Depuis quelques temps, je n'était plus le même. Les récents évènements m'avaient complètement bouleversés. Tout d'abord, l'enlèvement d'Esmée avait été le plus grand choc. Je ne pouvais m'imaginer les Volturi en train de la torturer. S'il n'y avait eu que moi, je serais déjà parti en Italie pour la récupérer mais les autres avaient jugés bon de ne pas faire comme ça. Il fallait qu'on se prépare. C'était horrible sans elle. Ensuite, l'arrivée de Nahuel m'avais là aussi bouleversée. Il nous avait fait à Rose et moi un très beau cadeau, il avait retrouvé un hybrides qui était sur le point de mourir et il avait réussi à le sauver et avait décidé de nous le confier. Cela avait été un grand bonheur pour nous deux. Nous avions toujours voulu un enfant et depuis l'arrivée d'Alyssa, l'humaine que Jasper et Alice avait adoptée, ce désir en moi avait grandi. Il m'avait redonné le sourire mais je n'oubliais pas pour ça la perte d'Esmée.

Cette journée avait donc été très différentes de celle que nous passions il y a une semaine. Aujourd'hui Rose, James et moi avions été chassé, nous n'avions malheureusement pas trouvé de grizzlis mais beaucoup d'élans étaient venus pâturer dans la forêt. James avait essayé d'en avoir un tout seul mais il avait eu besoin de mon aide pour en venir à bout. Ce petit bout était tellement craquant. Après que nous fûmes rassasiés, nous avions décidé d'aller coucher le petit James. Il avait besoin de sommeil, ce n'était encore qu'un bébé. Nous étions donc rentré à la maison qui était vide. Je ne savais pas où les autres étaient passés mais je ne m'en inquiétait pas. Je savais que si il s'était de nouveau passé quelques chose de grave, j'aurais été avertis. Je m'étais donc dirigés vers le garage et avait commencé à laver la voiture que j'avais acheté il y de ça un mois. C'était une Audi R8 blanche, j'avais une passion pour les voitures que Rose partageait. Elle aussi avait décidé de laver sa voiture et malgré ma peine au sujet d'Esmée, je n'avais pas pu m'empêcher de l'arroser et cela avait fini en un tendre baisé dans nos vêtements tout trempés. Après cette petite bataille, j'étais partis me changer et m'étais souvenu à ce moment qu'Alice m'avait demandé d'aller chercher Alyssa à l'école. J'étais descendu à vitesse vampirique dans le garage et avait démarré ma voiture après avoir mis un siège auto dans la voiture.

Je ne mis que quelques minutes à arriver à l'école et m'empressai de descendre. Je ne voulais pas être en retard pour aller chercher ma nièce. Je descendis de la voiture et m'approchai de l'entrée de l'école et m’arrêtai à quelques mètres. Je remarquai alors que beaucoup de personnes me dévisageait en se demandant sûrement ce qu'une personne comme moi faisait ici. Mais quand je tournais la tête pour regarder ces personnes ils baissaient très vite la leur. Je devais vraiment leur faire peur. Quels froussards! Enfin, la cloche sonna. Je n'étais pas en retard en fait. Je vis ensuite Alyssa sortir en compagnie de ses camarades et la maitresse. Alice avait prévu qu'il pleuvrait car elle avait donné un parapluie à sa fille. Cette dernière ne mis pas de temps à me reconnaitre et une fois que ce fut fait, elle me fit un grand sourire et s'approcha de moi en me disant:

« -C'est toi qui est venu ! Je suis contente de te voir tonton !

Je la regardais lancer un regard noir à un de ses camarades en souriant et lui tendit mes bras pour qu'elle vienne s'y loger. Ni une ni deux, celle ci sauta dans mes bras en me faisant un câlin. Cette petite était très gentille, sa vie n'avait pas été facile, elle avait bien du courage. Elle était géniale. Je répondis à sa question tout en marchant jusqu'à la voiture.

- Oui c'est moi, ça me fait plaisir aussi de te voir.

Une fois arrivée à la voiture, j'ouvris la porte arrière et assis la petite sur le siège auto. Je lui mis sa ceinture et allai m'asseoir à la place du conducteur. Une fois prêt, je démarrai la voiture, commençai à rouler à vitesse humaine, et lui dit:

- Bon, je pense que tu as eu une grosse journée donc on va aller à la boulangerie pour t'acheter quelque chose. Je ne pouvais m'empêcher de lui faire plaisir en lui proposant cela. Je continuai ensuite. Sauf si tu ne veux pas? " Je connaissais déjà sa réponse.

Je roulai à allure normal pour un humain et cela me demandait de gros efforts. Je n'aimais pas du tout conduire à cette vitesse mais étant donné qu'Alyssa n'était pas au courant pour nous je devais éviter tout ce qui pouvait lui donner des indices. Nous roulions donc tranquillement sur la route en direction de la boulangerie pour aller acheter à ma nièce un croissant. Sans me retourner ni regarder dans mes rétros, je l'entendais gigoter sur son siège auto. Elle me dit ensuite sur le ton de la plaisanterie:

« - Il faudra sans doute un siège auto plus
rembourré, c'est que j'ai mal aux fesses là, moi ! J'espère que t'es
bien assis sur ton siège de mousse !

Je pense que pour en dire des bêtises, elle me ressemblait. A nous deux, on en sortait des fois, c'était assez drôle. D'ailleurs, en l'entendant critiquer la qualité du siège auto, je ne pu m'empêcher de rire, un de ces rires qu'on ne contrôle pas. Je la regardai dans le rétro et lui dit sur le ton de la plaisanterie:

- Je pense que tu préfères que je te ramènes avec cette voiture là plutôt que la jeep. Parce que sinon je serais passer par la forêt et là tu aurais sûrement plus mal aux fesses.

C'est dans la bonne humeur que nous continuâmes à rouler vers le centre de Forks. Mais l'atmosphère changea subitement lorsque Alyssa vit des voitures roulant très vite de l'autre côtés de la route. Je savais que ses parents avaient perdus la vie dans un accident de voitures et que le sujet était sensible. Elle ne mis pas de temps pour m'en informer. Elle me demanda d'un ton très inquiet si j'étais attaché. Je baissais les yeux et pour une fois que j'avais mis ma ceinture, je pouvais en être fier. C'était très rare que je la mettais mais peut-être que comme j'avais mis la ceinture à la petite, nstinctivement, j'avais mis la mienne. Je lui répondis à sa question pour qu'elle ne s'inquiète pas.

- Ne t'inquiètes pas ma chérie. Ma ceinture est bien attachée. Regarde plutôt à droite où on arrive?

Nous étions enfin arrivé à la boulangerie. Je me garai rapidement sur le parking, éteint le moteur et pris sortit de la voiture en même temps que la petite. Une fois qu'elle fut sortit, je enclenchai la voiture et prit la main de la petite pour rentrer dans la boulangerie. En rentrant, je dis poliment "bonjour" et demanda poliment un croissant. Après quelques secondes, la boulangère me donna le croissant et avant qu'elle ne me dise le montant, je lui demandai une sucette qu'elle s'empressa de me donner. Puis, je la payais et Alyssa et moi retournèrent dans la voiture où je lui donnait son croissant. Je répéta mes gestes de tout à l'heure mais une fois à ma place, je ne démarrai pas le moteur mais me retournai pour dire à ma nièce:

- Tu le dis pas à Papa et Maman sinon je vais me faire disputer. " Puis, je lui souris.

La petite était très intelligente. On avait pas besoin de lui répéter plusieurs fois quelque chose pour qu'elle le comprenne. Les épreuves qu'elle avait vécu étant petite l'avaient rendu mature. Des fois, je me demandais si elle avait vraiment sept ans. Elle me montra une fois de plus ce côté d'elle en entrant directement dans mon jeu. Elle m'affirma qu'elle ne dirait rien à ses parents sous peine de ne plus avoir ces bons encas. Je ne pus m'empêcher de rire quand celle-ci me fit un clin d’œil. Les enfants de cet âge arrivaient rarement à faire un clin d’œil parfait et évidemment Alyssa en faisait parti. Son geste était réussi mais son autre œil avait suivit le mouvement. Puis, elle mangea son croissant et je préférai attendre qu'elle ait fini de manger avant de lui reparler.

Mais c'est elle qui entama la conversation avant que je ne le fasse. Elle me posa une question qui eut le don de me laisser perplexe. Elle voulait savoir si les yeux des Cullen étaient naturels. Que devais-je lui répondre? Elle ne savait pas le secret de notre famille et je ne pensais pas que c'était à moi de lui dévoiler. Si je lui disais qu'ils étaient naturels, elle me poserait certainement d'autres questions à ce sujet et si je lui disais qu'ils n'étaient pas naturels, je ne savais pas quelle excuse lui fournir. Je réfléchis donc quelques secondes avant de lui donner une réponse qui me permettrait d'en parler à ma famille avant de lui reparler:

" - Eh bien, par à un heureux hasard, nos yeux sont bien naturels. J'avais décidé de ne pas lui mentir. Même si je me mettais en risque, je devais le faire. On apprenais au enfants à ne pas mentir, on devait obéir à cet ordre aussi. J'essayais de changer de sujet pour éviter qu'elle ne s'attarde sur ce sujet. Cela montre que nous formons une famille. Mais ce n'est pas parce que tu n'as pas les yeux de la même couleur que nous que nous ne t'aimons pas. Au contraire. Et puis, regarde, Nessie à les yeux marrons, James à les yeux bleus et on les aime tout autant qu'on t'aime toi. Je lui fis un grand sourire et lui reprit: bon alors dit moi tu préfères qu'on rentre à la maison où qu'on se promène en parlant de ta journée?

J'espérais qu'elle ne s'attarde pas sur le sujet car il y aurait un moment où je ne pourrais plus lui répondre. De plus, il y aurait un moment où nous devrions lui dire avant qu'elle ne l'apprenne par quelqu'un d'autre comme par exemple James. C'était lui aussi un enfant et il leur était difficile de tenir leur langue. Je devrai en toucher de mots à la famille.

Ma nièce eut l'air de remarquer que j'eus du mal à répondre à sa question mais elle ne releva pas et fut heureuse lorsque je lui dis que je l'aimais tout autant que j'aime le reste de la famille. Mais pour moi, c'était normal, désormais elle faisait partie de la famille. Quand je lui demandai si elle préférait rentrer ou se promener, elle ne mis pas beaucoup de temps à me répondre. Elle voulait continuer à se promener et m'expliqua les raisons après. Elle trouvait qu'elle restait trop enfermée dans sa chambre ou à l'école. Sur ce point elle avait raison. Il était rare qu'on la voit hors de la maison mais il fallait savoir qu'elle vivait dans une famille pas comme les autres. Elle vivait dans une famille de vampire. Certes nous sommes des vampires "gentils" mais il n'y a pas que nous, il y en a qui ne veulent que du sang humain. Il y a aussi les loups carnivores, ces êtres qui étaient aussi cruels que les vampires sanguinaires. Mais elle restait une enfant et avait besoin de vivre un peu sa vie. C'est donc sans broncher que je m'attachai.

Après avoir bien pris soin de boucler ma ceinture, j'allumai le moteur et prit le chemin du parc de jeu pour enfant qui se trouvait au centre de la ville. Je ne lui disais pas où nous allions pour lui faire une surprise mais c'est à ce moment que je me rappelais qu'elle m'avait posé une question. Elle voulait savoir pourquoi Alice et Jasper ne la laissait pas partir. Une fois de plus, je lui répondis sans mentir:

" - Alyssa, il faut que tu saches que tu représentes beaucoup pour Alice et Jasper. Et si ils ne veulent pas te laisser sortir c'est parce qu'ils tiennent énormément à toi. Ils ne veulent pas qu'ils t'arrives quelques chose. Ils veulent que tu sois la plus heureuse et ils ne voient pas que tu aimerais sortir. Je te promet que j'essayerais de te faire prendre l'air des fois.

Tout en parlant, je conduisais lentement dans la ville. Au bout de cinq minutes, nous arrivâmes enfin sur le parking du parc. J'essayais de me garer de façon à ce qu'elle ne voit pas où je l'emmenais et je m'empressais d'éteindre le moteur, sortir de la voiture et à aller la chercher de sa place pour la prendre dans mes bras. J'en profitai pour lui faire un petit bisous sur la joue droite et lui souffler de se cacher les yeux. Je vérifiai qu'elle le faisait et une fois que ce fut fait, je marchai vers l'entrée du parc où un demi douzaine d'enfants s'amusaient déjà. Je lui dit ensuite:

- Tu peux ouvrir les yeux ma puce.

Alyssa me fit une remarque qui me surpris. Elle n'aimait pas être enfermée car cela lui rappelait son enfance à l'orphelinat, et elle se sentait malheureuse. Le problème était qu'il était dur d'assouvir son besoin de prendre l'air quand on vivait avec des vampires. Mais comme je l'avais dit tout à l'heure, je prendrai de mon temps pour m'occuper de cette petite et celle ci comptait bien la dessus aussi. Puis, vint le moment où je lui dis d'ouvrir les yeux pour savoir où on était. Je regrettais à cet instant ne pas avoir le don d'un de mes frères. Cela aurait été bien pratique de savoir ce que pensait ou ressentait ma nièce. Elle avait les yeux rivés sur les quelques enfants qui jouaient en riant, peut-être avait-elle peur d'aller à leur encontre ou bien au contraire trouvait-elle qu'elle avait passé l'âge de jouer à ça, je n'en saurais rien car elle me posa une autre question. Elle voulait savoir si Alice me disputerais pour l'avoir emmené ici. Je lui répondis alors sur le ton de la plaisanterie:

"- Je pense que même si elle me dispute, je ne risque pas grand chose. Regarde moi et imagine là à côté de moi. Tu vois la différence?

En effet, j'étais beaucoup plus grand que ma soeur étant donné que je faisais 1 mètre 94 et que celle-ci devait faire 1 mètre 53 à peu près. Mais au fond de moi, je savais qu'elle avait des chances de me battre en duel. Elle aurait pu voir tout mes actes que je voulais lui faire avant que je les fasse. Mais bon, j'étais sur qu'elle ne me réprimanderait pas d'avoir emmené sa fille s'amuser un peu. Elle serait peut-être contente de voir que j'aime sa fille et que je m'occupe bien d'elle. En revanche, je ne savais pas ce que elle faisait, elle était partie ce matin mais ne m'avait pas dit pourquoi. Il faut dire qu'en ce moment, la maison est vide. Il n'y avait la plupart du temps que Edward, Bella, Rose et moi. Rose! Je ne l'avais pas prévenu que je mettrais autant de temps que ça pour aller chercher la petite. Je dis donc à ma nièce.

- Tu peux aller jouer si tu veux, j'envoie un message à Rose pour la prévenir qu'on arrivera plus tard que prévu et après je serais à toi.

Je m'empressai de sortir mon portable et d'aller directement à l'endroit pour écrire un message. J'espérais que Rose ne s'était pas trop inquiétée

Une fois que je l'eus rassuré au sujet de mon cas face à Alice, elle s'inquiéta du cas d'Alice. Elle avait peur que je lui fasse du mal. Cela n'arriverait jamais, j'aimais ma sœur et jamais je n'oserais lever faire de mal à ma petite sœur. Je m'en voudrais toute ma vie, et c'est peu dire car cela voudrait dire l’éternité. Enfin bref, c'est ce que je lui répondis en espérant qu'elle serait rassuré. J'avais remarqué que ma nièce n'était pas allée à l'endroit où se trouvait les jeux mais qu'elle avait préféré rester près de moi. Ne voulant pas me déranger pendant que j'écrivais mon message, elle observait le ciel sans rien dire et à peine avais-je mis mon portable dans la poche, elle ouvrit la bouche pour me dire qu'elle voulait que je l'accompagne à la balançoire. C'est avec un grand sourire qu'elle me prit la main et m'emmena avec elle vers la balançoire qui était vide. Après sept mètres, nous arrivâmes enfin. Je la pris dans mes bras et l'assis sur le siège et me plaçai derrière. Avant de faire quoi que ce soit je lui dis tout en riant:

"- Si tu t'envoles, crie un grand coup et je te rattraperais.

Il était évident que je ne comptais pas la laisser tomber et que j'allais contrôler ma force. Certes cela pouvait paraître difficile mais après avoir passer près de 80 ans à me cacher des humains on commençait à avoir l'habitude. Après qu'elle m'ait répondu, je commençai à la pousser doucement jusqu'à ce que la vitesse soit assez rapide pour Alyssa. Je vins ensuite me placer devant et entamai la conversation. Nous parlâmes de tout et de rien mais ça me permettait de pouvoir respirer de l'air frais et de pouvoir être un peu libéré de l'atmosphère si lourde qui pesait à la maison. Je remarquai au bout d'un moment que nous étions plus que tout les deux dans le parc. Tout le monde était parti, je regardai alors l'heure et vit qu'il était 18 h 35. Nous allions bientôt rentré car j'avais dit à Rose que nous serions là-bas à 19 heures. Je regardai alors ma nièce et après l'avoir poussé assez fort, je lui dis:

- Vas-y saute dans mes bras dés que tu le sens. "

Je lui tendis mes bras droit vers elle et attendis qu'elle me saute dedans.

Spoiler:

Sa remarque me fit sourire. Je n'avais pas besoin d'être superman, pour avoir une vitesse supérieure à la moyenne.Elle semblait bien s'amuser, à vrai dire, elle savourait ces moments qui étaient rares en ce moment. Elle hésita un petit moment avant de me sauter dans les bras mais elle réussit tout de même l'exercice. Une fois dans mes bras, elle me fit un bisous sur la joue et me dit "je t'aime tonton". Il était rare qu'elle nous fasse des déclarations, enfin je ne me souvenais pas l'avoir entendu dire qu'elle m'aimait. J'en fus ému et je lui répondis de suite que c'était réciproque et que je l'aimais aussi. Nous arrivâmes ensuite dans la voiture où je l'installai. Je vis qu'elle eut l'air triste de partir. Je tentai alors de la rassurer, je m'abaissai à son niveau et lui dit

" - Eh Alyssa, on reviendra tu sais. Ou si tu veux un jour tu iras avec Rose faire des magasins où un truc comme ça. Et puis maintenant y a James à la maison. Tu pourras jouer avec lui. Et tu n'as pas à me remercier, c'est normal.

Je lui fis un bisous sur la joue et fermai la porte sur la petite fille. Je fis rapidement le tour de la voiture et prit la place du chauffeur. Je démarrai le véhicule et allumai la radio. Nous roulâmes ainsi sur la route menant à la maison quand j'entendis un cri de loup. Mais je savais très bien que ce n'étais pas un simple loup, c'était un loup modificateur. J'espérais qu'il ne s'était rien passer de grave si c'était la meute de Jacob. Depuis que Rensesmée était née, il venait souvent à la maison et j'avais commencé à les apprécier. Mais le plus grave de tout ça aurait été qu'un vampire sanguinaire soit venu par ici. On allait souvent avoir des nouvelles de la meute. Alors, me vint alors quelque chose à l'esprit. Peut-être était-ce un des Volturi qui était venu pour nous faire encore du mal, sans le remarquer, j'appuyai sur l’accélérateur jusqu'à me rappeler que ma nièce était sur le siège auto à l'arrière. Sachant qu'elle avait peur e voiture suite à son accident, je ralentis aussitôt en la regardant dans les rétro intérieur pour savoir comment elle réagirait. D'ailleurs, avait-elle entendu le cri du loup? Je ne voulais pas qu'elle apprenne quelque chose à leur sujet par moi. J'attendis alors sans le montrer un signe de sa part.