieu. Question sang, s soeur avait bon gout, du moins c'est ce que l'odeur en témoigner. Je ne comprenais pas réellement ce qui m'arrivais, mais cela ne me déranger pas plus que ca. Alec avait l'air un peu soucieux de savoir si je lui ferait du mal ou non, mais il était si précieux à mes yeux, si important. Il était l'homme qui avait changé ma vie, qui m'avait extirper de ma tristesse et de ma déprime pour faire de moi une personne forte, et surtout utile à une communauté, à une famille pour là quelle j'était désormais un membre. Je ne me risquerais donc pas à lui faire la moindre écorchure. Je pris la main d'Alec et le suivit. Il se stoppa à dix mètre de la chambre de sa soeur. J'avais une certaine hâte à la rencontré, même si je ne savais pas du tout à quoi il fallait que je m'attende. Alec pris la parole et comme à chaque fois, j'écouter sans rien dire.
« L’attrait du sang tu veux dire ? En effet. Mais si tu parles de la faim énorme que tu dois ressentir, elle te hantera les premiers temps et s’atténuera, viens ne restons pas là, c’est la chambre de ma sœur ici et elle doit être en train de se nourrir. Je t’emmène au cachot, que tu puisses commencer à te faire une idée sur ton type de sang favori … »
On pris alors le chemin pour les cachot, et par moment notre vitesse, laisser les humain sur le cul, c'était le cas de le dire, c'est personne au service de la famille Volturi, bien que conscient de leur nature ce laissé souvent surprendre par leur vitesse. Ainsi nous avions presque bousculer plusieurs personnes. Heureusement si notre vitesse était impressionnante, nos réflexes l'était encore plus. Il y avait trois étages à descendre, puis nous y étions enfin arrivé. Lorsque la porte des cachots s'ouvris j'eu un mouvement de recule, l'odeur était horrible, on sentait bien plus l'odeur de vomi et d'urine que de sang. J'eu du mal à m'y faire, mais j'avais tellement soif. J'entrer d'un pas décider dans les cachots, et la porte fut refermé derrière moi. Alec avait du m'attendre, mais l'odeur devait lui aussi le dérangeait, bien qu'il devait en avoir l'habitude. L'air était humide, il faisait sombre, l'odeur était affreuse, et pour couronné le tout les gens était affolé de nous voir. Alec nous fit enfermé dans une cellule avec une famille type, la femme, le mari, la fille et le fils.
« Ne touché pas à ma famille ! laisser nous partir. » Supplia l'homme.
Bien entendue je ne l'écouter pas. Mon regard ce porta alors sur les deux jeune enfants. Je m'attendris soudainement, et fit un pas de recule, mais l'homme continua de ce lamentait, ce qui me fit complètement sortir de mes gong, je me dirigea sur lui sans qu'il ne puisse me voir venir. Je le soulever alors de terre et lui demanda de la fermer ! Et surtout de mourir en silence. Je plantais alors mes crocs dans sa gorges, et sans même lui laisser la moindre chance de dire adieux à sa famille, je le vider de son sang, un sang dont le gout était fort, comme m'en avait prévenue Alec. Puis sa femme eu le droit à un sort un peu différent. Je m'approchais d'elle et la rassura, puis je plantais mes crocs dans son poignet. la vidant de son sang. Je ne laissa pas son corps tomber comme une masse, j'eu le mouvement de l'accompagner et de le déposé au sol délicatement, puis je fermais ses yeux. Pour le mari c'était autrement, il était tomber comme une masse sur le sol et je me fichait bien d'avoir du respect pour son corps. Les enfant était terrorisés. Je fit un pas vers eux. Puis des souvenir prirent place dans ma tête. Je me souvenais que mon père était mort de la même manière et que ma mère était morte. Dans un élan de colère je pris le petit garçon par le bras et le souleva de terre. Mais c'était au dessus de mes force de lui enlever la vie, il était bien trop jeune. Je le posait face à moi, et fit venir sa soeur à ses côté.
« Soyez sage les enfants et profité du peu de temps qu'il vous reste. »
Je me tourné alors vers Alec, j'était satisfaite de mon repas. Je voulais juste que aucuns mal ne soit fait aux enfants, mais si ce n'était pas moi, se serais un autre vampire qui leur enlèverais la vie en les vidant égoïstement de leur liquide vitale. J'eu un regard tendre envers eux avant de sortir. Alec pus vite comprendre que je me souciais de l'avenir de ses enfants. Une fois que nous fumes sortis des cachot, j'eu l'impression de revivre ! L'odeur fut de suite plus agréable. La luminosité était de nouveau présente. J'eu un sourire sur les lèvres lorsque Alec m'emmena me nettoyer. Il était vraie que j'avais charcuter l'homme, mais j'avais était plus douce et délicate avec la femme. Je me passer donc de l'eau sur le visage, et rincer mes cheveux, dont les pointes avaient tremper dans le sang. Une fois propre, je sentis la main d'Alec sur mon visage. C'était agréable d'avoir la même température de corps que lui. Je lui fit un sourire amicale. Puis il pris la paroles.
« Est-ce que tu te sens prête à aller voir Aro ? Il ne sera sûrement pas seul, Caïus, Marcus et Jane doivent être avec lui maintenant. On peut attendre si tu veux, mais plus vite ce sera fait mieux ce sera. Tu fais partie de la famille maintenant. Annabella Volturi. »
« Oui je me sens prête, allons y comme ca se serra chose faite. »
Je le suivit à travers le château avec une allure rapide. Une fois devant les grandes portes, je lui lançais un regard. Je savais très bien que je devais m'incliner et faire une révérence une fois dans la salle pour montrer mon respect à ses personnes. Je laisser désormais Alec prendre les choses en mains.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Ven 17 Aoû - 12:43
Alec & Annabella
J’acquiesçai, trouvant Annabella courageuse. Quoi que de toute manière, elle n’avait pas vraiment le choix. Elle serait forcément confrontée aux Volturi à un moment ou à un autre. Mais si elle voulait véritablement faire partie de la famille et non être un vase que l’on pose dans un coin pour l’admirer les premiers temps et l’oublier par la suite, il fallait qu’elle fasse bonne impression et attire particulièrement l’attention, sans pour autant paraître impolie et grande-gueule. J’avais confiance en cette fille, elle leur plairait. C’était Jane qui me faisait le plus de souci. J’avançai silencieux et déterminé, bien que j’appréhende énormément. Ces quatre derniers jours auprès d’Annabella m’avaient transformé en papa poule terrifié à l’idée qu’il arrive quelque chose à son bébé, c’était frustrant et énervant de ressentir ça. Depuis quelques temps je me trouvais changé et ça ne me plaisait guère, comme adouci. Je jouais et draguais un loup-garou, protégeais une humaine, prenait dans mes bras une Volturi que je venais de rencontrer, embrassais Annabella et m’en occupais jour et nuit … Qu’est-ce qui clochait avec moi ? Je faisais n’importe quoi et il fallait très vite que ça change. C’est préoccupé que nous entrâmes dans la salle.
Comme je m’y attendais, les trois grands fondateurs étaient assis dans leur trône, au fond de la pièce. Jane était debout aux côtés de Caïus, visage fermé et rivé vers nous. Ça me faisait tellement bien de la voir que je me serais volontiers jeté dans ses bras. Mais je la quittai bien vite des yeux pour m’intéresser à Aro. Je me courbai légèrement.
« La transformation est terminée, je l’ai emmenée se nourrir aux cachots. C’est confirmé, elle ne sera pas végétarienne. Je dois encore lui trouver de quoi cacher son visage et l’emmener chasser et ma mission sera remplie. Aro s’avança vers nous comme il l’avait fait trois jours plus tôt et pris le visage d’Annabella plutôt violemment dans sa main, levant son visage vers lui. Puis il attrapa sa main et s’insinua dans son esprit. Je fronçai les sourcils, ayant envie de gronder, mais je me ravisai. J’en profitai pour jeter un coup d’œil à Jane dont le regard imperturbable n’avait pas changé. Pourtant elle détourna les yeux et je reportai mon attention sur Annabella. - Bien, très bien … Attendons de voir si un don se développe particulièrement. Chère Annabella, bienvenue parmi nous. J’espère que tu ne nous décevras pas. Je pense qu’Alec t’a assez expliqué ce qui arrive aux traitres et à ceux que nous n’aimons pas. N’est-ce pas Alec ?»
Je hochai la tête. Mensonge. Mais la jeune femme avait bien compris toute seule qu’ici nous étions loin du château de conte de fée. Tout à Volterra n’était que mort, torture, sang. Et c’est ce monde-là qu’elle avait rejoint. Fini le rêve, le prince charmant et le beau cheval blanc. Je fis un pas en direction de Jane mais c’est elle qui s’approcha de moi. J’ouvris la bouche pour parler mais la refermai. Quant à elle, elle tint un instant le pan de ma cape, observant la nouvelle née avec attention. Puis elle s’éloigna et je soupirai, avant de reprendre un air impassible. Nous prîmes congés et je me mis à la recherche d’un vêtement. Une domestique nos apporta une cape neuve qui avait été achetée pour elle, sur demande d’Aro. Je souris à Annabella en lui mettant sur les épaules avant de rabattre la capuche sur sa tête. Elle était vraiment belle avec ça, parfaite. Jane vint à notre rencontre et me demanda si je voulais manger. Je répondis d’un air désolé que j’emmenais la nouvelle-née chasser et elle me foudroya du regard, avant de prendre le chemin des cachots. Cette fille me manquait. Je la regardai s’éloigner de sa démarche de princesse des ténèbres, avant de proposer à la demoiselle de sortir. Il était plutôt tard, le soleil était presque couché. A cette heure-ci, nous n’attirerions pas trop l’attention. Les gardes nous laissèrent passer, nous traversâmes la cour puis une nouvelle porte, avant de nous retrouver dans la rue.
Je saisis la main d'Annabella plutôt brusquement, avant qu'elle ne s'élance sur quelqu'un. A ce stade de la transformation, le vampire se contrôlait peu et pouvait se jeter à tout instant sur un humain, même si la faim n'était pas la première de ses priorités. Si cela devait arriver, j'aimais autant que ce soit dans une ruelle où personne ne passait. Je l'entraînai vers le quartier ouest, où les rues n'étaient éclairées que par la lumière des réverbères écartés les uns des autres. Je lui désignai du doigts deux humains, un couple.
« Regarde comment je m’y prends, et fais pareil avec l’autre, lui ordonnai-je d’une voix douce mais autoritaire. »
Je m’approchai d’un pas lent et assuré avant de me planter devant eux. Leurs doigts s’entrelacèrent aussitôt, dans un mouvement de surprise. Je poussai un ricanement terrifiant, avançant vers eux avec une lenteur infinie pour leur faire peur. Celle-ci se lisait dans leurs yeux agrandis et leur bouche tremblante. Leur visage avait pâli. Je tendis alors la main vers la femme et l’empoignai avec force, avant de l’attirer vers moi. L’homme protesta et tenta de la ramener à lui, mais je lui tordis le poignet et il abandonna. Horrifié, il me regarda prendre sa compagne dans mes bras, dégager ses cheveux et planter mes crocs dans son cou avec douceur. Je respectais davantage les femmes que les autres, pour une raison qui m’était inconnue. Elle se débattit un moment puis cessa toute lutte. Je tournai mon visage vers Annabella, lui intimant l’ordre de s’attaquer à l’homme.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Ven 17 Aoû - 14:33
Alec & Annabella
J'entrais dans la salle. Je vis alors une petite femme blonde et trois homme. Je fit une révérence. La jeune femme était donc la soeur d'Alec. Je l'observait que peu de temps et plongeait finalement mon regard dans celui de l'homme qui venait de ce lever, Aro. Il avança jusqu'à nous comme il le fit au premier soir de mon arrivé ici. Lorsqu'il posa ses main sur ma tête, je restais courageuse. Je ne bougeais donc pas d'un millimètres. Je comptais bien les rendre fière de moi. Il était à mes yeux hors de question que je déçoive ma famille. Et sa sa pouvais ce lire sur mon expression du visage. Je comptais être opérationnel le plus vite possible. soudain Alec prononça le mot végétarienne. Non mais c'état quoi encore ce délire ? Je ne fit pas un seul signe lorsque Alec répondit qu'il m'avait tout dit sur le sort réserver au traites. Je ne voulais pas qu'ils sachent que le jeune homme leur mentait. Ainsi la jeune femme blonde s'approcha de son frère pour nous observer. Au final nous étions enfin sortis de la grande salle. Je me tenais au près d'Alec quand soudain la petite blondinette fit son apparition. Elle demanda à Alec si il voulait manger avec elle, mais à sa réponse, la jeune femme me lança un regard froid. J'en eu presque peur. Mais il était hors de question que je m'abaisse face à elle, je refuser d'être sa souris pendant qu'elle serait un matou mal lécher.
Un domestique arriva cape en main. Il nous fit une révérence, ne voyant pas Alec faire de même, je m'abstenais de lui en faire une. L'homme donna la cape à Alec, une neuve de préférence. Mon petit héro me la mise sur les épaules et rabattis la capuche sur ma tête. J'eu un petit rire, puis un sourire tendre et délicat se dessina sur mes lèvres. Le domestique ajouta que c'était un cadeau du grand maître Aro pour ma bienvenue. Je fit alors un sourire, malgré tout, il était un homme bon et juste. Je vis qu'Alec s'était éloigné, toute heureuse je le rejoignit aussitôt.
Nous prenions donc la direction de la sortie. Les gardes n'étaient pas très bavard, d'un ennuis mortel. Étaient-ils humains ? Une simple inspiration discrète me donna la réponse, ils étaient tout deux humains. Je sortis avec Alec sans me retourner vers eux. Puis une fois dehors, ce fut catastrophique ! Mon esprit ne savait plus où donner de la tête. J'était tiraillé de tout les côté par des odeur plus alléchante les une que les autres. Je voulais bien partir à leur poursuite, mais au même moment je fus retenus par Alec qui me tenais la main assez fermement. Il nous emmena dans une ruelle peu éclairé et surtout déserte. Il me lâcha la main et pris la parole.
« Regarde comment je m’y prends, et fais pareil avec l’autre. »
Obéissante, j'attendais de voir la scène qui allait suivre. Alec pris position face au jeune couple ignorant. Puis il empoigna la jeune femme et la porta à lui. Une fois qu'elle fut dans ses bras, l'homme eu un mouvement de colère envers Alec ce qui eu le don de m'énervé prodigieusement, mais malgré ses effort l'homme se retrouva avec un poignet tordu. J'eu alors un sourire narquois sur mes lèvres, il l'avais bien mérité. Alec déposa ses crocs sur la chaire de la jeune femme et il perça doucement sa peau. Alors qu'elle commencer à ce vider de son sang, elle tenta vainement de ce débattre. Elle stoppa très vite, et fut finalement morte dans les bras d'Alec, je ressentit une petite angoisse à ce moment là, et si je n'arrivais pas à me contrôler ? Alec me fit un signe, et je venais vers l'homme. Il était frapper par la tristesse et la colère. Dans un bon il se releva et voulu s'en prendre à Alec. son point parté droit dans la figure de ce dernier. C'est donc avec une vitesse prodigieuse que je me mise devant et qu'avec une seule main je stopper son poing. Serrant alors sa main, j'entendis ses os craquer. Je me mise alors derrière lui en lui faisant une clé de bras, puis je l'attrapais par les cheveux et lui pencha légèrement le cou sur le côté. Avec plus de soins que mon dernier repas, je plantais doucement mes crocs dans sa chère et en bus le sang. Cette fois il y avait juste eu une goutte de sang qui avait couler le long de mon mentons, je la chasser vivement et lâcher l'homme à terre.
« Est-ce que j'ai été à la hauteur de tes attente ? »
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Ven 17 Aoû - 15:16
Alec & Annabella
Alors que je levai la main pour stopper net le poing de l’homme, Annabella s’interposa et lui brisa les os. Je me mordis la lèvre, ses réflexes étaient parfaits. J’étais tellement content que ça dépassait l’entendement. Et sa façon de mordre si sensuelle et précise … Elle ferait un vampire redoutable, j’en étais à présent certain. Il valait mieux être dans son camp, que contre elle. J’espérais du fond du cœur qu’elle ne se retourna jamais contre moi, tandis que je la protègerais et serais là pour elle quand la demoiselle en aurait besoin. Je la regardai essuyer le sang sur sa bouche et attrapai son poignet avec douceur pour lécher la main qui avait recueilli le liquide rouge. Sa question me fit sourire et je relâchai son poignet, avant de hocher la tête.
« Tu as même dépassé mes espérances. Je te le redis, je suis très fier de toi. »
Je lui montrai alors comment briser la nuque et arracher la tête d’un humain, la partie la plus répugnante. Puis je détachai de ma ceinture un flacon d’essence que je versai sur les corps, avant d’y mettre le feu. Lorsque nous nourrissions au château, les domestiques s’en occupaient eux-mêmes. Or là il fallait faire disparaître les cadavres. Nous aurions pu les laisser là, mais les policiers ne devaient surtout pas savoir que les victimes avaient été vidées de leur sang et qu’ils ne voient pas les traces de morsures dans le cou. Nous risquerions de dévoiler notre identité au monde entier, nous serions chassés et traqués sans relâche. Notre clan tentait au contraire de maintenir la paix qui régnait entre les vampires et les humains et je m’afférai à cette tâche chaque seconde, même si j’aurais préféré les tuer tous autant qu’ils étaient. Annabella avait certainement étanché sa soif pour l’instant, et elle pourrait toujours retourner aux cachots. Je la surveillerais quelques jours durant, avant de la laisser mener sa vie comme elle l’entendait. Plus rien ne nous obligerait à nous côtoyer, si nous ne le désirions pas.
« On rentre ? proposai-je, il faudrait que j’aille voir Jane, elle m’avait l’air remontée. Et si tu as encore faim, nous irons aux cachots. »
Un sourire désolé se dessina sur mon visage, même si Annabella avait plus besoin au jour d’aujourd’hui de moi que Jane, je ne pouvais sciemment pas abandonner ma sœur comme ça. A ma place, elle aurait essayé d’avoir du temps libre pour être avec moi j’en étais certain. Et j’avais une envie folle d’entendre sa voix, de sentir sa peau contre la mienne et de la voir se pavaner du haut de ses 380 ans dans son corps d’adolescente. Ma sœur jumelle, mon péché, mon âme. Celle pour qui j’aurais tout donné, dans la vie comme dans la mort. Non je ne pouvais plus rester une minute loin d’elle, j’avais envie de la voir. Je pris la main d’Annabella dans la mienne pour lui montrer que je ne l’oubliais pas mais aussi parce que plus loin, deux gamins d’une quinzaine d’années rigolaient et approchaient de nous. Je n’avais pas envie de passer plus de temps dans cette rue. L’ombre de l’immense château se dessina devant nous et nous entrâmes en silence. Je la conduisis jusqu’à la chambre qu’on lui avait préparé en attendant et caressai de nouveau sa joue.
« Je serai dans la chambre de Jane si tu me cherches. De toute façon je reviendrai plus tard pour te faire visiter le château, d’accord ? Sois sage. »
Je déposai un baiser sur son front et fonçai dans les couloirs sombres du château Volturi.
Sujet: Re: Hope. |Alec Volturi| Ven 17 Aoû - 22:50
Alec & Annabella
« Ainsi ce termina ma vie. Ce n'était as une mort souhaitable, mais je l'avais pourtant fortement désirée. »
Vous pourriez dire ce que vous voulais, ma vie d'humaine n'allais pas du tout me manquer, même si j'allais vivre une vie au dépend du sang, soumise et esclave à ce dernier. Je passerais mes nuit à chasser, à vider des personne innocente de leur sang et à effacer mon passage par les flammes, ces même flammes qui pouvaient me donner une seconde mort. Ainsi je revenais à notre petite intervention. J'étais heureuse qu'Alec soit si fière de moi. Je lui offris un sourire amicale et lançais un regard vers l'homme qui brûler devant nos yeux. soudains j'entendit au loin deux jeune enfant venir vers nous. Je ne savais pas si il fallait partir ou les attendre pour les tuer eux aussi. Finalement Alec pris la décision de partir vite fait bien fait de la ruelle. Il était pressé de revoir sa soeur jumelle, et je le comprenais tout à fais bien que j'eu un petit brin de jalousie, qui bien entendue n'était pas visible sur mon visage. Je lui fit un sourire radieux. Après tout il avait passer au moins cinq jour avec moi et personne d'autre, donc sa relation fusionnelle avec sa soeur avait dus en prendre un coup. Nous nous étions faufiler discrètement et sournoisement dans les rue de Volterra tel des chat noir. Nous arrivâmes au pied du château, j'eu un rire amusé par notre petite dédale dans les rues étroite de Volterra, surtout c'elle proche du château. Je rentrais alors dans l'immense demeure. Alec pris le chemin de couloir plus où moins éclairé. Puis nous étions enfin devant une porte. Alec les poussas et me fit alors découvrir ma chambre. La décoration était provisoire pour le moment mais la pièce était grande et spacieuse, j'en était ravie !
« Je ne viendrais pas déranger vos retrouvailles. On se retrouvera demain peut-être pour une petite chasse nocturne. Bonne soirée Alec. »
Je lui fit alors une bise amicale. Puis je le laissait partir pour rejoindre sa soeur. Je m'allongeais sur le lit. La fenêtre était ouverte et l'air froid entrer dans la pièce chassant sur son passage les rideaux. J'étais heureuse d'être dans cette famille, ma nouvelle famille. Alors que la nuit était déjà bien avancée, la soif ne ce fit pas ressentir. J'étais fière de moi, après tout j'arrivais plus ou moins à contenir ma soif. Je fut soudainement surprise par un faible toc à ma porte. Je me lever vivement et ouvris la port en bois avec une facilité qu'un humain n'aurais jamais. C'était un domestique envoyé par Aro, il y avait un joli bouquet de fleur et un mot, me disant qu'il était heureux que je sois une Volturi qui s'assumé pleinement. Je remercier alors l'humain face à moi et le laissa prendre congé. J'était heureuse que mon "père" ou plutôt mon maître m'offre un tel signe de reconnaissance, je les mise de suite dans un vase avec de l'eau. Puis je pris place à me fenêtre observant la nuit étoilée. J'effacer alors tout mes souvenir heureux qui me rattacher aux humains, et essayer d'extraire de ma mémoires les plus douloureux. Ce fut alors un certaine rancoeur qui apparus dans mon esprit envers les humains, j'oublier qu'il y avait de cela cinq jours j'étais encore une créature faible et fragile. Une seule image me parveint à ce moment là. Se couple de personnes âgés, mes grands-parents, qui pour moi n'étaient que de simple pion sur un immense échiquier. Demain je les prendrais en chasse. Mais pour le moment, je partis m'asseoir sur mon lit. Je trouvais alors le sac avec le quel j'étais arrivé ici. Il y avait des photos dedans, mes amis à Forks, ma mère, les personne chèrent à mon coeur. Je me dirigeais vers la bougie allumer sur la commode et mis le feu à toutes ses photos avant de les jeter par la fenêtre. Le feu cessa de se propager sur les photos, ne laissant que des cendres.
Sujet: Hope. |Alec Volturi| 
Jeu 16 Aoû - 9:49
